Un Meurtre En Quelque Sorte

je sois un spectre, et qu'en frappant sur ce squelette (il frappe sa poitrine), il n'en sorte aucun son ? Si je suis l'ombre de moi-même, veux-tu donc que je m'arrache le seul fil qui rattache aujourd'hui mon coeur à quelques fibres de mon coeur d'autrefois ? Songes-tu que ce meurtre, c'est tout ce qui me reste de ma vertu ? Songes-tu que je glisse depuis deux ans sur un mur taillé à pic, et que ce meurtre est le seul brin d'herbe où j'aie pu cramponner mes ongles ? Crois-tu donc que je n'aie

que je sois un spectre, et qu’en frappant sur ce squelette… (ilfrappe sa poitrine), il n’en sorte aucun son ? Si je suis l’ombre de moi-même, veux-tu donc que je m’arrache le seul fil qui rattache aujourd’hui mon cœur à quelques fibres de mon cœur d’autrefois ? Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce qui me reste de ma vertu ? Songes-tu que je glisse depuis deux ans sur un mur taillé à pic, et que ce meurtre est le seul brin d’herbe où j’aie pu cramponner mes ongles ? Crois-tu donc que je n’aie plus

Introduction : Lorenzaccio, 1834. Drame romantique. Cinq actes en prose. L’action se déroule à Florence en 1536-37 (Musset exploite des faits historiques). Conformité au drame romantique : totalité, liberté, transfiguration. L’acte IV s’achève par le meurtre d’Alexandre. L’acte des monologues (scènes 3, 5, 9). La scène 9 : Lorenzo est remis en présence de lui-même et de ses contradictions. Lecture I. Un discours incohérent ? II. La tension du personnage I. Un discours incohérent ? En dépit de son

Homicide avant embarquement Ils étaient là, à quelques mètres de moi. Je devais en finir. Elle m’avait trahi en choisissant de partir avec lui. Ils allaient bientôt embarquer, je devais faire vite. J’avais tout prévu: arrivé a l’aéroport je l’enlèverais, parmi la foule, là où il ne remarquerait rien. Puis, je lui enverrais un message avec son téléphone à elle. Je lui dirais de monter dans l’avion, et de l’attendre. Ensuite je monterais moi-même dans l'appareil et, une fois en Italie, se sera son

divise en deux instances : comme sujet agissant et comme objet d’observation. Et comme le suggère l’enchaînement des phrases au passé composé qui semblent décomposer au plus près toutes les actions du narrateur personnage  « j’ai pensé », « j’ai fait quelques pas », « j’ai attendu », « j’ai fait un mouvement en avant », ce qui provoque une impression de ralenti comme lorsque les images d’un film sont décomposées une à une. Ce qui peut susciter aussi cette impression est le fait que la scène soit complètement

bête humaine, œuvre écrite par Emile Zola en 1890 : Il s’agit d’une histoire située dans le monde du chemin de fer et comportant deux bêtes humaines : il s’agit en premier de Lantier, le conducteur de train, qui est victime d’une folle envie de meurtre lorsqu’une femme l’attire. Puis l’autre bête humaine c’est également la locomotive à vapeur que lantier conduit, il l’a surnomme la Lison, comparée à une femme tout au long du roman et entretenue ainsi qu’aimée comme une maîtresse par le chauffeur

dernière scène de l'acte IV représente l'aboutissement de son projet, le meurtre dont il espère que Florence sortira purifiée. Nous nous demanderons en quoi cette scène de violence lié au meurtre amène-t-elle une délivrance symbole de catharsis du héros romantique ? Nous étudirons en premier le meurtre en lui même puis la libération de Lorenzo, le héros romantique. Au fil de la pièce de théatre, nous apprenons que le meurtre du Duc Alexandre est finement planifié. D'ailleurs durant cet extrait on

Lecture cursive :L’Etranger d’Albert Camus Question 1 D’après moi, le titre de ce roman peut-être associé à la fois au personnage mais aussi au monde qui l’entoure.Car le mot étranger désigne quelqu'un ou quelque chose qui n’entre pas dans la normalité. Ce qui veut qu’une personne considérée comme étrangère considère le monde comme étranger car pour lui ce monde n’est pas la norme. Je considère que Meursault est étranger car il n’a pas la même perception que les autres du comportement humain

[pic] [pic] I. LES DIFFERENTES SEQUENCES DU RECIT 1ère partie : Les amants meurtriers Elle commence par trois chapitres de présentation qui forment une sorte de boucle temporelle. En effet, les chapitres II et III remontent dans le temps pour rappeler la vie de Mme Raquin et expliquer l’enfance de Camille et Thérèse. Le chapitre III s’achève ainsi sur l’époque désignée par la description de la mercerie, dans le chapitre I (la description du passage du Pont-Neuf se fait quant à elle au

central de la pièce. Toute l’histoire tourne autour de ce meurtre que Lorenzo, héros principal et cousin du Duc Alexandre, prépare. Supprimer Alexandre de Médicis est le but de Lorenzo, il se rapproche de lui par stratégie, et tombe lui-même dans la débauche pour parvenir à ses fins. On peut dire que cette mort est une sorte de dénouement pour l’histoire, d’ailleurs plusieurs représentations de la pièce, s’achèvent sur la scène du meurtre. Mais Musset veut aller plus loin, et fait mourir par la suite