Une Grande Dame Paul Verlaine

L’exposition rétrospective qu’offre le musée d’Orsay à l’occasion du centenaire de la mort du poète ne propose pas un vain décryptage du mystère mallarméen mais un parcours, à la fois chronologique et thématique, sur la vie de l’artiste et sur les grands axes de sa recherche poétique. Cette rencontre nous révèle un personnage courtois et raffiné, vénéré par ses amis artistes, conscient d’être sur le chemin d’un renouvellement profond du langage poétique. Professeur d’anglais, il partage son temps

avec la peintre Marthe Massin, apaise ses angoisses. Il dédie « Les Heures claires » (1896), « Les Heures d'après-midi » (1905) et « Les Heures du soir » (1911) à l'amour intime. Emile Verhaeren dépeint avec lyrisme les campagnes et la naissance des grandes villes dans ses célèbres recueils « Les Campagnes hallucinées » (1893) et « Les Villes tentaculaires » (1895). D'un expressionnisme puissant, la poésie de Verhaeren se caractérise par un goût pour l'image, une métrique rythmée et une liberté

règles tirées d'Homère et de Virgile. Hymne : poème religieux en l'honneur des dieux ou des héros. Au XVIe siècle, poème à rime plate, en alexandrins, épique ou didactique (jamais lyrique) sur des sujets très divers. Ensuite, toute œuvre qui chante un grand sentiment sur le mode du lyrisme enthousiaste. Idylle : (grec : « petit tableau ») dans la poésie grecque, petit poème, presque toujours érotique, évoquant des scènes de la vie pastorale. Genre repris par la Pléiade. Impromptu : petit poème improvisé

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeUn bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Poème n°4 Paul Verlaine, Adieu. Hélas ! je n'étais pas fait pour cette haine Et pour ce mépris plus forts que moi que j'ai. Mais pourquoi m'avoir fait cet agneau sans laine Et pourquoi m'avoir fait ce coeur outragé ?J'étais né pour plaire à toute âme un peu fière,

allons étudier dans l’anthologie une trentaine de poème de différents auteurs et de différentes époque, qui porte sur le thème du temps, qui pour beaucoup d’entre nous s’écoule trop vite. Et cela depuis plusieurs siècles puisque beaucoup d’œuvres d’un grand nombre de poètes s’écrivent depuis des années et portent sur se thème. Ce thème est intéressant puisque la vision du temps est totalement différente d’un poème à un autre. En effet certain poètes on une vision négative sur le temps,   lui qui s’écoule

| | | |métaphore directe (ex.2) dans laquelle le comparé est sous-entendu,|« Vieil Océan, ô grand célibataire » (Comte de Lautréamont, Les Chants de Maldoror, Chant I) | | | |d'où une grande force de suggestion mais aussi un risque |ex.2, métaphore directe : | | |

dans laquelle le comparé est sous-entendu, d'où une grande force de suggestion mais aussi un risque d'incompréhension qui rend nécessaire le contexte ex.1, métaphores annoncées : « Son rire de pluie fraîche » (Julien Gracq) « Vieil Océan, ô grand célibataire » (Comte de Lautréamont, Les Chants de Maldoror, Chant I) ex.2, métaphore directe : « Ce toit tranquille, où marchent des colombes, Entre les pins palpite, entre les tombes » — Paul Valéry, Charmes, Le Cimetière marin le contexte permet

enfin, un chef d’œuvre de Pierre Corneille, Stances à la marquise, tout le poème est construit autour d’une idée : la beauté passe mais l’œuvre survit à son auteur le rendant par cela immortel. Le XVIIIème siècle ou le siècle des lumières est un grand pas dans la littérature car les philosophes sont remplis de nouvelles idées : des idées lumière. Dans ce siècle j’ai choisi cinq poèmes. Tout d’abord, pour l’écriture, celui de Desforges Maillard, Parodie des stances de Rousseau sur les misères de

chante souvent l'amour, cela ne fait pas de doute ; mais il s'agit de savoir si elle le fait d'une manière particulière, si elle se prête mieux qu'une autre forme à l'expression ou à l'analyse d'un sentiment dont on peut dire qu'il est l'affaire d'une grande partie de la littérature en général. [Problématique] Ces questions se ramènent toutes à la question du rôle spécifique de la poésie par rapport aux autres formes littéraires. [Annonce du plan] Si des liens étroits entre l'amour et la poésie se sont

laquelle le comparé est sous-entendu, d'où une grande force de suggestion mais aussi un risque d'incompréhension qui rend nécessaire le contexte | ex.1, métaphores annoncées : « Son rire de pluie fraîche » (Julien Gracq) « Vieil Océan, ô grand célibataire » (Comte de Lautréamont, Les Chants de Maldoror, Chant I) ex.2, métaphore directe : « Ce toit tranquille, où marchent des colombes,Entre les pins palpite, entre les tombes » — Paul Valéry, Charmes, Le Cimetière marin le contexte