Un Exemple De Calligramme Pour Poéme Triste

Page 3 : Poème du XXI ème siècle : « Heureux qui, comme Ulysse… » de Joachim du Bellay, extrait de Les regrets , écris en 1558, sonnet XXXI. Page 4 : Deuxième poème : Poème du XIX ème siècle : « Chanson » de Victor Hugo, extrait de Les châtiments écrit en 1853. Trouvé ici : http://www.naute.com/penserie/chanson.phtml Page 6 : Troisième poème : Poème du XIX ème siècle : « Demain, dès l’aube… » de Victor Hugo, écris en 1856, extrait des Contemplations. Page 7 : Quatrième poème : Poème du XIX

Guillaume Apollinaire, Alcools, Les colchqiues » (1913) Intro : - Apollinaire (1880 – 1918) -> pseudonyme - Œuvres : Alcools, Calligrammes - Liaison avec Annie Playden (gouvernante anglaise) « Les colchiques » est un poème qui appartient aux poèmes rhénans (1901-1902) et au cycle du mal-aimé. I Un thème obsédant la mort : Chez GA, le regret de la vie existe avant même qu’elle ne soit terminée : imprégnation de la mort. Pas de mot comme « mort » ou « mourir ». Colchique : plante des près

Sources : Calligramme d’Apollinaire : J’ai utilisé internet, et je suis allé sur le site « Jacques Mottier », le site officiel d’Apollinaire. Ane Frank : J’ai utilisé le livre édition « Livre de Poche Calmann-Lévy » Imprimé en Mai 2008, le film, Avant propos par Nicollette Oomes. Otto Dix : J’ai utilisé le site « Académie de Besançon », et le site officiel d’Otto Dix. OEUVRES FORME TECHNIQUE INTERPRETATION(Analyse) CONTEXTE-IMPACT Calligramme D’apollinaire :

contemporaine est publié. En novembre 1914, Apollinaire s'engage dans la Grande Guerre. Blessé, il meurt en 1918, après avoir publié ses Calligrammes, emporté par une grippe infectieuse. Apolinaire est un homme et un poète moderne. Homme moderne tout d'abord par son gout pour la ville nouvelle, pour l'architecture nouvelle. Rappelons-nous ses calligrammes sur la tour eiffel. Mais Apollinaire est aussi un auteur moderne en quête d'un « lyrisme neuf et humaniste en même temps » (« lettre à Toussaint

1552 ; le second est intitulé « Demain dès l’aube » et est extrait du recueil Les Contemplations publié par V. Hugo en 1856. Le dernier poème est un sonnet intitulé « Le Dormeur du val » extrait du recueil Poésies, publié par A. Rimbaud en 1870. Nous allons étudier le registre dominant de ces poèmes. Tout d’abord, on remarque que le sonnet de Ronsard et le poème de V. Hugo sont tous les deux lyriques. En effet, les poètes rendent tous les deux hommage à une femme : Ronsard célèbre Cassandre, la

le second est intitulé « Demain dès l’aube » et est extrait du recueil Les Contemplations publié par V. Hugo en 1856. Le dernier poème est un sonnet intitulé « Le Dormeur du val » extrait du recueil Poésies, publié par A. Rimbaud en 1870. Nous allons étudier le registre dominant de ces poèmes. Tout d’abord, on remarque que le sonnet de Ronsard et le poème de V. Hugo sont tous les deux lyriques. En effet, les poètes rendent tous les deux hommage à une femme : Ronsard célèbre Cassandre

de chaque époque, en fait une trace fragile et pourtant persistante d'une période, d'un courant de pensée, d'un mouvement idéologique. Un poème se résume mal, se traduit difficilement. Les mots priment avec leurs sons, leurs oppositions, leurs formes. Montaigne résumait ainsi la poésie: "Elle ne pratique point notre jugement; elle le ravit et le ravage." Le poème, défini de cette façon, semble être coupé du réel et échapper à l'analyse rationnelle. Pourtant, la poésie émane de la réalité, l'exalte

 Salomé Pour que sourie encore une fois Jean-Baptiste Sire je danserais mieux que les séraphins Ma mère dites-moi pourquoi vous êtes triste En robe de comtesse à côté du Dauphin Mon coeur battait battait très fort à sa parole Quand je dansais dans le fenouil en écoutant Et je brodais des lys sur une banderole Destinée à flotter au bout de son bâton Et pour qui voulez-vous qu'à présent je la brode Son bâton refleurit sur les bords du Jourdain Et tous les lys quand

»), titre qui fait allusion à la Sybille, célèbre voyante romaine, en mélangeant son nom au prénom de Marie, et à celui d’une prostituée : le poète a toute l’expérience du monde à sa disposition).Victor HUGO, un romantique du 19e s, dans son poème « La fonction du poète » (Les rayons et les ombres), revendique cette capacité réservée au poète de mieux saisir les mystères de la vie que les autres hommes : « Il [le poète) rayonne ! Il jette sa flamme / Sur l’éternelle vérité ! » … « Lui seul

contrainte. De plus le sens des poésies est parfois si complexe que le lecteur reste perplexe. On pourrait dire que seul le poète en comprend le sens, les poètes symbolistes ont un certain goût pour les sens mystérieux et les univers mystiques, par exemple le lecteur ne sait pas exactement de quoi parle Nerval dans ''El Desdichado'' : « Je suis le ténébreux, - le veuf, - l'inconsolé, Le prince