Un Coeur Simple Conte Realiste

expériences et de ses impressions, par exemple dans Hérodias. Le 19 septembre 1851, Flaubert, poussé par ses amis Louis Bouilhet et Maxime Du Camp, commence la rédaction de Madame Bovary, en s'inspirant d'un fait divers normand. Il achèvera son roman réaliste et psychologique en mai 1856 après 56 mois de travail. Il fréquente épisodiquement les salons parisiens les plus influents du Second Empire, comme celui de Madame de Loynes dont il est très amoureux ; il y rencontre entre autres George Sand. À la

ratent pas, si vous les avez ratés vous au premier coup.[1] J. Gracq ajoute : En matière de critique littéraire, tous les mots qui commandent à des catégories sont des pièges. Il en faut, il faut s’en servir, à condition de ne jamais prendre de simples outils-pour- saisir, outils précaires, outils de hasard, pour des subdivisions originelles de la création ; que d’énergie gaspillée à baliser les frontières du ‘’romantisme’’, à répartir les œuvres d’imagination entre les fichiers du fantastique

vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Maupassant se limite à une décennie — de 1880 à 1890 — avant qu’il ne sombre peu à peu

expériences et de ses impressions, par exemple dans Hérodias. Le 19 septembre 1851, Flaubert, poussé par ses amis Louis Bouilhet et Maxime Du Camp, commence la rédaction de Madame Bovary, en s'inspirant d'un fait divers normand. Il achèvera son roman réaliste et psychologique en mai 1856 après 56 mois de travail. Il fréquente épisodiquement les salons parisiens les plus influents du Second Empire, comme celui de Madame de Loynes dont il est très amoureux ; il y rencontre entre autres George Sand. À la

expériences et de ses impressions, par exemple dans Hérodias. Le 19 septembre 1851, Flaubert, poussé par ses amis Louis Bouilhet et Maxime Du Camp, commence la rédaction de Madame Bovary, en s'inspirant d'un fait divers normand. Il achèvera son roman réaliste et psychologique en mai 1856 après 56 mois de travail. Il fréquente épisodiquement les salons parisiens les plus influents du Second Empire, comme celui de Madame de Loynes dont il est très amoureux ; il y rencontre entre autres George Sand. À la

ailleurs des actes sont aussi appuyés et exagérés. Bernard Fontenelle caricature ses contemporains à travers une anecdote qu’il rapporte dans l’Histoire des oracles. « La dent d’or » montre le savoir démesuré que s’octroient les savants en 1688 : une simple feuille d’or appliquée à une dent devient un cas extraordinaire dont on écrit des livres. Cette situation risible accentue l’orgueil et la vanité de ces hommes, pourtant si communs. Bien que Mercier n’aborde pas le même siècle dans son utopie, L’an

évoque le roman, c’est à titre de repoussoir : il faut fuir les « petitesses » des héros de roman et se garder de peindre « des bergers doucereux ». Comme le roman, d’origine roturière, n’a aucune dignité, on ne saurait exiger de lui rien d’autre qu’un simple divertissement : « Dans un Roman frivole aisément tout s’excuse. / C’est assez qu’en courant la fiction amuse. » Et quand on le prend plus au sérieux que ne le fait Boileau (Huet, d’Aubignac), on lui enjoint de s’astreindre aux règles du poème épique

impressions, par exemple dans Hérodias. 5.      De 1851 à 1869 Le 19 septembre 1851, Flaubert, encouragé par ses amis Louis Bouilhet et Maxime Du Camp commence la rédaction de Madame Bovary, en s'inspirant d'un fait divers normand. Il achèvera son roman réaliste et psychologique en mai 1856 après 56 mois de travail. Il fréquente épisodiquement les salons parisiens les plus influents du Second Empire, comme celui de Madame de Loynes dont il est très amoureux. À la fin de l'année 1856, Madame Bovary paraît

musique) favorisent la rencontre amoureuse.II/ La mise en scène1/ L'effet· L'effet, comme dans la plupart des scènes de première rencontre, est instantané.· Il est signalé par le passage brutal de l'imparfait au passé simple.· Avant la rencontre règne la durée répétitive du simple désir ; sitôt après la rencontre, surviennent le bouleversement devant l'irruption de la nouveauté et de la passion.· Alors que d'habitude l'échange des regards est canonique dans ce type de scènes, Vian l'omet mais il

leurs traits caractéristiques : comique, humoristique, ironique, parodique, burlesque, tragique, dramatique, épique, pathétique, fantastique, lyrique, élégiaque, nostalgique, didactique, polémique, critique, satirique,etc. Autres qualifications : réaliste, pittoresque, fantaisiste, mystérieux, effrayant, inquiétant, tonique, dynamique, animé, émouvant, apaisant, symbolique, allégorique, laudatif, oratoire, éloquent, froid, glacial, grave, passionné, traditionnel, anticonformiste, provocateur, contestataire