Unification Italie Allemagne

chrétienne et mouvement protestant : Religion. De plus en plus, une volonté d’égalité par rapport aux autres pays : politique commune internationale. Les autres pays poussent aussi à la création du droit social : régularisation de la concurrence : unification de la législation. En 1919, c’est la création de la Société des Nations et la mise en place de l’Organisation International du Travail (OIT) qui est très productive et dont le but est de proposer aux Etats adhérents un minimum de justice sociale

des systèmes de grandes propriétés foncières travaillées par un système de servage qui développent donc une économie céréalière. Entre ce centre et cette périphérie s'insèrent des semi périphéries qui étaient des territoires autrefois centraux (Italie, Espagne, et le sud de la France). Elles se caractérisent par un contrôle de la main d'œuvre par un pourcentage en nature donné au propriétaire. On est ni dans le modèle du servage, ni dans un modèle d'économie monétarisée. Sur la base de cette

libéralisme économique) et ont peut-être été à la naissance de la révolution industrielle. * Bref, une révolution du « quantitatif » c'est-à-dire du volume produit. 3) La deuxième révolution industrielle * En Allemagne et aux USA vers 1870 (en retard surtout Allemagne par rapport à l’Angleterre) : Ils ne vont pas commencer en passant par la case « départ » comme l’A avec l’aide des dernières technologies de l’époque que les autres pays avaient déjà développés et qui font que l’Angleterre

nationalités différentes (française espagnole, autrichienne...). Elle a une puissance militaire et commerciale forte (jusqu'à l'étranger) jusqu'au Moyen-Age. Puis arrive la révolution française qui amène une certaine idéologie (liberté, démocratie) en « Italie ». D'où l'importance d'avoir une unité italienne. Mais le sentiment d'appartenance à l'Italie n'existe pas vraiment. Il va se développer après cette révolution (notamment chez la bourgeoisie et les artisans). Cependant, le taux d'analphabétisme est

droit continue à évoluer, les empereurs légifèrent, début VIè siècle arrive sur le trône, grande ambition: Justinien, son ambition s’est de reconstituer l’empire romain dans son ensemble, prend une forme militaire, il va partir à la conquête en Italie actuelle. Cette ambition elle prends aussi des formes politique, administrative, chercher à rétablir la grandeur de l’empire romain, notamment avec son droit qui brille par sa technicité, son raffinement. Grande réforme administrative, Justinien

(structure prédéfinie régie par le statut général des fonctionnaires). 2,5 millions d’agents d’état, 1,5 millions d’agents des collectivités territoriale et 1 millions dans les hôpitaux (Cinq millions en tout). Proportions différentes en Angleterre et Allemagne (proportions d’agents d’état minoritaire). Les fonctionnaires vont entrer dans un corps soumis au même statut (les enseignants, les préfets, …). Les préfets sont régis par un texte spécial. Ensuite, ces systèmes sont les mêmes dans l’Europe occidentale

sont très varié, chaque droit a son propre concept, vocabulaire, technique de raisonnement. On a quand même pu les ressembler en famille. On retrouve plusieurs familles : - La première, c’est la famille romano-germanique ( France, Italie, Espagne, Allemagne, Benelux) qui est fondé sur le droit romain et dans laquelle la loi a une place prépondérante. - La seconde, la famille de la Common law qui est constitué par le droit anglais et les droits qu’il a pris pour modèle. C’est un droit plus

du XVIII et surtout au XIX, les grands Empires se morcellent et l’on voit l’avènement des état-nations. De 1776 à 1825 : pratiquement toutes les colonies d’Amérique. 1830 : Belgique et Grèce 1861 : fusion et création de l’Etat italien 1871 : Allemagne 1878 : Bulgarie Roumanie 4. Le siècle de l’expansion coloniale 5.6. Décolonisation ou indépendance des colons ? Les colons obtiennent leur indépendance pour asservir les indigènes : Amérique, Afrique,… Les USA se libèrent et instaurent

envahisseurs germaniques. Celles-ci étaient en outre d’une extrême diversité: on dénombrait environ soixante coutumes principales et au moins trois cents coutumes locales. Au fil des siècles, cependant, l’évolution s’était faite dans le sens d’une unification progressive. Plusieurs facteurs y avaient concouru, parmi lesquels on peut citer: d’abord la renaissance du droit romain, dont le rayonnement s’étend en pays de coutume dès le XIIe siècle; ensuite l’influence du droit canonique, évidemment identique

envahisseurs germaniques. Celles-ci étaient en outre d’une extrême diversité: on dénombrait environ soixante coutumes principales et au moins trois cents coutumes locales. Au fil des siècles, cependant, l’évolution s’était faite dans le sens d’une unification progressive. Plusieurs facteurs y avaient concouru, parmi lesquels on peut citer: d’abord la renaissance du droit romain, dont le rayonnement s’étend en pays de coutume dès le XIIe siècle; ensuite l’influence du droit canonique, évidemment identique