Un état Souverain

Examen théorique 1 philo1ière partie : Questions du manuelp.40 #1 Cherchant quel est le souverain bien de l’homme, dites pourquoi, d’après Aristote, vous ne serez pas très avancé de découvrir qu’il réside, pour la majorité des hommes, dans le bonheur. Parce que l’homme n’a pas totalement définit ce qu’était réellement le bonheur. Il est différent des uns des autres et ce serait important de définir ce que contient réellement le bonheur. #2 Comment l’étude du langage peut-elle

meilleure constitution que celle où le pouvoir exécutif est joint au législatif: mais c'est cela même qui rend ce gouvernement insuffisant à certains égards, parce que les choses qui doivent être distinguées ne le sont pas, et que le prince et le souverain, n'étant que la même personne, ne forment, pour ainsi dire, qu'un gouvernement sans gouvernement. Il n'est pas bon que celui qui fait les lois les exécute, ni que le corps du peuple détourne son attention des vues générales pour les donner aux

pouvoir constituant est-il un pouvoir souverain ? » Introduction : Le conseil constitutionnel dans une décision du 2 septembre 1992 portant sur l’union européenne déclare que « le pouvoir constituant est souverain, il lui est possible d’abroger, de modifier ou de compléter les dispositions de valeur constitutionnelle dans la forme qu’il estime approprier » Si le pouvoir constituant est souverain cela signifie qu’il n’a pas de limite. Un organe souverain est le caractère d’un organe qui n’est

Sujet : Etat Unitaire – Etat fédéral De nos jours, on est obligé de constater que le terme d'état est employé constamment que ce soit dans la vie de tout les jours que dans différents domaines tels que la politique, l'histoire, l'économie... Cependant, il n'existe pas de définitions de l'état véritable car c'est un objet d'études pour tous. Au début du XXème siècle Georges Burdeau a dit « L'état n'existe que parce qu'il est pensé ». De manière générale, l'état représente la personne morale

suprême d’un Etat, donc prend la première place dans la hiérarchie des normes, qui organise les différentes règles juridique dans un système de valeur. Tout d’abord, la question du pouvoir constituant ne se pose que s’il s’agit d’une Constitution écrite. En effet, la coutume étant une règle issue d’un usage général et répété, et non pas édictée par les pouvoirs publics, il est impossible pour ces derniers d’établir de toutes nouvelles règles coutumières. Après la naissance d’un Etat, à la suite

son organisation politique et juridique et à l'encadrement de son activité , limitation du pouvoir dans le respect des droits et libertés des citoyens. ¨ 2) Pour comprendre et maîtriser le DC , concepts de base : Etat (sources origines,...) Souveraineté (état nations, souverains,...) aucun rapport avec la monarchie fédéralisme (Allemagne Autriche Inde, USA, Europe, Espagne ,...) suffrage république parlement Recours à l'histoire : l'étude des règles constitutionnelles n'a de sens que

sur la politique. Je réponds que non, et que c’est pour cela que j’écris sur la politique. Si j’étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu’il faut faire ; je le ferais, ou je me tairais. Né citoyen d’un État libre, et membre du souverain, quelque faible influence que puisse avoir ma voix dans les affaires publiques, le droit d’y voter suffit pour m’imposer le devoir de m’en instruire : heureux, toutes les fois que je médite sur les gouvernements, de trouver toujours

Les Etats fédéraux Origine - par association d'Etats unitaires/souverains surtout le cas quand il y a des origines commune... ex. USA en 1787, Suisse - par dissociation d'un Etat souverain surtout le cas quand il y a différentes langues sur un même territoire ex. Belgique en 1993 (monarchie fédérale belge divisée en provinces) Pourquoi? Cette forme est intéressante car elle permet d'avoir le bénéfice d'un Etat unique en conservant à chaque composants son identité, sans compter le bénéfice au

paraissent les Six Livres de la République où il prend des positions doctrinales nettement favorable à l'absolutisme, c'est-à-dire qu'il prône un système de gouvernement où le souverain possède une puissance de droit divin et sans limites constitutionnelles. Il prépare l'absolutisme en mettant au point une théorie de l'Etat souverain. C'est un des premiers livres de philosophie politique des Temps modernes présentant une théorie constitutionnelle complète. La souveraineté est le concept central de la théorie

contraire, dans un Etat et sous un commandement pour lesquels la loi suprême est le salut de tout le peuple, non de celui qui commande, celui qui obéit en tout au souverain ne doit pas être dit un esclave inutile à lui-même, mais un sujet.»  Ici c’est L’enjeu politique qui apparaît : si toute obéissance devait, impliquer l’esclavage, alors aucun Etat libre ne serait possible, puisque tout ordre souverain rendrait ses sujets esclaves. On serait alors confronté à un dilemme : ou bien un Etat d’esclaves,