Une Vie De Maupassant Illusion Du Réel

multiples et encore proches de nous, particulièrement dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny,Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé…) comme dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne…) et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique et ses épigones (avec Musset, Hugo, Edmond Rostand…). Siècle très riche aux œuvres encore proches de nous, le xixe siècle reste pour la littérature française un âge d'or de

Le personnage de roman du XVIIème à nos jours LE PERSONNAGE DE ROMAN Être fictif auquel le romancier prête une vie, des caractéristiques et des actions imitées du réel, le personnage de roman a évolué selon les transformations historiques du genre. S'il a d'abord été assimilé aux héros épiques de la mythologie, il a connu par la suite de nombreuses métamorphoses. ÉVOLUTION HISTORIQUE 1. Personnage central de l'épopée (L’Odyssée, L'Énéide), le héros est l'héritier des demi-dieux antiques ;

de naturalisme. , Balzac, auteur du Père Goriot et d'Eugénie Grandet, Flaubert, auteur de l'éducation sentimentale, Zola ( auteur de l'Assommoir, l'un des livres composant la somme littéraire dont le titre est les Rougon-Macquart ) et Maupassant ( auteur d'une vie ) en font partie. Ce courant se caractérise par des principes, des thèmes et des formes. Les principes de ce mouvement reposent sur la reproduction la plus parfaite possible de la réalité et, cela implique souvent la documentation

mouton que tu veux est dedans » (p. 14). Cela Chapitres III-VIII Au fil des jours, le narrateur apprend à connaitre le petit prince. Il apprend qu’il vient de l’astéroïde B612, planète si petite qu’elle serait à peine plus grande qu’une maison. La vie du petit prince y était faite d’activités quotidiennes comme la planète lorsqu’on les laisse atteindre leur taille adulte. ramoner ses trois petits volcans ou tailler les baobabs, véritables mauvaises herbes qui représentent une menace pour Le petit

2. Du réalisme au naturalisme a) Le réalisme • Les causes La révolution de 1848 entraîne un désenchantement qui met fin à l’idéalisme romantique. • Les caractéristiques L’art se veut une photographie exacte du réel ou plutôt, selon l’expression de Maupassant, une « illusion de la réalité ». Pour cela, le romancier appuie son travail sur une documentation précise (Balzac développe une typographie exacte des lieux, Flaubert consulte des ouvrages médicaux pour décrire l’empoisonnement d’Emma

centre + au moins une dizaine d’idées+ construire un plan à partir de ces idéesReprise idées soleil : - GD solennel = se recueille + lieu religieux / spirituel- optimiste = ambitieux = député = se projette dans le futur- reconnaissant pour ce que la vie lui a donné = marié à Suzanne + succès- énormément de monde présent - heureux- nostalgie + projection dans l’avenir = histoire avec Mme de Marelle pas finie- apprécie le moment = marche lentement- se préoccupe plus de Mme de Marelle que des gens présents

la mort est toujours présente, le monde est inconstance et illusion. Le baroque s’exprime dans le théâtre et la poésie. Les effets de théâtre dans le théâtre et de mise en abyme sont privilégiés (Corneille, L’Illusion comique). Il donne lieu à deux déclinaisons antagonistes : la préciosité et le burlesque. La préciosité s’éloigne du réel en utilisant un langage raffiné (périphrases, antithèses…). Le burlesque se rapproche du réel et emprunte le registre satirique. 3 Le classicisme On le

pessimiste : la mort est toujours présente, le monde est inconstance et illusion. Le baroque s’exprime dans le théâtre et la poésie. Les effets de théâtre dans le théâtre et de mise en abyme sont privilégiés (Corneille, L’Illusion comique). Il donne lieu à deux déclinaisons antagonistes : la préciosité et le burlesque. La préciosité s’éloigne du réel en utilisant un langage raffiné (périphrases, antithèses…). Le burlesque se rapproche du réel et emprunte le registre satirique. 3) Le classicisme On le fait

méthode : utiliser le « je » pour signaler d’où l’on parle, raconter l’enquête que l’on mène, puiser dans l’obsession d’un questionnement, aller et venir entre le présent et les passés, inventer des fictions de méthode pour mieux comprendre le réel, placer le curseur au bon endroit entre distance et empathie, chercher les mots justes, faire une place à la langue des gens (vivants ou morts) que l’on a rencontrés. Ces règles sont des opérateurs de littérarité, c’est-à-dire

c’est un vice de nos temps. (Servitude et Grandeur militaires) * Dieu ! Que le son du cor est triste au fond des bois ! (Poèmes antiques et modernes) * On étouffe les clameurs, mais comment se venger du silence ? * L’ennui est la maladie de la vie. On se fait des barrières pour les sauter. * Le vrai Dieu, le Dieu fort, c’est le Dieu des idées. (Les Destinées) * La conscience ne peut pas avoir tort. (Chatteron, I, 5) * Et, plus ou moins, la Femme est toujours Dalila. (Les Destinés)