Umkhonto we Sizwe

entier et de nombreux pays furent un geste pour aider au bon déroulement du combat de l'ANC. Grâce à ce financement mais aussi grâce à une alliance avec le PCS ( le Parti Communiste Sud-africain), L'ANC créée sa première une armée en 1961, l'«Umkhonto we sizwe» qui veut dire «Le fer de lance de la nation» . Les commandants de celle-ci seront Mandela et Joe Slovo qui était le secrétaire du Parti Communiste Sud-africain. En conclusion, le gouvernement exécuta un régime de terreur pour stopper toute

ayons pris les armes, ce n’était pas notre option préférée. C’est le régime de l’Apartheid qui nous a obligés à prendre les armes. Notre option préférée aurait été de trouver une solution pacifique au conflit de l’Apartheid. » Mandela dirige Umkhonto We Sizwe (« la lance de la nation » aussi appelé MK), la branche militaire de l’organisation. Le MK multiplie alors les actes de sabotage contre les symboles et les institutions de l'apartheid sans tuer, se lance avec succès dans une grève générale et

jugé pour trahison, mais il sera acquitté en 1961. | Après le massacre de Sharpeville en 1960, l’ANC et le Congrès panafricain sont interdits. Mandela abandonne alors la stratégie non-violente de l’ANC et fonde une organisation militaire, Umkhonto we Sizwe. En 1962, il est condamné à cinq ans de travaux forcés et, en 1963, il est inculpé avec d'autres leaders, de sabotage, trahison et complot. Pour ces faits, il est condamné en 1964, avec sept autres militants, à la prison à vie. En 1990, après

et étant accompagnées de grèves générales, normalement interdites. À la suite de l’événement, les organisations du PAC et de l’ANC seront proscrites. L'ANC et le PAC sont donc rendu illégale en 1960, ce qui pousse Nelson Mandela à fonder le Umkhonto we Sizwe, "le fer de lance de la Nation", aile militaire de l'ANC, chargé d'effectuer des actions de sabotage. En 1963, Mandela et sept de ses camarades sont arrêtés et inculpés pour sabotage. A la barre, Mandela déclare : "J'ai chéri l'idéal d'une

massacre en 1960. En prenant en compte que ces manifestations n’aboutiraient à rien, l’ANC et Mandela prirent la décision de mettre en place une branche militaire qui utilisera la violence comme arme d’action et de défense. Cette armée nommée « Umkhonto we Sizwe » plus connue sous le nom de MK marqua le tournant politique de l’ANC. Cette organisation sera déclarée hors la loi en 1960 par le parti national. Mais un an avant l’abolition de l’apartheid, l’ANC est à nouveau légalisée en 1990. Toujours

éviter toutes tentatives de récidives… Cette manifestation a choqué le monde entier et a mis l’Apartheid sous les feux des projecteurs… Dès lors, Nelson Mandela délaissa la tactique non-violente de l’ANC et il lui créa un corps militaire: le « Umkhonto we Sizwe » (la Lance de la Nation). Les manifestations passèrent alors de la non-violence à des actes qualifiés de terroristes… Suite à cela, le 21 mars fut décrétée par l’ONU journée internationale de lutte contre le racisme. L'année suivante

Sharpeville. La police sud-africaine tire sur les manifestants : 79 morts. L'ANC et le Congrès panafricain sont interdits par les autorités. Après Sharpeville, l'ANC et Mandela abandonnent la non-violence et fondent une organisation militaire, Umkhonto we Sizwe ("lance de la nation"), pour mener la lutte armée contre le pouvoir. Mandela est à nouveau arrêté en 1962, de retour d'un périple à l'étranger et condamné à 5 ans de prisons pour incitation à la grève et déplacement illégal. En 1963, il est

fertilité des femmes noires par le biais d'une substance répandue dans l'eau ou les produits de consommation courante. D'autres procédés sont testés comme l'imprégnation de poison sur des T-Shirts portés par des militants de l'ANC. De son côté, Umkhonto we Sizwe, la branche militaire de l'ANC, organise sa guérilla dans des camps d'entrainement en Angola, en Tanzanie ou en Zambie où des actes de torture ou des exécutions sont pratiqués contre les militants accusés d'espionnage. À partir de 1977, elle

s'écroule. D'autres causes, évidemment, ont contribué à ce changement de « philosophie » politique. Il y a eu, certes, les quelque trente années de lutte armée conduite principalement par la branche militaire de l'African National Congress (le Umkhonto We Sizwe, la « Lance de la nation ») ainsi que par le P.A.C. (Pan African Congress) et l'A.Z.A.P.O. (Organisation du peuple d'Azanie). Même si la résistance armée bantoue à l'apartheid n'a pas été politiquement très homogène – elle a été parfois très

mouvement Noir aux Etats-Unis, Malcolm X, a séjourné à Alger en 1964, et Ernesto Che Guevara, avant d’aller dans les maquis du Congo, y est passé également en 1965. C’est en Algérie que Nelson Mandela, l’un des fondateurs de l’aile armée de l’ANC, Umkhonto we Sizwe, a eu son initiation de tactique militaire et de sabotage, avant de rentrer en Afrique du Sud où, à la suite d’actions éclatantes, Mandela et ses camarades ont été arrêtés et condamnés à vie. C’est aussi en Algérie que le futur président du Mozambique