Un Monde Affamé

qualifiée de tardive dans la production poétique de La Fontaine. Cette fable met en scène deux oiseaux aux prises : le Milan, qui a grand faim, n’écoute pas le Rossignol qui essaie de le convaincre de l’écouter chanter. Le Rossignol sera mangé. L’homme affamé est sourd à ce qui n’est pas de la nourriture ; parfois, il devient même insensible à toute morale et peut accomplir des actes répréhensibles pour satisfaire sa faim. Ce proverbe, venu de Grèce, a sa traduction dans toutes les langues. La Fontaine

· Perdu dans le temps : du lever au coucher du soleil, il revient avec le seul souvenir de ses tulipes mais atteint physiquement de sa perte de repères temporels (fatigué, affamé) · Prisonnier de la Solitaire : il ne quitte pas le jardin, tourne en rond autour de la Solitaire · Isolé, hors de la ville : il se coupe du monde, les fleurs remplacent les femmes. Pas de communication sociale. · « planté » « qui a pris racine » « cœur épanoui » : métamorphose végétale, déshumanisation alors que les

que tel homme a gagné les faveurs d'un dieu est une vision qui s’approche de la religion. On peut considérer que dans les deux cas les causes de la superstition peuvent se ramener à l’ignorance et à la peur de ce qui peut survenir dans le cours du monde. b) Les religions L’une des premières causes de la superstition est liée au sentiment religieux car elle n'est pas toujours facile à distinguer, dans certaines attitudes elles reflètent une démarche de foi alors qu’elle ne l’est pas. Une personne

fontaine. Ces allegories animales sont utilisées pour critiquer la société du 17ème siècle, mais sortout il denonce la flatterie à la cour de Louis XIV. Le chien est attaché et dépendant du maître pour sa nourriture et son affection. Il appartient au monde des domestiques, de la servitude. Le chien incarne les cours serviles qui obéissent au Roi pour obtenir des faveurs, des récompenses. LA MORALEA travers le dialogue qui s'installe entre le Loup et le Chien, la Fontaine laisse au lecteur le

nous montrer un aperçu de la vie des miniers au 19ème siècle. Pour y répondre nous allons procéder à une analyse composée d'une partie consacrée à la description réaliste du monde minier, puis à une seconde partie basée sur l'étude naturaliste de la condition de travail des ouvriers. I-Description réaliste du monde minier : Accumulation : « de la baraque, pied nus, la lampe à la main »l.3-4 Ici, Zola nous décrit les actions des ouvriers, grâce à cet exemple on comprend que les mineurs

cours de cette figure de style, la tempête va prendre toute son ampleur, elle commence par l’annonce du tonnerre, les éboulements, puis rien ne résiste à cette tempête, véritable cataclysme qui va jusqu’à la destruction complète et massive du « vieux monde », ne laissant rien sur son passage des lois du passé. -La métaphore de l'animalisation, de la bestialisation : « galopa » l.1, « des nudités de femelles lasses d’enfanter » l.7, « mugissement » l.17, « le claquement des sabots » l.18, « en mâchoires

fiancée a un tres riche homme d'affaire. Après avoir confectionné des armes et amassé suffisamment de provisions pour tenter une escapade au travers des bandes de criminels affamés, François prend la route de son village d'enfance avec ses compagnons. Il espere pouvoir y recommencer une vie saine et a l'abris de hordes de gens affamés. Le parcours sous un soleil de plomb est difficile. L'expédition doit affronter incendies et tempêtes. Une fois parvenue à leurs fins, les rescapés de la catastrophe fondent

et nous avons embarqué sur un de ces paquebots construits pour emmener les crève-la-faim d’un point à un autre du globe, dans de grands soupirs de fioul. Nous avons pris place sur le pont au milieu de nos semblables. Miséreux d’Europe au regard affamé. Familles entières ou gamins esseulés. Comme tous les autres, nous nous sommes tenus par la main pour ne pas nous perdre dans la foule. Comme tous les autres, la première nuit, nous n’avons pas pu trouver le sommeil, craignant que des mains vicieuses

l'économie de marché,il était de la firme opinion que le marché doit être régulé par le jeu de l'ofre et de la demande et surtout que l'état ne doit pas intervenir. Il instaura aussi une politique isolationiste, c'est a dire l'Amérique s'isole du reste du monde, elle ne prends pas part a la société des nations, les pays cherchant a acheter des marchandises américaines doivent le faire en dollars... Tout ceci pour sauveguarder la position économiquement favorable des états-Unis. Il cherchent de garder l'argent

l’idée que « l'homme, s'il oublie qu'il n’est qu’un homme...», Barjavel imagine ici sa toute première fin du monde. Le roman, est le livre de science-fiction français le plus connu. Il a largement dépassé un million d'exemplaires. De nos jours, certains écologistes voient dans le roman une annonce de leurs préoccupations. I. RÉSUMÉ DU ROMAN Nous sommes e 2052, le monde maîtrise l’énergie nucléaire et a atteint un niveau de prospérité et de développement sans précédent. La nourriture