Un Homme Vertueux Est

main.   Rousseau a blâmé sévèrement cette pièce au point de vue de la morale. Il trouve que Molière y cherche à jeter du ridicule sur l’honnêteté et la sincérité. Rousseau se trompe. Ce n’est pas de l’honnête homme que Molière se moque ; il veut seulement prouver que l’homme le plus vertueux n’est pas exempt de petites faiblesses. Le but du Misanthrope est la tolérance sociale. C’est de tous les ouvrages de Molière celui où il a représenté d’une manière plus générale les travers de l’humanité. Il

différence du gouvernement monarchique -la vertu en démocratie n'est pas l'affaire d'un seul homme, il faut qu'elle soit pratiquée par ceux qui font exécuter les lois, mais aussi par le peuple: tout le monde doit faire part de vertu (utilisation de « tous » et « on » III. Références historiques. -suite d'exemples négatifs: du plus récent au plus lointain dans les pays où les hommes de pouvoir n'étaient pas vertueux -l'utilisation d'exemples historiques sur trois périodes différentes montre que ce que

lui ait donné cette valeur, et le fasse servir à ses usages, suivant son caprice. Ils s'étonnent aussi qu'un riche, à intelligence de plomb, stupide comme la bûche, également sot et immoral, tienne sous sa dépendance une foule d'hommes sages et vertueux, parce que la fortune lui a abandonné quelques piles d'écus. Cependant, disent-ils, la fortune peut le trahir ; et la loi (qui aussi bien que la fortune précipite souvent du faîte dans la boue) peut lui arracher son argent et le faire passer aux

Aristote 4° av JC=> « la philosophie est née de l’étonnement » = chercher, s’interroger… Pythagore 6° av JC=> «  Aucun Homme n’est libre s’il ne peut se gouverner lui- même » - ordre, strict, rigueur . - (indépendance) savoir

alienum puto (Je suis homme et rien de ce qui est humain ne m’est étranger) met en évidence l’intérêt pour tout ce qui touche à l’humanité. • Plan de la religion : chez le philosophe, la foi en Dieu est remplacée par la foi en la Raison, nouvelle divinité : la raison détermine le philosophe (l.2-3) Plan de la vie sociale : présenté comme un intellectuel, un penseur soucieux de suivre la raison dans sa recherche de la vérité, le philosophe n’en est pas moins un homme qui vit en société et

1558, à la cour du roi Henri II durant les dernières années de son règne. Mlle de Chartres est une jeune orpheline de seize ans qui est élevée par sa mère. Celle-ci se rend pour la première fois à la cours du roi et le prince de Clèves, honnête homme, en tombe amoureux d'elle dès qu'il l'a voit. Il l'a demande donc en mariage. Celle-ci accepte sans pour autant connaître ce qu'est l'amour Mme de Clèves rencontre, à la cour, le duc de Nemours. Ils vont tomber amoureux l'un de l'autre. Sa mère

nature un être destiné à vivre en cité (animal politique) ; celui qui est sans cité est, par nature et non par hasard, un être ou dégradé ou supérieur à l’homme : il est comme celui à qui Homère reproche de n’avoir « ni clan, ni lit, ni foyer » ; un homme tel par nature est en même temps avide de guerre : il est comme un pion isolé au jeu de dames. Ainsi la raison est évidente pour laquelle l’homme est un être civique plus que tout autres, abeilles ou animaux grégaires. Comme nous le disons en

l’université islamique, un homme s’est converti, et il a donc déménagé de la chambre des chrétiens vers la chambre des musulmans, mais en arrivant là-bas il s’est avéré que les musulmans ne priaient pas, son islam s’est alors résumé à ce déplacement d’une chambre à l’autre. C’est pourquoi il est important qu’il restent avec des gens pieux et qu’il renie ceux qui adorent le Messie, et nous lui conseillons aussi de lire des livres profitables comme : Le jardin des vertueux, L’explication du livre de

ouvrage apparait pour Machiavel comme un moyen de retrouver une place dans la vie politique de Florence. Dans ce livre célèbre, il « ose, comme il l'écrit dans sa dédicace, donner des règles de conduite à ceux qui gouvernent » Machiavel est un homme il se sent impliqué dans les affaires politiques de son pays. « Le Prince » s’impose alors comme un ouvrage dit « intéressé ». On peut apercevoir d’ailleurs, entre les lignes une sorte d’appel à la réunification de l'Italie, basé sur des théories

hiver 1764, fait paraître sous l’anonymat Le Sentiment des Citoyens dans lequel il dénonce l’abandon des enfants de Rousseau. Cette déclaration porte préjudice à Rousseau qui, d’abord traité de misanthrope, de sauvage, devient au regard du public un homme inhumain, un père « dénaturé ». En effet ces multiples abandons ne montrent-ils pas que Rousseau est insensible et égoïste ? Rousseau niera d’abord les accusations puis avouera, à travers Les Confessions. Il ne va pas seulement avouer les péchés dont