Un Mot Pour Un Autre Tardieu

français, « langue nationale ». n redécouvrant l’art et la pensée de l’Antiquité grecque et romaine, les Français du xvie siècle ont le sentiment de sortir de la « nuit » du Moyen Âge ; c’est pourquoi ils qualifient leur époque de « re-naissance ». Le mot humanisme, lui, ne sera employé que dans la seconde moitié du xixe siècle pour désigner rétrospectivement les idées de la renaissance. Le contexte intellectuel et artistique de la renaissance Deux faits de la seconde moitié du xve siècle expliquent

sous-genres au théâtre, et considère, conformément à la prescription du programme, le théâtre comme un art reposant sur un lien nécessaire entre verbal et visuel. La séquence 5 se situe dans la continuité de la séquence 4 : elle associe le théâtre à un autre art dans lequel le visuel est également primordial : le cinéma. L’œuvre choisie – la pièce d’Edmond Rostand Cyrano de Bergerac – a été retenue parce qu’elle est d’une indéniable importance culturelle et aussi parce que le film auquel elle a donné naissance

lui vibrait jusque sur l’épaule. On se souvient qu’à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu’elles appelaient des plumes en saule pleureur. Mais rien ne pleurait en cette femme ; et la sienne exprimait bien autre chose que la mélancolie. Tressignies, qui croyait qu’elle allait prendre la rue de la Chaussée-d’Antin, étincelante de ses mille becs ½¼ de lumière, vit avec surprise tout ce luxe piaffant de courtisane, toute cette fierté impudente de fille enivrée

................................................. 143 Ouvrages cités ....................................................................................................................................................... 144 Théorie littéraire et autre .................................................................................................................................... 144 Méthodologie .................................................................................................

mégalopole, mégapole, métropole, villes globales et mondiales, réseau urbain mondial, PIB, CBD, espaces technopolitains, relais, mimétisme urbain, interdépendance. Conclusion 146 Séquence 2-HG00 Mondialisation et espace mondialisé ’il est un mot qui a surgi de manière spectaculaire dans le vocabulaire médiatique, politique et économique ces dernières années et qui suscite d’intenses débats, c’est bien celui de mondialisation. Cette brusque et récente émergence pourrait faire croire que cette

l’objet d’une révision. Cette phrase se trouvera dans la constitution de la 4ième et 5ième actuellement. Cela veut dire que le rétablissement de la monarchie est impossible en France. La composition du sénat ainsi que le collège sénatorial. Entre autre, les prières publiques sont supprimées. Paragraphe deux – le déséquilibre institutionnel A. L’instabilité généralisée On peut formuler un constat, le nombre de gouvernement sous la 3ième république, 104 gouvernement, on voit que la durée

goût – lui vibrait jusque sur l’épaule. On se souvient qu’à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu’elles appelaient des plumes en saule pleureur. Mais rien ne pleurait en cette femme ; et la sienne exprimait bien autre chose que la mélancolie. Tressignies, qui croyait qu’elle allait prendre la rue de la Chaussée-d’Antin, étincelante de ses mille becs ½¼ de lumière, vit avec surprise tout ce luxe piaffant de courtisane, toute cette fierté impudente de fille enivrée

goût – lui vibrait jusque sur l’épaule. On se souvient qu’à cette époque les femmes portaient des plumes penchées sur leurs chapeaux, qu’elles appelaient des plumes en saule pleureur. Mais rien ne pleurait en cette femme ; et la sienne exprimait bien autre chose que la mélancolie. Tressignies, qui croyait qu’elle allait prendre la rue de la Chaussée-d’Antin, étincelante de ses mille becs ½¼ de lumière, vit avec surprise tout ce luxe piaffant de courtisane, toute cette fierté impudente de fille enivrée d’elle-même

d'historien, de géographe et de philologue", observait J. Feller ; et il ajoutait : "Grand embarras pour qui veut faire un triage des travaux les plus utiles à la toponymie ! Ce n'est pas sans arbitraire qu'on inscrit une œuvre et qu'on en néglige une autre"1. Sans pour autant échapper à cet arbitraire, nous avons tenté d'établir un certain nombre de règles et critères au nom desquels nous avons rejeté ou conservé les travaux confinant aux études onomastiques pures. Nous n'avons pas retenu les ouvrages

à l’artiste… Comment comprendre que le médiateur, voire l’artiste lui-même, soient perçus aujourd’hui comme des « figures du maître », des modèles pédagogiques ? Transition : Oui, mais… Cela n’allait pas de soi, cela ne va pas de soi… B Une autre fiction, voici bientôt un demi-siècle : depuis Harvard, une lettre de Mars (in Nelson Goodman, L’art en théorie et en action. A lire…). Imaginons un monde éducatif – ici unversitaire - dans lequel les sciences auraient le statut qu'on accorde aux arts