Un homme pour l'éternité

LE MIROIR Un homme épouvantable entre et se regarde dans la glace. "- Pourquoi vous regardez-vous au miroir, puisque vous ne pouvez vous y voir qu'avec déplaisir?" L'homme épouvantable me répond: "- Monsieur, d'après les immortels principes de 89, tous les hommes sont égaux en droits; donc je possède le droit de me mirer; avec plaisir ou déplaisir, cela ne regarde que ma conscience." Au nom du bon sens, j'avais sans doute raison ; mais, au point de vue de la loi, il n'avait pas tort.

rempli que par un objet infini […], que par Dieu même. » (l.18-19). Tout comme le sage similaire au vieillard de Virgile, « Homme égalant les Rois, homme approchant des Dieux » (v.5), le philosophe scythe d'après la fable de La Fontaine est à la recherche du bonheur. Cette théorie est similaire à l'idée que s'est faite Pascal dans les Pensées, c'est à dire que tout homme recherche cette humeur. Le fabuliste humaniste s'intéresse avant tout à la nature comme il le démontre dans plusieurs de ses fables

de bonheur. Elles cherchent à persuader Psyché que son époux n'est rien d'autre qu'un horrible monstre qui finira par la dévorer. Terrifiée à cette idée, elle allume une lampe à huile et s'arme d'un rasoir dans la nuit. Elle découvre alors le jeune homme le plus radieux qu'elle ait jamais vu. Mais une goutte d'huile brûlante tombe sur l'épaule du dieu endormi, qui se réveille aussitôt et s'enfuit, furieux d'avoir été trahi. (Texte) Folle de chagrin, Psyché se jette dans une rivière mais, compatissante

plusieurs versions complètes des Mémoires d’Hadrien → cherche la perfection Dans son esprit → Roman Océan (Remous) → base de « Œuvre au noir » En parallèle : Mort de son père à Lausanne + écris Alexis ou le traité du vain combat → récit d'un jeune homme avouant à sa femme son homosexualité et qui mettant ainsi fin au mensonge, reprend sa liberté. Publication 1929 Sans famille, sans maison et sans besoins, elle dépensera tout son héritage en voyage pendant 10 ans 1931 Marguerite Yourcenar part en

mortalité du corpsDans « le mythe de la Caverne », Platon établit que c’est la vie sur Terre qui est le véritable Enfer> ce mythe a eu une grande influence dans la culture occidentale : conception d’un jugement dernier pour la 1e fois, décidant de l’éternité de la vie et de la mort ; séparation géographique du paradis, de l’enfer et du purgatoire.Platon est le premier à avoir saisi l'énorme potentiel politique de ces croyances populaires qu'il valorise sous le néologisme de théologie (pour lui, c’est

Qui des cieux me contemple, Et m'incite à la vie, Simplement pour l'exemple ; Et d'une coupable envie ? Assise sur un nuage, Elle me souffle mes mots Et j'espère d'autres rivages, Un monde plus beau. Alors je ris, je pleure, Enviant l'Eternité, Mais je ne suis qu'un leurre, Ma vie, absurdité. J'aimerais vous dire cet ange, Nos moments merveilleux Nos histoires étranges Quand le ciel était bleu. Le froid peu à peu me gagne, Comme il l'a doucement envahie; Les jours sont pour

Le poème présente l´homme comme un être « noyé » par une nature qui le dépasse. Les expressions désignant la nature : « Sous le ciel » (v.1), « Les vagues (…) arrivent au galop » (v. 6) « Partout le grand ciel »(v. 9), « l´affolement des vents » (vers 10) nous montrent une force puissante qui s´oppose à l´image de l´homme qui est présenté : « perdu »(v. 12), « morne »(v.11), « plus d´humain »(v. 11). Le vers deux est très clair dans ce sens : l´homme se trouve « assis sur un îlot »

classique. La morte amoureuse raconte l’histoire d’un jeune homme, Romuald, tout près de son rêve, voit sa vie basculer complètement. Lors de la cérémonie de prêtrise, il croise le regard d’une femme resplendissante, qui éveille en lui plusieurs sentiments. Romuald devient l’objet de deux mondes incompatibles et ira même jusqu'à mélanger la réalité de l’imaginaire Romuald, âgé de 66 ans, raconte ce qui lui est arrivé lorsqu’il était un jeune homme de 24 ans. Son plus grand désir est de devenir prêtre

Sociology Journal, n°103, 2007, pp. 19-32. 4 ）L. Susini, reconnaissant que chez Pascal, la véracité des « premiers principes » dépend de sa confiance en les données des « expériences » (ou des « sensations ») humaines, démontre que la proposition que tout homme meurt en est un exemple typique (L’Écriture de Pascal. La lumière et le feu. La « vraie éloquence » à l’œuvre dans les Pensées, Paris, H. Champion, 2008, pp. 38-46). 5 ）T. Shiokawa souligne le fait que Pascal suggère sans cesse que la pensée humaine

du libre arbitre, de la conscience. Si l'animal ne désir pas c'est parce qu'il n'est pas libre, l'animal est déterminé. Le libre arbitre c'est la capacité a s'auto déterminé. Seul un être qui a conscience de lui même peut aussi désirer. animal homme besoin désir Car l'animal est déterminé par la nature, il n'a que des besoins L'homme peut s'auto déterminé ( gouts différents) L'animal a une conscience immédiate, simple présence a lui même, il éprouve dans la douleur ou le plaisir. L'homme a une