Un Régime Absolutiste Mais Des Souverains Contestés

réellement. Dans son ouvrage il va entreprendre une étude des régimes politiques de son époque. Il va classer en essayant de trouver un système pour faire rentrer tout les régimes dans les cadres, il va entreprendre une typologie. Grâce à cette typologie, il va montrer qu’il y a des moyens divers d’arriver à la meilleure des cités, comme s’il y avait des étapes différentes sur une échelle, avec évidemment le risque de retomber dans un régime moins favorable (ex : Athènes au Vième siècle). Le risque

intellectuelle : Les rois apparaissent comme des philosophes. Platon se méfie ainsi de la démocratie, reposant sur le gouvernement du peuple, qui n’est pas une entité sage et philosophe de nature. Au final, tous les régimes politiques doivent entrainer une certaine méfiance : Chaque régime a tendance à dégénérer et à donner naissance à un autre. On trouve ainsi au départ la timocratie (gouvernement d’un petit groupe sur le principe de l’honneur), puis l’oligarchie (gouvernement d’un petit nombre en

de l'histoire de France comprise entre l'ouverture des États généraux en 1789 et le coup d'État du 18 brumaire (9-10 novembre 1799) de Napoléon Bonaparte. Il s'agit d'un moment crucial de l’histoire de France, puisqu'elle marque la fin de l'Ancien Régime et le passage à une monarchie constitutionnelle, puis à la Première République. Elle a mis fin à la royauté, à la société d'ordres et aux privilèges. Elle nous a légué la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, qui proclame l'égalité des

nouvel ennemie, le jacobinisme, le peuple armé, l’intérêt général. Le peuple réuni était tout puissant, souverain, celui qui se trouvait en désaccord avec le peuple avait tort. Ce point de vue, pour le courant libéral, sera tout autant dangereux que celui de l’arbitraire royal. Toute l’histoire de ce libéralisme européen sera celle d’un courant pris entre deux feux, la persistance de l’ancien régime et la tradition révolutionnaire (peuple unifié, tyrannique). Au niveau des idées, on retrouve Benjamin

une situation de guerre. Pour en sortir les humains ont intrt pass entre eux un contrat, pour que soit tabli un pouvoir dont le rle serait de pacifier et de faire vivre le corps social. Le contrat laisse le pouvoir politique lxtrieur contrat. Le souverain nest li par aucun engagement. Il justifie ainsi labsolutisme du pouvoir politique. John Locke en 1690, considre que ltat de nature est un paradis, car les humains disposent de la libert et de la proprit o ils sont tablis. Lobjet du contrat est de

l'esprit antique renaît en réaction au « vide sidéral » du MA. Temps de la monarchie absolue (pas tant de monarque absolue que ce que l'on pense d'habitude) qui disparaît en 1789. On associe la révolution à cette époque car c'est la mort de l'ancien régime et que malgré quelques grands fondamentaux énoncés il n'y a pas tant de grandes avancés dans le droit, les codes naissent à l'époque de Napoléon. -Époque contemporaine jusqu'à aujourd'hui. Qui s'arrêtent au delà de la GM2. PREMIÈRE PARTIE : Le

la France. La souveraineté qui est une notion juridique abstraite qui représente une valeur absolue (totale, qui ne se partage pas). Un certain nombre d’agents du Roi et notamment des rédacteurs de coutumes traduisent par « le Roi de France est souverain par dessus tout ». Les Rois de France traduisaient sur le terrain à la tête de l’Armée royale (appelée l’ost), cette supériorité et s’imposaient dans leurs relations avec les autres princes d’Occident et pendant ce temps-là, sur le terrain du droit

constitués d’ordres allant vers une société internationale Les auteurs nient au départ l’existence d’un ordre international. Pour eux, ce sont des États qui se font face tout en tirant des bénéfices par leur égoïsme distinct. Les États sont des entités souveraines. L’État fait ce qu’il veut, on ne lui impose rien selon les auteurs allemands. Les États ne sont pas gouvernables. Ces auteurs sont qualifiés de négationnistes, ils ne voient pas de relations internationales. Ils ne voient que les États et les

des idéologies], 1960) et Seymour Martin Lipset (1922-2006) (L’homme et la politique, 1963), ou français, tels que Raymond Aron (1905-1983) (L’opium des intellectuels, 1955), vont proclamer la « fin des idéologies ». À leurs yeux, la défaite des régimes fascistes de l’Axe au profit des pays libéraux – Royaume-Uni, États-Unis et France en tête – et du bloc communiste – essentiellement l’URSS – devait signifier la mise au rancart définitive de ce que plusieurs perçoivent comme l’une des principales

par rapport aux flots d’informations délivrés par les medias pour les analyser. Irak : o comment les US, régime démocratique, peuvent-ils prendre l’initiative de déclarer à la guerre à un pays qui ne l’a pas agressé militairement ? o Quels sont les critères que pouvaient appliquer les US/ONU pour définir qu’un pays est devenu démocratique ? o Est-il possible de construire par l’extérieur un régime démocratique, de l’imposer, de le construire ?  Loi fédérale allemande de 49 : imposée par les Alliés