Un Jour Qu Il Faisait Nuit

ci avait les cheveux blond, une charmante barbe du lendemain et des yeux d'un bleu si profond que l'on avait l'impression de si noyer. Nous restâmes a parler jusque tard le soir. Il me raconta qu'ils avaient achetés cette maison récemment cela ne faisait que 3ans qu'il y habitaient sa femme et lui. Puis il me dit qu'avant qu'il achètes la maison les anciens propriétaires ne payaient pas le loyer et s'étaient fait chasser de la maison dans la précipitation il avait oublier leur fils dans la douche

ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent           Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare           Il n'y a pas d'amour heureux Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur

de lessive, l'extrémité du fil de soie. Les fileuses avaient dix, onze, douze ans, souvent moins. On les faisait mettre en rang, on leur faisait croiser les bras et réciter la prière. Ce n'était pas pour rien qu'on nommait les filatures les "couvents soyeux". Tout au long du jour de travail, un long jour de douze heures - il commençait quant il faisait encore nuit et s'achevait à la nuit : 5 h - 19 h, la vapeur d'eau et la chaleur exaltaient l'odeur des chrysalides mortes. Et c'est dans la

aux lecteurs qui le veulent et font appel à leur sensibilité. Ces multiples thèmes abordés par le poète essayent de donner un sens à la vie en traitant des principales préoccupations de tout homme, tel que l’amour, sentiment que chacun a connu un jour, sentiment à la fois agréable mais qui détruit tellement il est fort. Ce sentiment rend les choses plus belles et le poète lui rend hommage ainsi qu’à la beauté, perpétuelle recherche du poète. Selon moi ces deux thèmes représentent le mieux

Vives TST2S1 Inès Philosophie Fiche de lecture 1) Titre du livre : La Nuit Auteur : Elie WIESEL Collection : Double Date d’édition : 11 janvier 2007 Nombre de pages : 199 pages Traduction (si applicable) : yiddish 2) Eliezer Wiesel né le 30 septembre 1928 à Sighet, petite ville de Transylvanie. Il est un écrivain et philosophe américain issu d'une famille juive orthodoxe

Comment donc suis-je fou ? Attention ! Et observez avec quelle santé, – avec quel calme je puis vous raconter toute l’histoire. Il est impossible de dire comment l’idée entra primitivement dans ma cervelle ; mais, une fois conçue, elle me hanta nuit et jour. D’objet, il n’y en avait pas. La passion n’y était pour rien. J’aimais le vieux bonhomme. Il ne m’avait jamais fait de mal. Il ne m’avait jamais insulté. De son or je n’avais aucune envie. Je crois que c’était son œil ! oui, c’était cela ! Un

dans ce village ne savaient pas son nom. Ils l’appelaient « le garçon sans voix. » Mais ce jeune homme ne faisait pas attention aux villageois. Sa vraie passion était le violon. Il jouait ce bel instrument chaque jour. Les mélodies qu’il créait à couper le souffle. Les villageois avaient été très étonnés d’entendre les chansons mélodieuses de ce jeune homme. Ils écouteraient chaque nuit, quand ils restaient dans leurs lits, le bruit lointain d’un petit instrument qui avait le pouvoir de faire

Il faisait sombre. Le soleil venait à peine de se coucher que déjà, les grotesques créatures surdimensionnées qui avait vécu tout le jour pliaient baguages et trainaient leurs énormes carcasses jusqu’à la tanière commune. Et alors que la nuit avançait, la nature pus enfin reprendre ses droits. Ainsi, du haut de leur branche, entouré d’une légère brume, lorgnant le monde d’un petit air supérieur, les feuilles de pommier soupirèrent de dépit quand des gouttelettes, scintillantes sous l’astre lunaire

sont confrontés en soignant chaque jour les habitants malades. Elle sifflait doucement au pied des grand blocs de la jetée et, comme ils les gravissaient, elle leur apparut, épaisse comme du velours, souple et lisse comme une bête. Ils s’installèrent sur les rochers tournés vers le large. Les eaux se gonflaient et redescendaient lentement. Cette respiration calme de la mer faisait naître et disparaître des reflets huileux à la surface des eaux. Devant eux, la nuit était sans limites. Rieux, qui sentait

petit jeux, j'avais bien vu Aude, son regard de loin qui me faisait croire à de l'amour de sa part, et de près... C'était pire, mes yeux qui scintillaient à sa vue, mon cœur qui s’emballait à perdre les pédales, enfin... quand la soirée touchait à sa fin, tous le monde rentrait et moi qui commençait à marcher, seul, désespéré, jusqu'à ce qu'elle arrive, on est allé chez moi, bu un verre, buis nous avons terminer ce petit reste de nuit ensembles. Au petit matin elle devait repartir, elle n'avait