Un Livre Sur Rien

AUTEUR : Christian Lehmann ÉDITEUR : L'école des loisirs COLLECTION : Médium GENRE : Fantastique NOMBRE DE PAGES : 233 Je voudrais vous faire par d'un bouquin que j'ai lu il y a pas mal de temps et que j'ai vraiment apprécié. Ce livre, qui dénonce les dangers d'une addiction au jeu vidéo, raconte l'histoire de 3 jeunes se retrouvant face à un jeu vidéo qui n'en ai pas vraiment un ..... en fait ils sont plongés dans une sorte de "réalité virtuelle" ... Le rapport avec la SGM me dirait

FICHE DE LECTURE Auteur : Anna Gavalda Titre : «  Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part » 1° Autour du texte. La couverture : Sur la couverture de ce livre on voit 5 personnes qui marchent dans un lieu public, on distingue 2 horloges et un lampadaire donc ce lieu est extérieur et fait donc penser à une gare. La lecture d’une des nouvelles confirme que cette scène se déroule bien dans une gare car le personnage

contexte de bouleversements climatiques ainsi que des manipulations nucléaires mettent en péril notre futur. Ainsi dans ce paysage apocalyptique, un père et son fils vont ; voire même errent sur les routes en direction du Sud. Ils ne possèdent presque rien à part un caddie et leur sac à dos, avec à l’intérieur un peu de nourriture qu’ils trouvent en chemin. Sous la pluie ; dans la neige et le froid ils avancent vers les côtes du Sud avec la peur au ventre, celle de rencontrer les hordes de sauvages qui

Microsoft Word - suicide_Livre_2.docÉmile Durkheim (1897) LE SUICIDE Étude de sociologie LIVRE DEUXIÈME: Causes sociales et types sociaux 2e livre d’une série de 3 Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

pris sa place au dernier moment. Alors qu'il enlève le masque pour en avertir Éléa, il s'aperçoit que celle-ci se meurt, et tue par son sang empoisonné celui à qui elle fut arrachée, et que le destin avait gardé constamment à ses côtés. Simon ne dit rien, pour ne pas révéler la vérité à la femme condamnée, assassin de son propre amour. Au dehors, un chercheur traduisant la langue de la civilisation passée, en essayant de garder les découvertes à des fins personnelles, détruit les documents. Il échouera

escouade) est un roman d'Henri Barbusse parut sous forme de feuilletons dans le quotidien L'Œuvre à partir du 3 août 1916 puis intégralement à la fin de novembre 1916 aux éditions Flammarion et ayant obtenu le Prix Goncourt la même année. Ce livre que Barbusse, engagé volontaire en 1914 (il avait alors 41 ans et souffrait de problèmes pulmonaires)1 , tira de son expérience personnelle du front, a été longuement mûri et pensé en première ligne pendant 22 mois dans les tranchées de décembre

des chapitres de ce livre sont la propriété de leurs auteurs respectifs (c) 2012 – http://www.businessdexpert.fr – Tous droits réservés 1 Auteurs : Frédéric CANEVET Yvon CAVELIER Romain COLLIGNON Cédric COPY Michael FERRARI Alexandre PHILIPPE Florent FOUQUE Marc TRAVERSON Nathanaël RAMOS Olivier RICHARD Jean SOMMER Cédric VIMEUX Johann YANG-TING D’après une idée originale de Florent FOUQUE du blog http://www.businessdexpert.fr Les contenus des chapitres de ce livre sont la propriété de

l’écriture nous offre absolument toutes les possibilités. Cependant, est-ce que j’aime réellement écrire ?? Tout le monde a déjà rêvé de se plonger dans un autre monde rien qu’un instant, pouvoir échapper a notre réalité et imaginer notre monde idéal. Et bien il y a un moyen très simple et efficace de pouvoir le faire : Le livre ! Un coté simple et efficace d’évasion certes, mais est-ce vraiment quelque chose d’utile au quotidien ?? Est-ce que j’apprécie vraiment la lecture Si l'écriture est une

Beaumarchais « Prouver que j’ai raison serait accorder que je puisse avoir tort. » « On est compatissant que pour les maux qu’on éprouve soi-même. » Bernanos « Les ratés ne vous rateront pas. » « Etre informé de tout et condamné ainsi à ne rien comprendre, tel est le sort des imbéciles.» « L’idée de grandeur n’a jamais rassuré la conscience des imbéciles.» « Le démon de notre cœur s’appel A quoi bon ! »  « L’intellectuel est si souvent un imbécile que devrions toujours le tenir

fille- et il ne fait rien qui pourrait être vu comme quelque chose de familial ; après il commence à se réchauffer au coin du feu et à parler aux deux personnes, même si elles ne répondent pas. Il parle de sa vie: de ses idéaux, la volonté de faire quelque chose de grand pour la France, et de ses passions : la littérature et la musique. Même si le vieil homme et sa nièce sont toujours muets, il s’ouvre et il parle de lui, en permettant à ses hôtes de le connaître. *En lisant le livre, le lecteur voit