Un drame au bord de la mer

tempête Xynthia a atteint le littoral atlantique dans la nuit du samedi 27 au dimanche 28 février avant de poursuivre sa route vers la Manche et la mer du Nord. A) QUEL EN EST LE BILAN ? Les inondations de la tempête Xynthia sont d'autant plus dramatiques qu'elles surviennent dans des zones fortement peuplées et construites. Pour illustrer ce drame, de nombreux chiffres ont été annoncés dans les journaux, témoignages ou bilans publiés. « Bilan humain, bilan matériel : le 3 avril 2010 les estimations

popularité comparable à celle de Sophocle, dont l'écriture est bien différente. Toutefois, outre de nombreux fragments, il reste des plus de nonante oeuvres d'Euripide, dix-sept tragédies, compte non tenu de Rhésos, dont l'attribution est douteuse, ni du drame satyrique, Le Cyclope. Cette survie, si modeste soit-elle, est bien supérieure à celle des oeuvres d'Eschyle et de Sophocle dont la production fut comparable. Elle témoigne du succès posthume d'une oeuvre qui annonçait l'évolution du goût de la société

Résumés des chapitres Chapitre I A bord de l’avion, Fabien et son équipier ramènent un courrier de la Patagonie vers Buenos Aires. Ce pilote maîtrise son avion, il se sent bien dans cette machine (qui devient presque humaine, il le compare à une chaire vivante) qu’il connaît par cœur. Tout d’abord, il éprouve un attachement vis-à-vis de la terre et lorsqu’il aperçoit un minuscule village en bas, il a un sentiment de possession et de conquête et souhaiterait rester dans ce ciel : « Fabien eût

XVIIIe siècle devient un malaise de vivre général, une sentimentalité. Son décor est la Nature dont la solitude permet au sujet de se détourner du monde et de prendre conscience de lui-même. Caspar David Friedrich Le Moine au bord de la mer 1808-1810 Huile sur toile 110 x 171,5 cm Staatliche Museen, Nationalgalerie, Berlin Avec la mort de Dieu proclamée par Nietzsche se termine la longue histoire de la perte d’un monde garanti par la foi ; désormais la solitude

caractérisée par un tiraillement permanent, et dans son œuvre où les personnages apparaissent très souvent déchirés, entre deux mondes. Ses premières années, Maupassant les passe à Fécamp un sein d’une famille désunie. Entouré de pêcheurs, au bord de la mer, il aime à contempler les voiliers pour lesquels il vouera une grande passion toute sa vie. Son père, Gustave de Maupassant, est un mari infidèle préoccupé davantage par la gente féminine (il collectionne les maîtresses) que par toute forme culturelle

littérature, en publiant à l’âge de 19 ans, son 1er recueil poétique intitulé. « Contes d’Espagne et d’Italie ». Ce recueil lui vaut un grand succès et il poursuit alors dans ce monde, et se lance alors dans l’écriture de pièces de théâtre, dont le drame romantique Lorenzaccio sera considéré comme son plus grand chef d’œuvre. En 1834, on compte alors 6 pièces écrites de sa plume ; et l’année suivante, Alfred de Musset se redirige vers la poésie, avec ses 4 nuits, et termine sa grande épopée littéraire

bois, deux hommes étaient debout. Nous vîmes cela pendant une seconde: c'était, nous sembla-t-il, deux misérables en haillons, rouges dans la lueur éclatante du foyer, avec leurs faces barbues tournées vers nous, et autour d’eux, comme un décor de drame, les arbres verts, d'un vert clair et luisant, les troncs frappés par le vif reflet de la flamme, le feuillage traversé, pénétré, mouillé par la lumière qui coulait dedans. Puis tout redevint noir de nouveau. Certes, ce fut une vision fort étrange

trois unités. L'action se déroule environ de 36 à 48 heures ; la durée sur 24 heures, si chères aux Classiques, est ainsi dépassée. Par ailleurs, les décors se succèdent et changent d’acte en acte. Dom Juan traverse ainsi la campagne, la forêt, le bord de mer, les villes et un palais. L'unité de lieux n'est donc plus respectée. Les nombreuses péripéties et les maintes rencontres de Dom Juan jalonnent la pièce, ceci au détriment d'une action unique et progressive. Dom Juan se démarque aussi du genre

caractérisée par un tiraillement permanent, et dans son œuvre où les personnages apparaissent très souvent déchirés, entre deux mondes. Ses premières années, Maupassant les passe à Fécamp un sein d’une famille désunie. Entouré de pêcheurs, au bord de la mer, il aime à contempler les voiliers pour lesquels il vouera une grande passion toute sa vie. Son père, Gustave de Maupassant, est un mari infidèle préoccupé davantage par la gente féminine (il collectionne les maîtresses) que par toute forme culturelle

né comme naissent les gens. J’ai une mère et une maison pleine de fenêtres. J’ai des frères, des amis et une prison avec une fenêtre frisquette. J’ai une vague que les mouettes ont dérobée. J ’ai mon paysage favori. J’ai un chaume, une lune au bord extrême du mot, de la nourriture pour les oiseaux et un olivier immortel. Je suis venu sur terre avant que les épées ne touchent un corps et en fassent un festin. Je suis de là-bas. Je rends le ciel à sa mère quand il pleure pour elle et moi