Umkhonto we Sizwe

les appels à la lutte armée sont plus pressants d'autant plus que l'ANC et le Congrès panafricain sont interdits, ses leaders emprisonnés ou assignés à résidence. La stratégie non-violente de l'ANC est abandonnée par Nelson Mandela qui fonde Umkhonto we Sizwe, réseau prônant l'action armée. Il fut emprisonné en 1962 puis condamné à cinq ans de prison en 1963, et, après un procès où il contesta la justice d'apartheid, condamné à la détention à perpétuité en 1964 en raison de ses activités politiques

the international community. On 31st May 1961, the country breaks its last institutional links with Great Britain with the proclamation of the Republic of South Africa and its departure from Commonwealth. The ANC begins to fight with the Umkhonto we Sizwe (translated "Spear of the Nation"), which is the military part of the ANC, leaded by Nelson Mandela and Joe Slovo. In 1963, Nelson Mandela is convinced for life for terrorism, and the other chiefs of ANC were imprisoned or exiled. In 1966

les appels à la lutte armée sont plus pressants d'autant plus que l'ANC et le Congrès panafricain sont interdits, ses leaders emprisonnés ou assignés à résidence. La stratégie non-violente de l'ANC est abandonnée par Nelson Mandela qui fonde Umkhonto we Sizwe, réseau prônant l'action armée. Il fut emprisonné en 1962 puis condamné à cinq ans de prison en 1963, et, après un procès où il contesta la justice d'apartheid, condamné à la détention à perpétuité en 1964 en raison de ses activités politiques

massacre de Sharpeville en 1960 qui voit la police sud-africaine tirer sur la foule et tuer 69 manifestants, le Congrès National Africain est officiellement interdit en Afrique du Sud. Nelson Mandela crée alors un mouvement armé clandestin baptisé "Umkhonto we Sizwe" (Lance de la Nation), dont il devient le commandant en chef. Il est arrêté en 1962 et condamné à cinq ans de prison pour avoir quitté le territoire sans autorisation et incité à la grève. L'année suivante, il est inculpé de sabotage et haute

déclare que le passage à la lutte armée est le dernier recours face à la répression et aux violences policières. Il conclut que des années de luttes non violentes contre l'apartheid n'ont apporté aucun résultat. Il va alors fonder en 1961 « Umkkonto we Sizwe » la branche militaire de l'ANC. Il va écrire et signer un plan de passage graduel à la lutte armée qui va organiser des sabotages contre des cibles symboliques de l'apartheid comme les bureaux du passeport interne, la cour de justice pour natifs

qui est pourtant condamné par les nations unies et la communauté internationale. Le 31 mai 1961, l'Afrique du Sud se proclame indépendant, et rompt ses derniers liens avec les Britanniques. L'ANC débute alors une guerre avec sa branche armée (Umkhonto we Sizwe). Puis en 1963, le chef de la branche armée de l'ANC est condamné à perpétuité pour terrorisme. Il s'agit de Nelson Mandela. En 1966, après des conflits entre l'ANC et le gouvernement au pouvoir, le premier ministre Hendrik Verwoerd fervent acteur

Le 31 mai 1961, le pays rompt ses derniers liens institutionnels avec la Grande-Bretagne avec la proclamation de la république d'Afrique du Sud et le retrait du Commonwealth. L'ANC débute alors la lutte armée avec Umkhonto we Sizwe. En 1963, Nelson Mandela, l'un des chefs de Umkhonto we Sizwe est condamné à perpétuité pour terrorisme et les autres chefs de l'ANC sont emprisonnés ou exilés. En 1966, Hendrik Verwoerd, premier ministre d'Afrique du Sud et grand architecte de l'apartheid, est assassiné

faites sur les collaborations de l’ANC avec les Blancs, les Indiens et en particuliers avec les communistes » (Mandela, p.374). Pour répondre à cette levée du PAC – qui est trouvé plus militant par la population – l’ANC va mettre en place la MK (Umkhonto we Sizwe). Il s’agit d’une branche militaire de l’ANC qui agissait en collaboration avec le parti communiste d'Afrique du Sud (SPAC) contre le régime d'apartheid alors au pouvoir dans ce pays d'Afrique australe. La trajectoire de l’ANC était spécialement

protester contre la situation faite aux Noirs. L’ANC a décidé de passer à la lutte armée en 1961 après le massacre de Sharpeville (en 1960) et l’interdiction du mouvement par les autorités. A ce titre, l’ANC a créé une organisation armée, Umkhonto we Sizwe (« la lance de la nation » en zoulou). Cette armée de guérilla a compté jusqu’à 10 000 hommes, mais ne s’est quasiment jamais battue sur le sol sud-africain. L’ANC a été légalisé en février 1990 et son dirigeant historique, Nelson Mandela

furent tous acquittés. Pour autant, Mandela n’est pas libre, il continue sa vie clandestine et est l’un des dirigeants les plus recherché d’Afrique du Sud. Entre temps, il engage l’ANC dans la voie de la violence armée organisée en créant le MK (Umkhonto we Sizwe : la lance de la nation) agissant toujours dans la clandestinité. Ensuite il voyagea en Afrique et pu observer avec une grande admiration les mouvements d’indépendances en cours dans les autres pays. La situation de l’Algérie fut particulièrement