Une Nature Humaine Existe T Elle Chez Nietzsche

acquise. ex  : les techniques de guerre évolue entre la première et la seconde guerre mondiale. Technique = constitue un critère de valeur d’une civilisation(= progrès accomplis par l’humanité) . Par la maîtrise de la nature par les humains, elle permet d’améliorer la vie humaine. BACON : Le progrès que l’humain développe depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver à combler tous les

liberté de l’être humain. Elle serait alors comme une prison nous empêchant de vivre librement. Il faut donc s’en libérer afin de VIVRE sans se soucier de ces règles qui nous ont été inculquer par la société et qui nous condamne a vivre tel des êtres aliénés. Reformulation de la problématique Il s’agira alors d’analyser si pour pouvoir vivre librement et mener une vie remplie de bonheur il faut se libérer de la morale ? La morale est elle la source d’aliénation de l’être humain ? Annonce de

organisme vivant, de toute vie humaine ? La démarche est différente mais, dans tous les cas, dictée par une posture morale, religieuse, écologique… Si le respect est une notion claire et rigoureusement définie –par Kant notamment –la vie n’est en revanche ni une réalité, observable et indiscutable, ni une substance. Toute vie, en tant que vivant et vécu, a-t-elle des devoirs et droit au respect du fait de sa nature ? Toute vie est-ce tout organisme vivant ? Toute vie humaine ? Des valeurs telles que

discipline des normes, est donc déontologique (elle fixe des devoirs) ; c'est pourquoi on peut parler d'impératifs moraux. Se demander si la conscience morale est une illusion revient alors à déterminer si la conscience morale est inhérente à la race humaine. La « petite voix » qui constitue la conscience morale est-elle présente universellement, dans tous les hommes, de manière innée? Nos impératifs moraux sont-ils inscrits au cœur de la conscience, indépendamment de toute acquisition, ou sont-ils au

h 4 1. La conscience de soi requiert la reconnaissance dautrui (Hegel) PAGEREF _Toc185584890 h 4 2. Autrui me permet de me connatre moi-mme (Sartre) PAGEREF _Toc185584891 h 4 3. Autrui est la condition de possibilit de la conscience elle-mme (Nietzsche) PAGEREF _Toc185584892 h 5 C. Autrui est la condition de possibilit de toute connaissance PAGEREF _Toc185584893 h 6 1. Autrui structure mon monde PAGEREF _Toc185584894 h 6 2. Autrui est la condition de possibilit de la science PAGEREF _Toc185584895

jeune âge. De cette manière, il dévoile le mal intrinsèque de la condition humaine, à savoir ce qu’il appelle le péché originel. Pour Augustin, l’humanité est donc une humanité séparée de Dieu et ce qu’il faut considérer pour la comprendre, c’est cette séparation « dont chaque individu est l’héritier dès sa naissance » . Pour Augustin, le péché originel est donc une clef fondamentale d’interprétation de la condition humaine qui rend intelligible sa propre expérience de l’existence; il l’utilise donc

étapes de cette science nouvelle : la psychanalyse (analyse du psychique humain sous son aspect inconscient). Il imagine que la psychanalyse peut être une science. Il n’a pas découvert l’inconscient, il essais d’en donné un statut scientifique. C’est une hypothèse nécessaire pour expliquer certains comportements humain et légitime (justification par les observations des malades mentaux). La notion d’inconscient se retrouve chez de nombreux philosophes sans que le mot ne soit utilisé. Dans l’allégorie

(Montaigne) La philosophie ne consiste-t-elle pas, après tout, à faire semblant d’ignorer ce que l’on sait et de savoir ce que l’on ignore ? (Paul Valéry) J’aime les paysans, ils ne sont pas assez savants pour raisonner de travers. (Montesquieu) La vérité existe, on n’invente que le mensonge. L’une des meilleures façons de paraître intelligent est de faire en sorte de n’être compris par personne. (J. M. Roth) Si vous m’avez compris, c’est que je me suis mal exprimé. Toute la philosophie n'est qu'une poésie

le temps. C’est ainsi que l’on distingue « être heureux », qui n’est que furtif, du « bonheur » qui sous-entend une continuité dans le temps.  I) La nature du bonheur Le bonheur semble être une aspiration universelle parmi les hommes. En particulier, Aristote en fait le « Souverain Bien », c'est-à-dire la fin dernière de toutes les actions humaines. Chaque activité poursuit un but : la santé pour la médecine, la victoire pour la stratégie, etc. Aristote se demande donc s'il n'existe une chose qui

accès à « l’être » et nous sommes donc voués à l’impermanence : le maitre de Montaigne serait le présocratique Héraclite qui rappelle que « tout bouge, tout se corrompt » : « on ne se baigne jamais deux fois dans la même eau ». Ce qui est remarquable chez Montaigne c’est qu’il est le seul à être absolument philosophe et absolument écrivain : c’est pour cela qu’il est irremplaçable. « Me peignant pour autrui, je me suis peint plus précis moi-même ». Il précise que « son livre l’a plus fait qu’il n’a