Un Coq Chanta

 21 juin : « Le Voleur » (signé Maufrigneuse)  25 juin : « Les Vieilles »  27 juin : « À propos du divorce »  28 juin : « Confessions d'une femme » (signé Maufrigneuse)  1er juillet : « Clair de lune »  5 juillet : « Un coq chanta » (signé Maufrigneuse)  9 juillet : « Chronique »  16 juillet : « En Bretagne »  18 juillet : « Discours académique » (signée Maufrigneuse)  24 juillet : « L'Enfant »  25 juillet : « Le Verrou » (signé Maufrigneuse)  28

Un clerc ajouta : passe tes examens! (pour Frédéric). À vingt toises des ponts, Frédéric et Deslauriers se recontrerent à nouveau, Deslauriers le reoncduit jusqu'à l'Hôtel-Dieu et ses séparent. Chapitre 3 : 2 mois plus tard, Frédéric débarque rue Coq-Héron et songe immédiatement à une grande visite. Le père Roque est venu apporter un rouleau de papiers à Frédéric en lui priant de le remettre chez M. Dambreuse (bourgeois). VRAI NOM DE M.DAMBREUSE : Comte d'Ambreuse mais dès 1825, abandonnant sa

cor par deux fois, des crimes de sang seraient perpétrés et le Meurtre, à pas silencieux, se mettrait en marche. À peine avait-il achevé ce terrible serment qu'un coq chanta sur le toit de tuiles rouges d'une ferme lointaine. Il laissa échapper un long rire étouffé chargé d'amertume et attendit. Heure après heure, il attendit, mais le coq, pour quelque raison étrange, ne rechanta pas... Enfin, à sept heures et demie, l'arrivée des femmes de chambre l'obligea à abandonner sa veille et il regagna dignement

par deux fois, des crimes de sang seraient perpétrés et le Meurtre, à pas silencieux, se mettrait en marche. À peine avait-il achevé ce terrible serment qu’un coq chanta sur le toit de tuiles rouges d’une ferme lointaine. Il laissa échapper un long rire étouffé chargé d’amertume et attendit. Heure après heure, il attendit, mais le coq, pour quelque raison étrange, ne rechanta pas... Enfin, à sept heures et demie, l’arrivée des femmes de chambre l’obligea à abandonner sa veille et il regagna

des regards pleins de passion. Et elle resta longtemps, longtemps, à rêvasser ainsi, tandis que la lune, achevant son voyage à travers le ciel, allait disparaître dans la mer. L’air devenait plus frais. Vers l’orient, l’horizon pâlissait. Un coq chanta dans la ferme de droite ; d’autres répondirent dans la ferme de gauche. Leurs voix enrouées semblaient venir de très loin à travers la cloison des poulaillers ; et dans l’immense voûte du ciel, blanchie insensiblement, les étoiles disparaissaient

« Pour faire le portrait d'un oiseau », Prévert invente un monde de tous les possibles où un oiseau peut venir s'installer ; dans « Inventaire » (Paroles), il raconte la présence saugrenu de raton(s) laveur(s) dans un bric-à-brac généré par une suite de coq-à-l'âne et de calembours. Par le « déracinement » du langage : fuir la « réalité » des mots « Poète est celui-là qui rompt avec l'accoutumance » (Saint-John Perse). Refus des règles ordinaires de l'expression quotidienne ; détournement des lois du

écussonnée d’une licorne ou de deux cigognes.   Paris, 10 septembre 1836.   Les Fantaisies de Gaspard de la Nuit Ici commence le premier livre des Fantaisies de Gaspard de la Nuit École flamande Harlem Quand d’Amsterdam le coq d’or chantera La poule d’or de Harlem pondera. Les Centuries de Nostradamus. Harlem, cette admirable bambochade qui résume l’école flamande, Harlem peint par Jean-Breughel, Peeter-Neef, David-Téniers et Paul Rembrandt ;

quand ils commancent á tomber amoureux: “Elle resta longtemps, longtemps, à révasser ainsi, tandis que la lune , achevant son voyage à travers le ciel, allait disparaître dans la mer. L’air devenait plus frais. Vers l’rient, l’horizon palissait. Un coq chanta dans la ferme de droite; d’autres répondirent dans la ferme gauche. Leurs voix enrouées semblaient venir de très loin à travers la cloison des poulaillers ; et dans l’immense voûte du ciel, blanchie insensiblement, les étoiles disparaissaient. (…)

aller chercher ma vie aut’ part ! Il ouvrit la porte. Un bruit de voix entra. Les Vallin festoyaient avec l’enfant revenu. Alors Charlot tapa du pied et, se tournant vers ses parents, cria : – Manants, va ! Et il disparut dans la nuit. 164 Un coq chanta À René Billotte. Mme Berthe d’Avancelles avait jusque-là repoussé toutes les supplications de son admirateur désespéré, le baron Joseph de Croissard. Pendant l’hiver à Paris, il l’avait ardemment poursuivie, et il donnait pour elle maintenant des

bras son mari, sans mouvement. Un coq chanta. » Mérimée, Romans et nouvelles. Dans l’exemple 1, on parle d’abord de je puis on passe à un vol de canards, thème qui n’a aucun rapport avec le premier. S’il ne s’agissait pas d’un texte littéraire, dans lequel tous les éléments sont soigneusement choisis et disposés par l’auteur, on dirait que « l’on a sauté du coq à l’âne ! » Dans l’exemple 2, on parle d’abord d’elle, puis d’un coq. Il y a certainement une relation