Un enfant dans la foule

impatiente, exigeante ; elle deviendrait insupportable avec le jour, le bruit, la foule ; elle pourrait se déchaîner, le torturer. Aussi lui dit-il, comme lorsqu’on veut calmer un enfant : «Sois sage», «tiens-toi plus tranquille», l'agitation de cet enfant terrible étant rendue par les «t» qui font comme un tintamarre. Une deuxième phrase occupe les trois autres vers du quatrain. Au vers 2, la «Douleur» ayant, comme un enfant, réclamé ce qu'elle n'avait pas, le poète semble satisfaire son caprice : «Tu

cousin, en homme honnête il s’empressa de défendre son cousin. Moneys explique: "Non, il n'a pas pu dire ça! Pourquoi pas "A bas la France! "?" Et là, les villageois l'interpellent: "Quoi? Qu'est-ce que vous venez de dire?" -interview Teulé6 La foule s’était alors enflammée marquant le début de la mise à mort de ce « cochon de Prussien ». Malgré les tentatives d’Alain de Moneys pour raisonner les villageois, ces derniers se mirent à le malmener, puis à le passer à tabac. La victime fut ensuite

Cette photographie a été publiée le 4 Septembre 1944 dans Life magazine, avant de faire le tour du monde. DESCRIPTION : La scène se passe dans une rue de la ville de Chartres. On aperçoit en arrière-plan le drapeau tricolore puis au second plan une foule majoritairement féminine avançant. Au premier plan, un groupe de femmes moqueuses et des gendarmes l’air détendu, tous regardent en direction d’une femme au crâne rasé tenant un bébé dans ses bras. Devant ceux-ci se trouve un homme tenant un baluchon

meurt-de faim, guenilles, femelles lasses, décharnés, la faim », nous constatons la misère des mineurs qui est la source de leur révolte. Nous avons alors une relation de cause et conséquence entre la misère et la violence. L’emploi de l’oxymore « enfanter des meurt-de faim » renforce également cette misère insupportable. En plus, la multitude des hommes et des femmes appuie sur cette violence. En fait, les femmes comptent « près d’un millier » alors que les hommes sont nombreux de fois de plus

également être fabriqué à partir d'un nom qui exprime une quantité (nom + préposition « de » + nom qui est déterminé.) Par exemple, « une foule de », « une masse de », « un tas de »... On fait une différence car dans certains cas, le sens lexicale du nom s'efface parfois au profit du seul sens pluriel. Dans ce cas-là le verbe s'accorde au pluriel (ex : une foule de manifestants se massèrent devant la préfecture). Parfois, il s'agit de forme figée (ex : une sorte de, une espèce de, n'importe quel

chaque fois que l’auteur entendait passer sous ses fenêtres ces hurlements enroués qui ameutent des spectateurs pour la Grève, chaque fois, la douloureuse idée lui revenait, s’emparait de lui, lui emplissait la tête de gendarmes, de bourreaux et de foule, lui expliquait heure par heure les dernières souffrances du misérable agonisant, – en ce moment on le confesse, en ce moment on lui coupe les cheveux, en ce moment on lui lie les mains, – le sommait, lui pauvre poëte, de dire tout cela à la société

la foule comme un milieu ou un homme abandonne sa conscience individuelle et va intégere sa conscience collective. Il observe qu’en situation de foule, la psychologie d’un individu. Le simple fait d’être pris rend l’individu comme un automate, ne se sent pas responsable de ce qu’il fait. Et la somme de ces automates créerait une âme collective. L’individu serait comme hypnotisé, il abaisserait son niveau de résistance et donc les opinions seraient transmises plus fortement à lui par la foule. Grâce

fragilisait. James J. Braddock (Russell Crowe) Il a notamment dû endurer une terrible blessure au poignet au moment ou sa famille souffrait du froid et de la faim en hiver. La précarité dans laquelle ils vivaient a obligé sa femme a envoyer ses enfants vivre avec leurs oncles, n'ayant ni chauffage ni nourriture. Cette situation poussait Braddock à travailler malgré sa blessure, puis a reprendre les combats de boxe par la suite. Porté par l'amour de sa famille, la faim et la colère, Braddock élimine

expliquant comment la vie de Julien a été influencée. Lorsque Julien a rencontré Lydie Bruneau, il est tout de suite tombé amoureux de cette fille aux cheveux noirs qui lui promettait de l’affranchir de sa mère : « Pauline se sent privée de ses enfants, les regarde évoluer comme derrière une vitre, alors que la musique les enferme dans un cercle enchanté, là où règne l’étrangère [Lydie] qu’elle a elle-même invitée, à ses risques et périls ». Cependant, Lydie rejette l’amour de Julien en l’humiliant

de rire, c’est incomplet… N’importe , la femme est bien ! Bongrand ne s’est pas fichu de moi. » Son ami s’efforçait de l’emmener, mais il s’entêtait, il se rapprocha au contraire. Maintenant qu’il avait jugé son œuvre, il regardait et écoutait la foule. L’explosion continuait, s’aggravait dans une gamme ascendante de fous rires. Dès la porte, il voyait se fondre les mâchoires des visiteurs, se rapetisser les yeux, s’élargir le visage ; et c’étaient des souffles tempétueux d’hommes gras, des grincements