Ulysse être Exceptionnel

complè-tement après la reconnaissance dans la seconde partie de la tragédie consacrée à la vengeance, Sophocle, lui, a retardé le plus possible le moment de la reconnaissance et de la vengeance pour donner la prééminence à Electre, qui, du reste, continuera à etre présente lors de la vengeance. L’originalité de Sophocle n’ est pas seulement d’ avoir centré sur le personnage d’ Electre, mais d’ avoir adopté une technique du dédoublement des personnages. Il a repris à sa propre tragé-die d’ Antigone l’

Soudain le téléphone sonna et je ne pus cacher ma surprise à l’interlocuteur. M. Löslo s’inquiétait de ne pas avoir eu de mes nouvelles pendant 2 semaines. Je bredouillai vaguement que j’écrivais un nouveau roman et que je ne voulais sous aucun prétexte être dérange. Mais profitant de pouvoir en parler, je lui évoquai les événements de la semaine passée en omettant volontairement ma consommation d’alcool. J’entendis à sa voix qu’il se forçait à ne pas rire. Etait-ce donc risible ? Il m’intima l’ordre de

romain des Champs et des Bergers. Le mot flore vient de FLORA, déesse romaine de la Végétation et des Fleurs. Le mot furie vient des FURIES, divinités des Enfers. Le mot géant vient des GIGAS, monstres gigantesques que Zeus dut vaincre pour être le maître des Dieux. Le mot griffon vient du GRIFFON, animal à tête et serres d'aigle et corps de lion. (Un griffon désigne une race de chiens ou un vautour). Le mot harpie vient des HARPIES, créatures à tête de femme et à corps d'oiseau. (Une

cirque, marionnettes ; Arts du visuel : arts plastiques, cinéma, photographie Dans le cadre de cette réflexion, nous nous intéressons aux arts qui proposent des représentations de l'être humain, mais aussi à ceux qui nous font réfléchir à ce qu'est un être humain. La littérature : on entendra par ce terme toute production écrite ou orale présentant un caractère esthétique dans l'usage du langage choisi et visant à atteindre, d'une manière quelconque, son récepteur (auditeur, spectateur, lecteur). Les

jadis que le sort distribua les empires aux trois fils de Cronos. Quel est donc l’insensé qui dans la même balance mettrait l’Olympe et les enfers ? Quand les partages sont égaux, le sort peut en être l’arbitre ; mais entre ces deux empires il y a trop d’inégalité. Lorsqu’on ment, au moins faut-il être crédible. Non, grand dieu, non, ce ne fut pas le sort qui te fit roi des dieux : ce furent tes exploits, ta valeur et la Force que tu plaças au pied de ton trône. Tu chargeas aussi le prince des

la route du bois», ce qui donne l’idée d’une occupation comme par une armée étrangère). On domine une grande ville et on voit les «front des palais», leurs frontons mais avec une nuance d’orgueil (comme chez du Bellay qui, dans ‘’Heureux qui comme Ulysse’’, évoqua «des palais romains le front audacieux»). Mais, bientôt, le narrateur qui marche, cessant de simplement subir le spectacle, de manière magique, entreprend de participer à l’aube, de réveiller le monde endormi pour en faire surgir les merveilles

bien que forgeron par tradition (métier de la caste paternelle), devint le contremaître de cette usine. Le passe-temps favori des ingénieurs français étaient de s'en servir de bouc émissaire, mais la brousse ignorait , car tout le monde savait que nul être au Monde ne connaissait mieux la centrale que lui, son père l'ayant bâtie sous ses yeux. Quand il était fâché, Ousmane avait plaisir à emmener sa fille aînée, Marguerite, sur les rochers du fleuve Sénégal. Là il lui racontait l'histoire des Soninkés

LORENZO EST DEVENU LORENZACCIO ? CINQUIEME SEANCE : DU PERSONNAGE HISTORIQUE AU HÉROS ROMANTIQUE SIXIEME SEANCE : LORENZACCIO EST-IL LE DOUBLE DE MUSSET ? annexe 1 : groupement de texte autour de la question : Qu’est-ce qu’un héros ? Texte 1 : Ulysse (2 pages ) Texte 2 : Antigone ( Texte 3 : La princesse de Clèves Texte 4 : Gavroche (2 pages) Texte 5 : Monsieur Madeleine (2 pages) Texte 6 : Etienne Lantier Texte 7 : Michel Strogoff annexes 2 à 6 annexe 2 : Lorenzo est-il vraiment un héros

qu’à rendre les hommes mauvais ? Les hommes de ces pays sont-ils plus sains et plus robustes que nous ? Vivent-ils plus longtemps ? Sont-ils plus unis entre eux ? Mènent-ils une vie plus libre, plus tranquille, plus gaie ? Au contraire, ils doivent être jaloux les uns des autres, rongés par une lâche et noire envie, toujours agités par l’ambition, par la crainte, par l’avarice, incapables des plaisirs purs et simples, puisqu’ils sont esclaves de tant de fausses nécessités dont ils font dépendre tout

route du bois», ce qui donne l’idée d’une occupation comme par une armée étrangère). On domine une grande ville et on voit les «front des palais», leurs frontons mais avec une nuance d’orgueil (comme chez du Bellay qui, dans ‘’Heureux qui comme Ulysse’’, évoqua «des palais romains le front audacieux»). Mais, bientôt, le narrateur qui marche, cessant de simplement subir le spectacle, de manière magique, entreprend de participer à l’aube, de réveiller le monde endormi pour en faire surgir les