Un caprice

féconde d'Alfred de Musset, dont la création est exacerbée par les souffrances qu'il vit lors de sa liaison passionnée avec George Sand, de 1833 à 1835. A cette époque il écrit notamment Les Caprices de Marianne, Fantasio, On ne badine pas avec l'amour, Lorenzaccio, Le Chandelier, Il ne faut jurer de rien, Un Caprice, et les poèmes des Nuits et de La Confession d'un enfant du siècle. La dualité irréconciliable de la personnalité de Musset, entre angélisme et débauche, si bien incarnée dans le couple d'Octave

tente sa chance au théâtre. Mais après l'échec de La Nuit Vénitienne ou les noces de Laurette, l'auteur dit « adieu à la ménagerie, et pour longtemps », comme il l'écrit à Prosper Chalas. Cet éloignement durera dix-sept ans, jusqu'au succès d'Un Caprice, comédie en un acte donnée au Théâtre-Français le 27 novembre 1847. À cette époque, devenu alcoolique, il pouvait y revenir plus serein. Dépressif et alcoolique, au-delà de 30 ans, il écrit de moins en moins : on peut cependant relever les poèmes

nouvelles pièces.Il se brouille avec V.Hugo.   1833 Rencontre avec George Sand, c'est la naissance d'une passion. Ils séjournent à Fontainebleau et partent en Italie, à Venise. On ne badine pas avec l’amour (Pièce de théâtre); Rolla (Poème)Les caprices de Marianne (Pièce de théâtre). 1834 Au début de l’année, Musset tombe malade. Sand noue une liaison avec Pagello, le médecin qui vient soigner Musset. Rétabli, Musset quitte Venise pour Bade, G.Sand rentre à Paris avec Pagello puis le congédie

père qu'il se décida à se lancer vraiment dans la littérature. Il tenta sa chance au théâtre, mais fût profondément blessé de l'échec de la comédie en un acte La nuit vénitienne et prend des distances avec la scène. Il eu un succès avec la pièce Un caprice, 17 ans plus tard. Même si Musset refuse la scène, il ne délaisse pas sa passion pour le théâtre. Il décida que les pièces qu'il écrirait seraient destinées à la lecture, et non pas à la représentation. Il choisit de publier ses pièces dans La revue

Correction du commentaire Montesquieu, « Les Caprices de la mode » lettre 100, Lettres Persanes. [Les titres ne sont indiqués que pour vous permettre d’avoir une idée de la structure du commentaire : ils ne doivent bien sûr pas figurer dans votre devoir.] Introduction. Avant L' Esprit des lois, Montesquieu devient le précurseur des philosophes des Lumières en même temps que celui des romans épistolaires. Les Lettres Persanes éditées en 1721 à Amsterdam sous un pseudonyme bénéficieront longtemps

? C'est votre amant. MARIANNE. - Me direz-Vous aussi pourquoi je vous écoute ? Adieu, seigneur Octave ; voilà une plaisanterie qui a duré assez longtemps. (Elle sort.) OCTAVE. - Ma foi, ma foi ! elle a de beaux yeux. (Il sort.) Musset, Les Caprices de Mar

LECTURE DU TEXTE : « Les caprices de la mode » (Lettres persanes, XCIX) INTRODUCTION : Publié après 1721, cet extrait est issu du roman épistolaire de Montesquieu, philosophe et romancier du mouvement des Lumières. Ce recueil met en scène deux personnages fictifs, Usbek et Rica, des Persans qui voyagent en Europe et correspondent avec leurs proches restés au pays. C’est à travers le regard étranger que Montesquieu fait une critique des sociétés européennes. Dans cette lettre, Rica écrit à

 INTODUCTON Caprices du destin est l’œuvre du nigérien Mahamadou Halilou Sabo écrit en 1980. Au cours de cet exposé on vous présentera l’auteur, puis un bref résumé du roman, verrons les personnages du roman puis nous étudierons les thèmes du roman, la portée de l’œuvre et enfin tirer une conclusion. I PRESENTATION DE L’AUTEUR 1. Biographie HALILOU SABO MAHAMADOU Enseignant de l’époque des indépendances, né en 1937 à Tahoua, a au cours de sa carrière fourni des chef d’œuvres qui font

au temps de Musset. De plus, la variété des questions traitées par les différents personnages ne cesse d'impressionner, ainsi que la manière de les traiter par chacun d'entre eux. C'est pour cela que l'on ne peut énoncer facilement le thème des Caprices de Marianne sans réduire l'œuvre à une insignifiance indigne. Parmi ses principaux sujets on peut pourtant distinguer : la condition de la femme dans la société, l'amour, la beauté, la religion, l'amitié, ou encore d'autres que l'on peut déceler

Les Caprices de Marianne (I,1 : “ Et n’est-ce pas un suicide… sur sa jalousie ”) 1) Une composition en diptyque : Le portrait d’Octave répond à celui que Cœlio a déjà esquissé dans son monologue (“ Malheur à celui… ”) et surtout à celui qui va suivre. Après une série de répliques en parallélismes qui soulignent à quel point les deux personnages se ressemblent mais s’opposent, les deux portraits se présentent comme deux volets complémentaires. La structure même du texte présente Octave et Cœlio