Un Fantôme De Baudelaire

Spleen et Idéal , Baudelaire La boue et l’orEléments d’introduction :· 78e poème du recueil dans « Spleen et idéal » (art, amour, femme, échec >>>Spleen) · Derniers des 4 poèmes «  Spleen  » · Spleen = néologisme au XIXe en anglais qui veut dire la « rate » en français signifie la mélancolie voire dépression (humeurs noires)>Dans ce poème Baudelaire décrit avec une précision presque clinique de ce

l’impossible. La peur est souvent présente, que ce soit chez le héros ou dans une volonté de l’auteur de provoquer l’angoisse chez le lecteur  2. Première étape : choisir un personnage, un thème fantastique  1. Le magicien ou le sorcier 2. Le fantôme 3. Le double 4. La « chose » 5. Le vampire 6. La statue animée 7. Le monstre 8. Le diable 9. La mort 3 Le fantastique : mouvement littéraire Mouvement littéraire moderne, apparu au début du XIXè siècle. Sa naissance et son développement

thermes est involontairement imprécis, ensuite on apprend que ce sont des fantômes. Il y a deux phases d'évolution : ils traversent le parc c'est une progression dans le mouvement. Probablement que dans leur marche ils se rapproche du poète spectateur. La scène est volontairement sinistre avec une absence de regard. Le choix de l'allitération en « m » est repayante quand on l'analyse (v.3). Les silhouettes de fantômes sont des spectres. Il y a une image de décomposition de la relation. C'est

rimes croisées. Les rimes sont croisées en cas d'alternance deux par deux. Par exemple : "Voici plus de mille ans que la triste Ophélie (A) Passe, fantôme blanc sur le long fleuve noir (B) Voici plus de mille ans que sa douce folie (A) Murmure sa romance à la brise du soir." (B) (Arthur Rimbaud, Ophélie) Mais aussi : L'albatros de Charles Baudelaire, Mon bras pressait ta taille frêle... de Victor Hugo, Sensation de Arthur Rimbaud, Les pas de Paul Valéry etc. 3. Rimes embrassées : ABBA Voir

Auteur : Baudelaire Titre : La musique Époque : 19 ième Oeuvre dont est tiré le titre : Les Fleurs du mal La musique : La musique souvent me prend comme une mer ! Vers ma pâle étoile, Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther, Je mets à la voile ; La poitrine en avant et les poumons gonflés Comme de la toile J’escalade le dos des flots amoncelés Que la nuit me voile ; Je sens vibrer en moi toutes les passions D’un vaisseau qui souffre ; Le bon vent, la tempête et ses convulsions

Si, le corset brutal emprisonnant tes flancs, Il te fallait glaner ton souper dans nos fanges Et vendre le parfum de tes charmes étranges, L'œil pensif, et suivant, dans nos sales brouillards, Des cocotiers absents les fantômes épars ! Charles Baudelaire, Les fleurs du mal

célébrait du temps que j’étais belle ! » Lors, vous n’aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de Ronsard ne s’aille réveillant, Bénissant votre nom de louange immortelle. Je serais sous la terre, et, fantôme sans os, Par les ombres myrteux je prendrai mon repos ; Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. Pierre de

contradictoires. C'est ce grand tiraillement qui rend la pièce si adaptable à toutes les époques. Quelques questions posées par la pièce : 1) Pourquoi Hamlet n'agit-il pas ? 2) Sa folie est-elle réelle ou feinte ou les deux à la fois ? 3) Le fantôme est-il réel ou fantasmé ? 4) Gertrude est-elle complice du meurtre de son époux ? 5) Hamlet aime-t-il Ophélie ? 6) La mort d'Ophélie : suicide ou accident ? 7) Fortinbras sauve-t-il ou asservit-il le Danemark ? 8) Horatio dira-t-il la vérité

Les Fleurs du mal est un recueil de poèmes de Charles Baudelaire qui intègre la quasi-totalité de sa production poétique depuis 1840. Œuvre majeure de Baudelaire, publiée le 25 juin 1857 et rééditée en 1861, Les Fleurs du mal sont l’une des œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique, de la réalité la plus triviale. L'œuvre exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé

Documents A – Charles Baudelaire, « Rêve parisien », Les Fleurs du mal, 1857. B – Paul Verlaine, « Cauchemar », Poèmes saturniens, 1866. C – Raymond Queneau, « En cas d’arrêt même prolongé », Courir les rues, 1967. m 1. Par quels éléments le lecteur se rend-il compte que ces poèmes présentent des rêves ou des rêveries ? (3 points) m 2. Relevez, en les commentant, les marques de l’angoisse dans chacun de ces textes. (3 points) Après avoir répondu à ces questions, les candidats devront traiter