Union socialiste des forces populaires

------------------------------------------------- Michel Winock, La belle époque : ------------------------------------------------- 3ème partie : Familles religieuses et politiques : ------------------------------------------------- Chapitre 13 : Socialistes et syndicalistes : Pendant la Belle Epoque, le socialisme en France croît fortement, sous deux tendances : le socialisme politique et le syndicalisme révolutionnaire. Même si l’alliance entre parti et syndicat est inconnue en France

contrées privilégiées qui relevaient des procédures administratives, politiques et judiciaires de la Métropole. Par ailleurs, les sujets français (indigènes) n’avaient pas le droit à la libre expression de leurs opinions. Ils étaient soumis aux travaux forces et pouvaient encourir de sérères sanctions pénales, allant jusqu’à l’exile. Ils ne pouvaient pas se faire présenter alors que les citoyens élisaient un député à l’Assemblée Nationale française depuis le début de la 3eme république. Ces derniers choisissaient

antiparlementaristes + crise profonde des formations politiques traditionnelles. -Tardieu chef de la majorité sortant veut faire alliance droite/centre-droit-radicaux devant le péril socialiste mais refus d’Herriot. Pas non plus d’alliance radicaux-socialistes. Victoire des gauches (recul communiste, progrès socialiste, bons résultats pour les radicaux). -instabilité gouvernementale : la question financière fait tomber tous les gouvernements (celui d’Herriot qui propose de continuer de payer la dette

en France Le gaullisme et la droite néo-gaulliste La droite française a longtemps été dominée sous la Ve République par une famille politique originale : le gaullisme. Idéologiquement, le gaullisme ne revêtait pas les attributs classiques des forces politiques de droite dans les États d'Europe occidentale : • droites européennes : défense du capitalisme, atlantisme... • gaullisme : troisième voie sociale anti-capitaliste et anti-marxiste (l'"association capital-travail" ou "participation")

Commentaire : Appel du Populaire pour les élections législatives, avril 1936 La France des années 1930 subit la crise économique mondiale, une crise sociale, la montée du mouvement fasciste, vit dans une crainte de la reprise des conflits armés, et c’est dans ce contexte qu’approche les élections législatives d’avril mai 1936. C’est donc ce contexte qui a conduit un rapprochement entre les partis politiques et syndicats de gauche. Ainsi le Parti Communiste Français, la SFIO (Section Française

politiques : • Parti Socialiste Unifié (PSU) [Exemple des Boycotte] • Parti de la Justice et Du développement (PJD) • Parti du Front des forces Démocratiques (FFD) • Parti Marocain Libéral (PML) • Parti de l'action • Parti national-démocrate • Parti de l'environnement et du développement durable (PEDD) Fait par : Srhiri Abir (G6) [pic] Le Parti socialiste unifié (PSU) (الحزب الإشتراكي

NOM : PRENOM : NOTE: /20 1ère DEVOIR MAISON HISTOIRE Thème LE FRONT POPULAIRE - Possibilité de travail en groupe de 2 maximum / conserver chacun ce DM sur clé USB ! Répondre sur ce document en bleu et n'oubliez pas d'enregistrer votre travail !!et retravaillez vos réponses pour éviter un simple copier/coller ------------------------------------------------------------------------------------------------------- Questions : 1° Dans quelle situation économique est la France en

de Staline 11.Bolcheviks : Groupe révolutionnaire mené par Lénine qui prend le pouvoir en Russie grâce à la révolution d'octobre 1917 12.U.R.S.S : Union des République Socialistes Soviétiques crée en 1922 13.Guerre civile : Guerre entre les bolcheviks(rouges) et les monarchistes(blancs) de 1918 à 1921 14.Goulag : Camps de travaux forcés en U.R.S.S 15.Koulak : Paysans enrichi, propriétaire de sa terre 16.Collectivisation ; Sovkhoze : ferme d'Etat dans laquelle les paysans sont salariés

de la République sociale italienne (RSI) de septembre 1943 à avril 1945. Il est couramment désigné du titre de Duce, mot italien dérivé du latin Dux et signifiant « Chef » ou « Guide ». Il est d'abord membre du Parti socialiste italien (PSI) et directeur du quotidien socialiste Avanti! à partir de 1912. Anti-interventionniste convaincu avant la Première Guerre mondiale, il change d'opinion en 1914, se déclarant favorable à l'entrée en guerre de l'Italie. Expulsé du PSI en novembre 1914, il crée

ethniques » entièrement à son service[6] – et de se livrer simultanément à des analyses plus que douteuses, laissant entendre que le « 9-3 » serait comparable à des « Territoires occupés » (sous entendu par les Arabes et les Noirs)[7] et que des villes populaires comme Clichy-sous-Bois (lieu de déclenchement des émeutes de 2005) 28 29 30 Compte rendu d’audition n°15, 2.12.09. Opcit note 22 Opcit note 22 31 Opcit note 22 10 Collectif Contre l'Islamophobie en France serait une « honte » pour