Université Duke

Les années 1930 sont considérées comme l'âge d'or du jazz, avec l’apparition du swing qui se démarque par un orchestre de plus grande taille privilégiant les solistes au détriment de l'improvisation collective. C'est l'ère des Big Bands de Duke Ellington, Count Basie, Glenn Miller, avec un répertoire marqué par les compositions de George Gershwin et Cole Porter. Les grands solistes de cette époque sont Coleman Hawkins, Roy Eldridge, Benny Carter, Art Tatum, et Lester Young. Au

prédominance de « puisque deux choses » l'auteur affirme dans l'avant-propos la : Il y a seulement deux choses : c'est l'amour, de toutes les façons, avec des jolies filles, et la musique de La Nouvelle-Orléans ou de Duke Ellington, c'est la même. Le reste devrait disparaître, car le reste est laid, et les quelques pages de démonstration qui suivent tirent toute leur force du fait que l'histoire est entièrement vraie, puisque je l'ai imaginée d'un bout (p.40)

saxophoniste se lient immédiatement d'amitié. Lester la surnomme Lady Day, Billie le surnomme President, ou plus brièvement Prez. Elle et lui sillonnent les clubs après leurs engagements respectifs, du soir au matin. Billie chante également avec Duke Ellington qui la choisit pour son court-métrage Symphony in Black, dans lequel elle interprète Saddest Tale. À la même époque, elle entame une liaison avec le jeune saxophoniste Ben Webster. John Hammond programme le 2 juillet 1935 un enregistrement

est omniprésent tout le long du roman. Il y a de nombreuses références aux musiciens et compositions de Jazz. Par exemple plusieurs "Z" de jazz sont à l'intérieur des mots (ex: Doublezons, zonzonner) et le nom de Chloé provient de l'arrangement de Duke Ellington intitulé "Chloé". La religion : Boris Vian critique la religion à travers un mariage et un enterrement. Pendant le mariage, l'église est présentée comme avide d'argent. L'enterrement est l'opposé du mariage, car Colin alors n'a plus d'argent

style be-bop, Ella s’illustre ensuite en interprétant dans une série de huit albums le répertoire de grands noms de la musique américaine dans des versions triomphalement accueillies par le public : Cole Porter, Richard Rodgers et Lorenz Hart, puis Duke Ellington, Irving Berlin, George et Ira Gershwin, Harold Arlen, Jerome Kern, Jonny Mercer. La chanteuse bat des records de popularité et multiplie les apparitions télévisées, devenant l’une des figures musicales les plus familières du public américain

Henderson avec qui elle partagera une brève relation.Elle fait également connaissance avec celui qui deviendra un grand ami, Lester Young.Au sommet de son artAu milieu des années 1930, Billie Holiday est au sommet de son art. Elle partage alors la scène avec Duke Ellington et est choisie pour entonner « Saddest tale ».À cette époque, elle devient la compagne de Ben Webster avec qui elle effectue un enregistrement pour le compte de Brunswick aux côtés d'artistes virtuoses dont Teddy Wilson et Benny Goodman.

œuvre de processus communs susceptibles de réduire le coût des opérations et d’optimiser l’utilisation des actifs immobilisés. De plus, la mise en commun de l’information permet aux entreprises de se comparer valablement et globalement. La société Duke Energy a ainsi découvert que les directions opérationnelles de ses quatre centres de profit n’avaient pas suffisamment de temps pour régler leurs problèmes d’amélioration des processus au niveau du service client, sans compter la coordination des efforts

frères. Le club devient vite le haut-lieu du jazz à Saint-Germain des Prés. Leurs soirées alimentent la presse à sensation qui les associe à l’existentialisme et les qualifie de dégénérés. Puis en 1948, il rejoint le Club Saint-Germain où il reçoit Duke Ellington, Charlie Parker, Kenny Clarke, Miles Davis… En 1949 il devient rédacteur en chef de Jazz News. Il écrit des chansons depuis 1944 mais c’est en 49 qu’il connaît son premier succès avec « C'est le be-bop » interprétée par Henri Salvador. C’est

donc le balancement, et il accompagne toute l’histoire du jazz de cette période est illustré par le bigbang : grand ensemble d’instrument (cuivre + bois + rythmique (batterie ; contrebasse ; piano ; guitare)) Compositeur : Glenn miler (1er blanc) Duke Ellington Louis Armstrong Audition : “Take the A train” de D. Ellington “in the mood” de Glenn Miller 2) Le bebop (1940-1960) On peut dire aujourd’hui que l’influence du bebop c’est étendu a presque toute les style de jazz se courant révolutionnaire

de Beauvoir dont je me suit utiliser et en quelques sortes moquer dans mon roman l’écume des jours. Quelles ont été vos motivations pour devenir romancier et non ingénieur ou même musicien ? Tout à commencé lorsque j’ai écouté un morceau de Duke Ellington, un célèbre Jazzman qui m’a donnée envie par la suite de m’essayé à la trompette, car je m’ennuyais a l’Ecole centrale ou je suis devenu ingénieur. Malheureusement j4ai du arrêter la trompette à cause de ma maladie pulmonaire et je me suis