Université Duke

dépenses...). En quoi Boris Vian poétise-t-il l'univers romanesque (invention du nouveau monde) ? Boris Vian poétise l'univers romanesque à travers pleins de choses différentes : A travers la musique plus précisément le jazz avec Duke Ellington, il voit sa vie à travers celle-ci, tout d'abord par le fait que sa bien-aimée s'appelle de la même façon qu'un œuvre d'Ellington. De plus, ses sentiments et ses humeurs se créeront à travers la musique (Rencontre avec Chloé chez Isis→ l'œuvre

Analyse de « Liberian Suite » de Duke Ellington 1. Biographie de l’auteur De son vrai nom Edward Kennedy est né le 29 avril 1899 à New York. Il était pianiste et chef d’orchestre majeur noir du XXème siècle, il a gardé son orchestre pendant 50 ans. Au sein de celui-ci, comptaient de nombreux musiciens de renommée internationale tels que Sidney Bechet (qui a eu beaucoup de succès en France), Ben Webster, Johnny Hodges, etc. Duke a été aussi pianiste en trio jazz où il a enregistré en petite

est omniprésent tout le long du roman. Il y a de nombreuses références aux musiciens et compositions de Jazz. Par exemple plusieurs "Z" de jazz sont à l'intérieur des mots (ex: Doublezons, zonzonner) et le nom de Chloé provient de l'arrangement de Duke Ellington intitulé "Chloé". La religion : Boris Vian critique la religion à travers un mariage et un enterrement. Pendant le mariage, l'église est présentée comme avide d'argent. L'enterrement est l'opposé du mariage, car Colin alors n'a plus d'argent

 Lester Young, engagé par Fletcher Henderson. La chanteuse et le saxophoniste se lient immédiatement d'amitié. Lester la surnomme Lady Day, Billie le surnomme President. Billie chante également avec Duke Ellington qui la choisit pour son court-métrage Symphony in Black .  À la même époque, elle entame une liaison avec le jeune saxophoniste Ben Webster. John Hammond programme le 2 juillet 1935 un enregistrement pour la firme Brunswick, avec Billie, Ben

Summertime est une chanson composée en 1935 par George Gershwin pour son opéra en trois actes Porgy and Bess. Gershwin a commencé à composer ce morceau en décembre 1933 dans le style negro spiritual. Il alterne deux couplets de seize mesures et est le plus souvent joué en ré mineur (et parfois joué en si mineur). Les paroles sont de DuBose Heyward et Ira Gershwin. C'est une berceuse que chante le personnage de Clara dans le premier acte de l'opéra pour endormir son enfant (Acte 1, Scène 1 : Summertime)

omniprésent tout le long du roman. Il y a de nombreuses références aux musiciens et compositions de Jazz. Par exemple plusieurs « Z » de jazz sont à l'intérieur des mots (ex. : Doublezons, zonzonner…) et le nom de Chloé provient de l'arrangement de Duke Ellington intitulé « Chloé ». La religion : Boris Vian critique la religion à travers un mariage et un enterrement. Pendant le mariage, l'église est présentée comme avide d'argent. Le curé se réjouit de la mort du chef d'orchestre, comme il n'aura

jolies filles, et la musique de Nouvelle Orléans ou de Duke Ellington » →Pour Vian le Jazz est essentiel à la vie Comment B. Vian fait il di jazz un thème récurent et finalement essentiel à l’œuvre ? I. RECCURENT : Toutes les étapes importantes de la vie des perso st accompagnées de musique : Ch XI  : Rencontre colin et Chloé : « êtes vous arrangé par Duke Ellington ? » Ch XXI  : Pour l’engagement que l’on jouât l’arrangement de Duke Ellington d’un vieil air bien connu, Chloe. » Ch

Yorker, vous bénéficiez d’une totale liberté?

Totale, oui. Il n’y a pas de pression. Je fais ce que je peux. Quand un dessin me semble convenir pour une couverture, je le leur expédie. Comment savez-vous ce qui va plaire?

Il y a dans un disque de Duke Ellington un passage qui dit en substance : « C’est bien ce que vous faites, mais vous n’avez pas le swing. » Or, le swing, on ne sait pas très bien ce que c’est. Il s’agit d’un balancement impalpable. Une couverture pour le New Yorker, c’est pareil

féminin : Chloé. En effet, ce prénom est aussi le titre d'une chanson de Duke Ellington, très grand compositeur de jazz, qui est à l'origine d'un style particulier appelé « moody » ou « sultry tune » et qu'on pourrait traduire par triste, morose, étouffant, lourd, mais avec des connotations sensuelles assez fortes. Or, le registre du récit peut également être qualifié avec les mêmes termes. Le jazz, tout au moins celui pratiqué par Duke Ellington et ceux qui se sont inspirés de son style, est donc un élément

de plus grande taille sur le modèle des trois sections de trompettes, trombones et anches qui privilégie les solistes prenant des chorus intégrés dans des arrangements écrits au détriment de l'improvisation collective. C'est l'ère des big bands de Duke Ellington, Count Basie, Glenn Miller, avec un répertoire marqué par les compositions de George Gershwin, Cole Porter, Richard Rodgers etc. et les chansons de variété de Tin Pan Alley, qui forment l'ossature des standards de jazz. Les grands solistes