Ulysse Mangeur De Pain

topos littéraire ? « Le Rassembleur des nues déchaîna sur nous le Borée /en bourrasque inouïe »(chant IX) Dans l’Odyssée d’Homère , écrite au IX ème siècle avant JC , l’action se situe en un temps mythique, à l’âge des héros . L’un d’entre eux , Ulysse , est célèbre pour son voyage maritime de retour de Troie à Ithaque ,contrarié par la colère de Poséidon. L’espace de la mer , la « saumure » , « le gouffre » , est caractérisé par ses tempêtes. Or ce motif est devenu , au fil des siècles , un véritable

et d’ambroisie: c’est ce qu’offre Calypso à Hermès quand celui-ci lui rend visite pour exiger qu’elle laisse Ulysse repartir: «Sur ces mots la déesse avança une table / avec de l'ambroisie, et mêla le pourpre nectar. Le Messager éblouissant mangea et but; / puis quand il eut mangé et rassasié son coeur...» (Chant V, vers 92-95) Les cyclopes et les lestrygons quand à eux sont des mangeurs d'hommes. Polyphème dévore deux compagnons d’Ulysse chaque soir, et le texte décrit avec un réalisme terrible

Ulysse est resté célébre pour son voyage maritime,de retour de Troie à Ithaque,contrarié par la colére de Poséidon. L'espace de la mer,la « saumure »,le « gouffre » est caractérisé par ses tempêtes. Or ce motif est devenur,au fil des siécles,un véritable topos littéraire. Quel usage en fait Homére? I)Importance dans le récit. 1) La tempête ponctue le récit. Elle est un motif récurrent,elle ponctue le récit des aventures d'Ulysse : au chant V quand il quitte Calypso pour se rendre chez les

à XIII où Ulysse se remet en route pour Ithaque après avoir été retenu sept ans chez Calypso « aux belles boucles ». Il est important de voir comment ces chants se structurent autour du motif de l’oubli. Nous verrons donc dans un premier temps que l’oubli est un élément clé de l’Odyssée. Par ailleurs, nous verrons que cet oubli vise à introduire le regain de mémoire du héros. L’oubli est un des thèmes principaux de l’Odyssée et c’est un des éléments qui tourmentent le plus Ulysse. En effet

Selon le texte les hommes sont des mangeur de pain . Le fait de manger les humains est un signe de monstruosité et d'écartement de la société et de l'humanité . Ils n'ont pas de contact avec l' extérieurs . Les navires sont des éléments de civilisation que les cyclopes n'ont pas . cécité = le fait d'être aveugle. b) D'autres aventures confrontent Ulysse à la perte de ses valeurs L'idée de fermeture par rapports à l’extérieure se voit aussi avec

Ulysse en Phéacie Peut-être Homère, avec la Phéacie, veut-il faire le tableau d’un régime royal et aristocratique idéal (Homère à la frontière entre Grèce Dorienne et archaïque) Unique expérience de l’altérité humaine dans les pérégrinations d’Ulysse Ulysse arrive seul dans un dénuement total chez des mangeurs de pain et repart comblé de présents Univers au statut ambigu Merveilleux : caractère fabuleux qui met mal à l’aise : sentiment d’étrangeté, de non-familiarité (Cyclopie, parenté avec

XI, Nekuia, c'est-à-dire l'invocation des morts. | Chronologie du récit. Jour 1 | Lieux. Olympe Thrace (Ile des Cicones), sa capitale : Ismaros Mer Mer Pays des mangeurs de fleurs, les Lotophages Ile des Cyclopes Ile d’Eolie Mer Mer, puis bref retour sur l’île d’Eole Mer Télépyle, citée des Lestrygons Mer Ile d’Aiaié, chez

Dieux évoqués dans l’Odyssée, sont au nombre de quatre : il s’agit de Zeus, Poséidon, Athéna et Hermès. Ceux-ci interviennent dans le retour d’Ulysse. Leur importance dans le voyage d’Ulysse diffère : Athéna est une déesse récurrente, elle protège Ulysse et Télémaque, fils de celui-ci, sous le trait de Mentor. C’est une déesse à fonction protectrice puisqu’elle est adorée comme protectrice d’Athènes. Elle avait déjà apporté sa protection aux grecs lors de la guerre de la Troie, et ne cesse de plaidoyer

satisfaction de la faim lorsque Ulysse atteint la Phéacie et est accueilli très chaleureusement par tout les habitants dont son chef, Alcinoos : « Ils tendirent les mains vers les mets présentés./ Lorsqu’on eut apaisé la soif et l’appétit» (VIII, v.71-72). La nourriture est donc vectrice de convivialité, et permet subvenir au besoin de se nourrir. Seulement, n'est-elle pas aussi un moyen d'accueillir un hôte en lui montrant un profond respect ? Que ce soit Télémaque, ou Ulysse et ses compagnons, tous sont

se déchaîne contre Ulysse p. 141. [Poséidon prend] son trident et rassemblant les nuages, il démontait la mer, et des vents de toute région, déchaînait les rafales (…). Ulysse – Malheureux que je suis ! Quel est ce dernier coup ? J’ai peur que Calypso ne m’ait dit que trop vrai ! …Le comble de tourments que la mer, disait-elle, me réservait avant d’atteindre la patrie, le voici qui m’advient ! Chant VII Avec l'aide d'Athéna, qui a pris l'apparence d'une petite fille, Ulysse arrive en ville et