Un mari idéal

rencontre avec celui qui deviendra son mari, le Prince de Clèves. On remarque cependant qu’en travers de ce portrait et de cette rencontre apparait une certaine vision de la société de l’époque. Problématique : Comment le portrait idéalisé de l’héroïne évolue-t-il vers la peinture sociale ? Nous verrons dans un premier temps que Mme de Chartres est une héroïne idéale, puis nous remarquerons qu’elle se situe dans une certaine position sociale. I Une héroïne idéale 1) Une beauté * Apparait

connu la passion et la volupté. Cet homme vulgaire l’a quittée, donc depuis Honorine, qui a refusé de reprendre le chemin du toit conjugal, vit en recluse dans une maison. Elle y gagne sa vie en fabriquant des fleurs artificielles, sans savoir que son mari Octave lui a pardonné et reste profondément amoureux d’elle et il n’a cessé de tout faire en secret pour lui adoucir la vie. Quant à Adieu (1830), c’est également une nouvelle, elle devait au départ paraître dans les Scènes de la vie militaire

amour est illégitime puisqu'elle est mariée. Par conséquent, afin d'éviter de le revoir, la princesse de Clèves se retire de la cour et avoue sa passion à son mari. Mais malheureusement, ravagé par la jalousie, le prince de Clèves meurt de chagrin. La princesse de Clèves décide alors de se retirer dans un couvent . Nous verrons donc aujourd’hui

est vu comme traître ayant abandonné les idéaux du parti. Hugo a maintenant l´impression d´être pris au sérieux et prend le poste de secrétaire chez Hoederer chez lequel il déménage avec sa femme Jessica, apolitique et insouciante. Mais pendant le temps qu´il passe chez son maître, il développe une sympathie si profonde et une admiration non-admise pour lui qu´il attend toujours plus longtemps de le tuer.
Après cette discussion, Jessica sait que son mari est persuadé par l´opinion de Hoederer bien

et Grandgousier reçoivent une récompense. Frère Jean reçoit une « Abbaye de Thélène » : instaure un mode de vie idéale opposé à un mode de vie monacale, traditionnelle car Thélène se révèle d'être une micro-société idéale = liberté individuel car seule et unique règle= qualité de chaque individus qui la compose → choisir le bien du mal, toujours choisir le bien . Utopie : société idéale qui n'existe pas en réalité. Habitants de Thélène : Nobles, être nobles pour y vivre → Thélénites : « 

famille, et se réfugie dans la propriété familiale de Varykino. Tonya conserve les même principes que son mari Jivago. Ils ont grandit ensemble, car celle-ci est la fille des parents adoptifs de Jivago. Ils s'aiment beaucoup, et fil le parfait couple. tonya est l'épouse parfaite, fidèle et attentionnée. Eux deux ont le même idéal de vie, elle veut mené une belle vie stable aux coté de son mari et ses enfants. On voit qu'elle s'implique dans la vie de famille, et veut vraiment faire plaisir, et essayer

les proportions parfaites admirées. Les femmes comme les hommes s'exercent au sport, appliquant la devise : Un esprit sain dans un corps sain. Peu de maquillage était utilisé. En accordant avec l'amour du sport existant à cette époque, la femme idéale est jeune, athlétique et bien proportionnée. Le Moyen Âge : l'âge des jeunes filles nubiles Au Moyen Âge, le maquillage, sous prétexte qu'il travestit les créatures de Dieu, est interdit par l'Eglise toute puissante. Une seule couleur est tolérée

baisse la tête et le cou, prêt à porter le joug. Tu ne trouveras aucune qui épargne ton affection : bien qu'elle brûle elle-même, elle se réjouit par les tourments, les affections et les dépouilles ; ainsi, une femme est bien moins utile pour lui, quele mari sera bon et souhaitable. Traduction littéraire « Nulle, dans une telle foule, ne te semble digne de toi ? » « Qu'elle soit belle, décente, riche, féconde, qu'elle dispose dans ses portiques les antiques bustes de ses aïeuls, qu'elle soit plus

deux enfants et sans argent ; elle se marie avec Coupeau, un ouvrier qui lui fait des avances, puis il devient un ivrogne ; un homme bon, Goujet, l’aime mais elle ne peut pas quitter son mari… On remarque un énorme changement dans la mentalité de Gervaise entre le début et la fin de son histoire. Par exemple, son idéal est « travailler, manger du pain, avoir un trou pour soi, élever ses enfants, mourir dans son lit » au début de sa vie à Paris . Elle ne bois pas, n’est pas spécialement ambitieuse, n’as

aux yeux bleus, aux formes épanouies. Ayant reçu une éducation destinée à éveiller en elle l'amour de la nature, elle ne connaît rien des réalités et rêve de l'homme idéal. Elle est persuadée de la beauté et de l'innocence du mariage. Si elle croit le trouver en Julien, elle ne connaîtra comme amour que la bestialité sexuelle de son mari, et son hypocrisie. Elle consacre sa vie à son fils qui part à l'âge de 15 ans. Elle reste en contact avec lui mais il lui manque énormément et elle souffre beaucoup