Un Bon Début De Roman Doit Répondre Aux Attentes Du Lecteur

les Barbares. Marcus Flavius Aquila, jeune centurion ambitieux, est envoyé au-delà des mers pour faire régner la paix romaine en Bretagne. Son père, avant lui, y est venu mais sa légion a disparu. Après un combat où il est grièvement blessé, Marcus doit renoncer à la vie militaire. Désemparé, blessé physiquement et moralement, il se sent perdu. Ses seuls amis sont un jeune loup et son esclave, un ancien gladiateur. Il obtient la charge d'une mission secrète et périlleuse : retrouver l'aigle de la

Le Père Ubu tue le roi, sous les yeux de la reine et du jeune Bougrelas qui s’échappent tous les deux dans les montagnes. La reine meurt. Bougrelas, orphelin et seul héritier encore en vie (ses deux frères ont également été tués par le Père Ubu), se doit de venger sa famille et veut récupérer le trône usurpé. Pendant ce temps, le Père Ubu est couronné roi et il organise une fête, entre jeux du cirque (course au trésor) et orgie. Acte III : Ubu, roi des Polonais. Ubu gouverne le pays, conseillé par

.......17 2 1 Introduction Au XVIIe siècle, la littérature française, influencée par le contexte politique et culturel, a vu l’essor de nombreuses formes littéraires dans les domaines de la dramaturgie (Corneille, Racine, Molière) et du roman sans oublier la poésie baroque sous Louis XIII. Parmi ces courants littéraires, les ouvrages moralisateurs ou rhétoriques prenaient bonne place, usant souvent de la religion comme trépied de leur pensée. Les Pensées de Pascal n’échappe pas à la

l’essentiel, ce document n’aurait pu être développé sans les efforts de Darlene Perner, aux États-Unis. En effet, Darlene Perner a dirigé le projet, modifié et coordonné tous les changements intervenus suite aux remarques pertinentes de plusieurs lecteurs. Certains d’entre eux ont contribué de manière substantielle à la réalisation de ce document sur plusieurs étapes, tandis que d’autres ont participé en apportant des commentaires d’ordre plus général : Anupam Ahuja, Maria Luisa Barros de Sousa, Rosa

immaculée ou se couvre de ratures désordonnées, signe d’un malaise intérieur. Ces obstacles affectent également les prestations orales qui s’appuient, dans ce cas, sur des notes trop denses ou peu organisées. Dans la première situation, l’orateur devient lecteur ennuyeux et, dans la seconde, il peut se laisser ballotter par son émotion ou les réactions de son auditoire. En tant que formateurs en communication écrite et orale, nous avons été souvent confrontés à de telles attitudes amenant très fréquemment

secours à un public de futurs traducteurs. Si elles figurent ici c’est d’abord pour satisfaire les lecteurs passionnés de poésie, et ensuite parce qu’il est inconcevable qu’elles fassent défaut à une œuvre qui traite de la stylistique. Nous espérons avoir pu atteindre l’objectif que nous nous sommes fixé en concevant cet ouvrage et souhaitons vivement qu’il puisse réponde aux attentes des lecteurs. Introduction Qu’est-ce que la stylistique ? Le terme de style (du latin stilus=poinçon servant

contenant peu de personnages. 3- a) Le premier texte est un extrait de pièce de théâtre. Les indices sont : le numéro de la scène, le nom des personnages en début de scène ou avant leur réplique, et les didascalies (indications souvent en italique, qui précisent le ton, les déplacements, les gestes, le décor...). b) Le deuxième texte est un extrait de roman. Les indices sont : l’emploi des temps du récit (imparfait – passé simple), l’alternance de deux formes de discours (narratif et descriptif). c) Le troisième

service de la coordination informatique et Agnès Macquin, directrice de la Médiathèque François-Mitterrand de Poitiers pour leur soutien dans la démarche de mon enquête. Je tiens particulièrement à remercier Lionel Dujol de la médiathèque du Pays de Roman, Béatrice Branellec, responsable informatique et numérique de la médiathèque de Rueil-Malmaison et Elodie Laperna de la médiathèque de la communauté d’agglomération de Pau, pour avoir répondu à l’enquête et pour les entretiens passionnants qu’ils m’ont

médiévale reste véhiculée par la langue ‘littéraire’ par excellence : le latin. Cependant, ce n’est pas la ‘littérature écrite’ en latin qui nous intéresse. Notre étude s’organise autour d’un corpus beaucoup plus limité de textes ‘écrit’ en ‘langue romane rustique’ : le/les français. La pratique scripturale d’une langue vernaculaire destinée à devenir ‘langue littéraire’ impose une imitation (‘imitatio’) mais aussi une rupture des formules et des tabous de la culture cléricale latine, impose la quête

que les girouettes criaient comme des grues en sentinelle sur qui crève l’averse dans les bois. La chanterelle3 de mon luth, appendu à la cloison, éclata ; mon chardonneret battit de l’aile dans sa cage ; quelque esprit curieux tourna un feuillet du Roman de la Rose qui dormait sur mon pupitre. Mais soudain gronda la foudre au haut de Saint-Jean. Les enchanteurs s’évanouirent frappés à mort, et je vis de loin leurs livres de magie brûler comme une torche dans le noir clocher. Cette effrayante lueur