Un crime d'amour

frère William a été assassiné et que c’est Justine, la fille qui s’occupait du garçon, la meurtrière. Mais Victor, ayant vu sa créature sur les lieux du crime, sait qu’elle est innocente et que c’est le monstre qui a tué le pauvre enfant. Lui et sa famille vont tout tenter pour prouver son innocence mais en vain. Justine sera pendue pour ce crime qu’elle n’a pas commis. Victor s’accuse de la mort de William et Justine et tombe en dépression. Quelques jours après, sa créature vient le voir et lui

sans peine, qu’elle aime Hippolyte, invitant à reconsidérer les données de la scène d’exposition. A ce nom, Oenone se récrie et dénonce le caractère criminel de cet amour en même temps que la fatalité qui pèse sur cette famille : « O désespoir, ô crime, ô déplorable race ! ». La longue tirade de Phèdre ici étudiée constitue sa réponse en même temps que son aveu total. Elle consiste en un récit relatant la naissance et les différentes étapes de cet amour, récit pendant lequel Phèdre s’accuse et accuse

lié ma langue, retenu mes paroles » (=aveu) - Oppositions entre « mari vertueux » et son « crime irrémissible » • Leitmotiv du châtiment, de la faute et du jugement « punir » « faute » vengeance » • Vocabulaire chrétien lié à la souffrance : « supplice » infidèle » « repentir » « ciel ».. • Thématique de la mort omniprésente : châtiment divin Conclusion : Lettre d’adieu. reproche a Valmont, aveu d’amour pour celui-ci , et demande de pardon pour son mari dit vertueux . Reproche a ses amis de

envie d'aimer. Je n'ai jamais aimé. La rencontre avec ANS : page 96 : « je ne savais pas que vous existiez...Calcutta (Anne-Marie) est devenu une forme d'espoir : je vous aime ainsi...dans l'amour de Michael Richardon... » Page 98 : « les histoires d'amour vous les vivez avec d'autres. Nous n'avons pas besoin de çà » Il a trouvé son double en femme : page 98 : Nous sommes les mêmes Inde et romanesque : Cycle indien est un état d'âme dans les œuvres de Duras qui n'est pas dessiné sur une carte.

mère Amalécyte, Je ressème à ses pieds les dents du vieux dragon. DELFICA La connais-tu, Dafné , cette ancienne romance, Au pied du sycomore, ou sous les lauriers blancs, Sous l'olivier, le myrte, ou les saules tremblants, Cette chanson d'amour qui toujours recommence?... Reconnais-tu le Temple au péristyle immense, Et les citrons amers où s'imprimaient tes dents, Et la grotte, fatale aux hôtes imprudents, Où du dragon vaincu dort l'antique semence?... Ils reviendront, ces dieux que

amant, Colòn, meurtrier de leur petite fille. Nous sommes conduits, donc, à épouser ce principe. Ou bien Gladys suit le raisonnement de ses avocats et rejette tout le poids du crime sur son amant, ou bien elle se condamne avec lui, solidaire dans le crime — ce qui paraît « absurde » à tous les responsables : la complice d’un crime doit tout de même montrer qu’elle est raisonnable. Relevons qu’il s’agit là d’un choix à dimension morale : dans tous les cas, Colòn sera jugé comme meurtrier de sa fillette ;

la logique implacable des sentiments contradictoires, le délire verbal qui sont si caractéristiques de Shakespeare. ____________________________________________________________ _____________________ ‘’Love's labour’s lost’’ (1595) “Peines d'amour perdues” Comédie en cinq actes en vers et en prose Le roi de Navarre et trois gentilshommes de sa cour : Biron, Longueville et Du Maine, ont juré de ne point voir de femmes pendant trois ans et de mener une vie retirée, vouée à l'étude et à

qu'il me plaît, je remplis tour à tour Les hommes de terreur, et les femmes d'amour. Du temps que ma beauté m'était inséparable, Leurs persécutions me rendaient misérable : Je ne pouvais sortir sans les faire pâmer. Mille mouraient par jour à force de m'aimer : J'avais des rendez-vous de toutes les princesses ; Les reines à l'envi mendiaient mes caresses ; Celle d'Ethiopie, et celle du Japon, Dans leurs soupirs d'amour ne mêlaient que mon nom. De passion pour moi deux sultanes troublèrent ;

vieille fille sentimentale, et de sa fille Armande, à l'esprit quelque peu calculateur. Ces trois beaux-esprits épris de poésie et de science, qui n'ont que dédain pour les choses domestiques, entendent renvoyer Martine, une servante qui commet le crime d'estropier la grammaire. Alors qu'Armande, dépitée par l'abandon de Clitandre qui s'est lassé de ses froideurs, affecte de mépriser le mariage, sa jeune sœur Henriette entend au contraire épouser ce même Clitandre, devenu amoureux d'elle. Mais Philaminte

sens et décrit ses relations avec sa maitresse à l’aide des sens. De plus, ses textes évoquent également des désirs allant à l’encontre de la morale judéo-chrétienne. Cette idée sera présentée dans le prochain paragraphe. Deuxièmement, son désir d’amour sensuel est confronté à la morale judéo-chrétienne. En premier lieu, il y a le symbole de la couleur noire et ensuite, le désir sexuel et le gout du néant. Pour débuter, la couleur noire a un rôle important dans le message transmis. En effet, Mme Duval