Un prophète

inspiration divine. Victor Hugo, dans son poème « la fonction du poète », de son recueil Les rayons et les ombres, adopte un ton didactique et solennel pour exprimer l’avis suivant : ‘‘ C’est lui qui sur toutes les têtes, / En tout temps pareil aux prophètes, / Dans sa main, où tout peut tenir, / Doit, qu’on l’insulte ou qu’on le loue, / Comme un torche qu’il secoue, / Faire flamboyer l’avenir ! ’’. Après avoir présenté ce poème , nous nous interrogerons sur ce lien entre le poète et Dieu que relève

sont invoqués à l'envi par les esprits rétrogrades qui en font une épée, soit parce qu'ils présentent aux non-musulmans un visage peu attirant. Reconnaissons à Mahmoud Hussein (déjà signataire des deux tomes d'Al-Sîra, la biographie «autorisée» du Prophète) le mérite de ne pas chercher à éviter les obstacles et de s'inspirer d'un principe universel: «La Parole de Dieu se présente comme indissociable du temps humain où elle s'est inscrite. Le croyant qui vit cette Parole sous d'autres cieux, en d'autres

contrées. 1-2 les sociétés patriarcales pré-islamiques Certaines approches théoriques de ces temps pré islamiques défendent l’idée selon laquelle, certaines tribus matriarcales pratiquant la polyandrie existaient encore à l’époque du prophète. On peut noter que sa première femme KHADIDJA était une veuve riche, libre et gérant à la Mecque une entreprise florissante dans laquelle elle employait MUHAMMAD. Les femmes étaient également les inspiratrices des poètes lors des joutes poétiques

déposé un grand bien." (Sourate 4 / Verset 19) Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) disait pour sa part: "Qu'un croyant n'ait pas de l'aversion envers une croyante, s'il déteste en elle un comportement, qu'il agrée d'elle un autre comportement." Le Coran, évoquant les liens intimes entre les époux, dit encore: "Elles sont un vêtement pour vous et vous êtes un vêtement pour elles." (Sourate 2 / Verset 187) Le prophète avait par ailleurs confirmé les propos du compagnon

Babylone, qui représentait Rome et le pouvoir impérial avec son culte idolâtre et son opposition à Dieu, vue comme la ville du diable et des démons et des péchés. Aussi, la répétition du mot « tombée » souligne la certitude du jugement. Elle : les prophètes d’Israël ont pour habitude d’utiliser des identifications féminines quand ils parlent de cités. Cependant la femme représente deux choses : d’un côté la Vierge Marie, symbole d’innocence et de pureté et de l’autre Babylone, la prostituée, qui déroute

inouï : il n'a aucune « réalité » à opposer à cette illusion. Très précisément la terre qu'il nous montre est une terre où rien ne germe sinon des paroles. C'est la démonstration que fait l'extraordinaire discours d'Irimias, l'escroc ou le faux prophète, dans la salle de bistrot ou le corps de la fillette est étendu sur le billard. La voix magnétique semble rêver tout haut et dire seulement ce que l'événement impose à tous de penser : comment cela a-t-il pu arriver? Est-ce ainsi que les hommes vivent

sensibles et l’imaginalisation des formes intelligibles auxquelles il donne figure et dimension. C’est donc dans ce lieu que s’opère la spiritualisation de la matière et la matérialisation de l’Esprit. Il est le lieu où ont lieu les visions des prophètes, des mystiques, la prophétie n’étant pas autre chose que l’histoire imaginale. Ce monde imaginal est la demeure divine en ce monde où se produisent les épiphanies : elle est donc l’Ame du Monde détenant la Sophia, le lieu d’émanation de la Gloire

ayant tenu conseil, ils achetèrent avec cet [argent] le champ du potier, pour la sépulture des étrangers ; 8. c’est pourquoi ce champ-là a été appelé Champ de sang, jusqu’à aujourd’hui. 9. Alors fut accompli ce qui avait été dit par Jérémie le prophète, disant : Et ils ont pris les trente pièces d’argent, le prix de celui qui a été évalué, lequel ceux d’entre les fils d’Israël ont évalué ; 10. et ils les ont données pour le champ du potier, comme le Seigneur m’avait ordonné. 11. Or Jésus se

est une autre : c’est un mensonge et une tentative de manipulation d’ailleurs courantes et licites en islam, appelée Taqiyya (“dissimulation”). Commençons donc : Tout d’abord, vous dites que l’islam reconnaît Moïse et Jésus comme prophètes, certes, mais comme prophètes de l’islam! Cela n’est AUCUNEMENT incompatible avec la haine du kaffir (terme qui réfère au mécréant, infidèle, non-musulman, athée) professée à longueur de pages dans le coran. Florilège : Sourate II (2) : - verset [191] : TUEZ-LES

mais spirituelle, qui portait sur la Parole révélée de Dieu pour ce temps qui est contenue dans les bandes magnétiques. Il lui a dit d'attendre pour le reste de la nourriture avant de commencer le déploiement. Le 24 Décembre 1965, Dieu a pris son prophète, mais la Parole de Dieu  révélée pour le moment elle est restée avec nous. Après l'enterrement, le même jour, une voix intérieure parle au cœur de son frère Frank, "Maintenant, le temps est venu pour distribuer de la nourriture." Sans avoir à y