Un crime d'amour

romanesque? De plus force est de constater que le discours mené sur ce désir est parfois des plus contradictoires ce qui nous amène à considérer l’affirmation suivante: «Dans le roman, le désir est à la fois une bénédiction et une malédiction, un crime et une excuse.» Il s’agit de se demander quelles sont les réelles motivations du désir et quels en sont ses effets afin de pouvoir comprendre les antagonismes de cette phrase et y accorder ou non crédit. Pour cela nous nous pencherons sur l’étude

après avoir lu cet extrait, répondre (en français) aux questions. 1. Présenter le document (auteur, date de publication, titre de l’œuvre…). 2. Pour quelles raisons l’auteur considère-t-il la peine de mort comme un « crime judiciaire » ? 3. Quelles solutions propose-t-il à la peine de mort ? 4. Sa démonstration est-elle encore valable aujourd’hui ? -1- -2-

le temps on comprond promet moi qu'un jour j'aurai confiance à l'amour quand on aime quelqu'un on l'aime entierment , cc'est ça le contrat tu me manques terriblement je t'aimrai toute ma vie si l'amour est un crime alors oui moi je suis coupable Ailleurs n'est jamais loin quand on aime Aime comme si un jour tu devais haïr, haïs comme si un jour tu devais aimer Aimer aide à connaître, connaître aide à comprendre, comprendre aide à aimer

toutes les formes de la transgression que chante l'auteur. Le mauvais garçon devient personnage à la mode, soutenu par Cocteau aussi bien que par Sartre : argument de ballet ('Adame miroir, 1948), essai (Lettre à Leonor Fini, 1950), film (Un chant d'amour, 1950, dont la diffusion demeure clandestine), articles (le premier étant consacré à Jean Cocteau). Mais une fissure apparaît, et une « détérioration psychologique », à partir de la publication de l'essai que Sartre lui consacre en 1952, démontant

fille et de lui. On trouve des appellations de tendresse -> ligne 2, 21, 23. Transmission du manque dans l’avenir. Les rôles sont inversés. Marie est appelé à compatir du sort de son père : « comprends-tu cela Marie ? » ligne 9. 2) Déclaration d’amour paternelle Marie est comparée à Marie (mère de Jésus). Narrateur est ici un père attentif, tendre -> ligne 2 à 22. On trouve le champ lexical de l’amour paternel. Narrateur qui est aussi chef de famille comme on le voit ligne 22 avec son éducation

psychologique d’un personnage (ici l’avare) porteur d’un trait typique de caractère : l’avarice. La force de la pièce de Molière est dans la façon dont il mène la critique sur l’avarice. Il la présente comme un trouble grave du comportement : l’avare aime d’amour son argent, il l’aime plus que ses enfants. Cette pièce fait réfléchir en outre à l’éternel conflit entre les générations à l’intérieur d’une famille. Les thèmes abordés dans la pièce. Les thèmes principaux de cette pièce ne sont, à priori, guère

|Mandy | |20 |1er mai |Chère Mandy |A plus ! Bise |Tracey | |21 |4 mai |Chère Trace |… et plein d’amour |Mandy | |22 |8 mai |Chère Mandy |Bisous |Tracey | |23 |12 mai |Chère Trace

4. Marques d'exagération. Répétitions : de la forme négative dans le premier paragraphe, du verbe craindre (3e et 4e paragraphes), du déterminant « aucune » (3 e, 5 e et 7 e paragraphes), des substantifs « adultère » (2e, 4e et 6e paragraphes), « crime » (4e et 6e paragraphes) et « idée » (2 e, 3 e, 4 e et 6 e paragraphes) ; — adverbes : « tout à coup » (2e, 3e et 6e paragraphes), « en foule », « jamais » ; — adjectifs exprimant la subjectivité : « affreux » (cinq occurrences) ; « dégoûtant », «

existence : il dit à Roxane qu’il l’aime et elle lui répond qu’elle l’aime aussi… C’est pourquoi nous étudierons ce texte en 3 parties. Tout d’abord en voyant la déclaration d’amour, puis nous verrons la sincérité et émotion de l’aveu et enfin pour finir nous verrons la déclaration à plusieurs voix. I. Une déclaration d’amour. 1) le registre lyrique. Il est présent dans ce texte théâtral. * Ponctuation particulière : « ! » v.1456 Longue tirade avec une réelle omniprésence des points d’exclamations

réservée aux femmes, le gynécée, situé d'habitude au premier étage. Il était hors de question pour la jeune filles durant l'antiquité de choisir elle même son époux, son tuteur décidé à sa place .Les mariages était des unions de convenance et non d'amour véritable. Une fois mariée, le mari devenait le tuteur, et la femme continuait à vivre à la maison comme avant. La seule différence, était que maintenant c'était elle qui tenait la maison. Elle veillait a tout au quotidien, élevait les enfants, s'occupait