Un Etre Conscient Est Il Nécessairement Un être Libre

identité, de notre indépendance et de notre liberté ? 3 thèses : Thèse 1 : La conscience existe par elle-même, elle se détermine seule face à la nature. Elle est donc SUBSTANCE, c'est-à-dire la seule cause de ses actes (cause première). Elle est donc libre et responsable d’elle-même. Thèse 2 : La conscience est la source de nos préjugés, elle n’en finit pas de douter. Nous sommes déterminés par nos habitudes, par nos traditions, par notre culture et par nos origines sociales. La liberté n’est donc

une évidence absolue. Quoi que je pense, je ne puis nier que je pense, et donc que j’existe au moment même où je pense : « Cette proposition : Je suis, j’existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce, ou que je la conçois en mon esprit », conclut Descartes dans ses Méditations métaphysiques. Le sujet conscient de soi est ainsi posé comme ce que la pensée ne saurait éliminer sans se nier elle-même. ● Cependant les premiers lecteurs de Descartes ne comprirent pas ce que signifiait

des individus qui consacrent l'ensemble de leur vie au parti. Bien que de tels individus soient désignés dans le vocabulaire léniniste comme des « révolutionnaires professionnels », ils ne vivent pas nécessairement de leur activité politique, à laquelle ils consacrent en revanche tout leur temps libre. Ces cadres cherchent à assurer la mainmise du parti sur une source de pouvoir particulière. Les cadres représentent ainsi un groupe permanent capable de saisir les opportunités dés qu'elles se présentent

s’agit-il pas là, justement, d’un préjugé ? Les préjugés sont-ils nécessairement mauvais ? Qu’est-ce qu’un préjugé en effet ? On peut le définir comme un jugement hâtif et approximatif  fondé sur une expérience vague ou reçue pas ouï-dire. Un préjugé, c’est donc une idée préconçue et reçue sans examen ni critique mais néanmoins tenue pour vraie. Toutefois, si l’on ne considère que le contenu du jugement, celui-ci peut s’avérer faux mais être également vrai ou moralement bon, et tenu dans ce cas pour très

Tout homme revendique sa liberté individuel, comme le dit Husserl : « un sujet est un être libre », mais certains sont prêt à l’abandonner au profit/pour l’amour, pensant que cela est nécessaire, que cela « devait inéluctablement se produire », ainsi, ils se perdent dans leur relation, captifs de celle-ci ( ils se laissent donc entrainés par leurs passions et désirs). Plusieurs questions se posent donc : cette liberté tant revendiqué doit-elle disparaître au prétexte de l’amour, ou du déterminisme

vente compétitif, proche du coût de production de la marchandise, ce prix va être avantageux pour la population qui pourra acheter plus facilement pour satisfaire ses besoins ; - grâce à cette concurrence, on pourra obtenir une production conforme aux besoins de la société. Ainsi, selon Smith, tout se passe comme si une main invisible conduisait des actions individuelles parfaitement égoïstes, vers la réalisation du bien être collectif. Cette idée est l’idée centrale qui constitue la base du libéralisme :

veut s'affranchir d'une tutelle qu'il estime abusive et contraire à sa notion de liberté. La désobéissance remet en question l'autorité des lois, garantit pourtant pas nos droits fondamentaux. Est ce donc en désobéissant qu'un être peut prouver et admettre qu'il est libre ? Le problème est de savoir si la désobéissance n'est pas une liberté qui met en puéril la liberté. Si l'on réfléchis bien, nous pouvons désobéir quand bon nous semble. Mais il arrive que notre désobéissance face à quelque chose

bonheur Tout homme veut être heureux et cela peut suffire à définir ce qu’est le bonheur. Ce dernier est un état de complète satisfaction et de plénitude. D’après Pascal, «  Tous les hommes recherchent d’être heureux. Cela sans exception, quelques différents moyens qu’ils emploient  ». D’après Kant, «  Le bonheur étant un idéal à atteindre de l’imagination et non de la raison, il est objet d’espérance car le devoir prime sur le bonheur  ». Le bonheur peut être perçu comme une idéologie sociale

Désirer est-ce nécessairement souffrir ? Désirer est le fait de tendre vers un objet que l’on se représente comme une source possible de satisfaction ou de plaisir. Nécessairement exprime une obligation, un absolu. Souffrir, c’est éprouver douloureusement. Selon le sujet, il y aurait donc une interdépendance entre le désir et la souffrance. Cependant cela semble paradoxal car désirer n’est ce pas jouir de mettre en œuvre des actions pour obtenir la chose voulue ? Alors que la souffrance n’est

la thèse selon laquelle, la conscience que nous avons de nous même est loin d’être parfaite et infaillible et peut nous tromper sans que l’on s’en aperçoive. En effet, la conscience de soi n’est pas nécessairement une connaissance de soi et nous ne sommes pas toujours conscient ce que nous pensons être. Ce sont nos conduites de mauvaises foi, nos émotions, nos désirs, nos humeurs et nos actions qui en témoignent. Elles nous aveuglent et nous empêchent de prendre conscience que nous ne savons pas tout