Université Félix-Houphouët-Boigny

2007, 288 p. (ISBN 978-2-296-04169-1) Raymond Borremans, Le grand dictionnaire encyclopédique de la Côte d’Ivoire, vol. 6, Abidjan, Nouvelles éditions africaines,‎ 1986-2004, 2112 p. (ISBN 9782723607339) Alice Ellenbogen, La Succession d'Houphouët-Boigny entre tribalisme et démocratie, Paris, Éditions L'Harmattan,‎ 2002, 173 p. (ISBN 2-7475-2950-9) Gabriel Lisette, Le Combat du Rassemblement démocratique africain pour la décolonisation pacifique de l'Afrique noire, Paris, Présence africaine,‎ 1983

celui de l'École normale William Ponty, ancienne école normale fédérale qui sera pour l'Afrique le creuset où se formeront les élites, les « pontins » : instituteurs, médecins, mais aussi de grands noms de la vie politique africaine, tels que Félix Houphouët-Boigny, Modibo Keita ou, Mamadou Dia. Après un intermède à Madagascar, il est nommé délégué du gouverneur général de l'AOF pour mettre en place l'administration du Haut-Sénégal-Niger, d'abord à Kayes, puis à Bamako. Lorsque la colonie du Haut-Sénégal-Niger

Des partis se développent, parfois localistes, souvent panafricains à l'instar d'une organisation regroupant de nombreuses sections locales, le Rassemblement Démocratique Africain, créé cette même année par le riche planteur ivoirien Philippe Houphouët-Boigny. Il contribue à la suppression du travail forcé, finalement progressive mais inscrite dans la constitution de 1946, celle de la IVème République, à l'origine de l'Union Française, remplaçant l'indigénat par le statut personnel et comportant,

Premier président de la République du Sénégal en 1960 et académicien français élu en 1984, homme d'État et de lettres, intellectuel brillant, politicien controversé, Senghor est certainement, aux côtés de Kwale Nkrumah, Gamal Abdel Nasser, Félix Houphouët-Boigny et Nelson Mandela, l'un des Africains les plus célèbres du siècle. Mais, à la différence de tant d'autres «acculturés », de tant de métis (lui-même affirmait avoir dans les veines une goutte de sang portugais), il se sentait à la fois très

France En 1946 les colonies d'Afrique obtiennent la citoyenneté. Elle leur permet d'obtenir le droit d'élire les députés à l'assemblé national. En 1956, les colonies obtiennent une large autonomie. La loi Defferre qui a été encouragé par Félix Houphouët-Boigny (député et ministre sous la quatrième république française puis « père » de l'indépendance de la côte d'ivoire) et par Leopold Sedar Senghar (député de la quatrième république française puis « père » de l'indépendance du Sénégal et son président)

Il sera le défenseur des interêts français dans leur "pré-carré" c'est à dire dans l'ex-AEF, l'ex-AOF et Madagascar.De par un réseau complexe aux ramifications multiples, Foccart va conçevoir un système de relations que le président ivoirien Houphouët-Boigny qualifiera de "Françafrique".La Françafrique se conçut au travers d'accord bilateraux avec les "pays amis" dans le domaine de la politique, de l'économie et dans le domaine militaire.Foccart fut conseiller présidentiel aux affaires africaines

Nantes. Avant d'opter finalement pour les assurances en rentrant à l'Institut des Actuaires de Lyon. En 1960, la Côte d'Ivoire devient indépendante. C'est l'occasion pour lui, marié à une Française, de retourner dans son pays natal. Le président Houphouët-Boigny, l'accusant de comploter contre le peuple, le fait emprisonner. Il échappe à la torture en raison de son mariage, mais se voit privé du droit de travailler. Cette période lui permet de rédiger son premier roman, "Les Soleils des indépendances"

1960, la Côte d'Ivoire devient une république indépendante après avoir été colonie française pendant les 67 premières années de son existence. Son premier président est un médecin de 55 ans devenu planteur de cacao et militant syndical, Félix Houphouët-Boigny. Le «Vieux» Né dans le village de Yamoussoukro (aujourd'hui capitale administrative du pays), en pays baoulé, il est baptisé à l'âge de dix ans. Devenu adulte, il exerce la médecine avant d'hériter en 1940 des grandes plantations de cacao

françaises. Elle élit Félix Houphouët Boigny, président du syndicat des planteurs, comme député à l’Assemblée Nationale. C’est le début d’une longue carrière politique pour cet homme. Il est entouré de nombreux militants actifs pour lutter face aux abus de la colonisation. Il trouve aussi un relai par l’intermédiaire des mouvements syndicaux et les partis politiques français. Puis c’est l’apparition de PDCI, Parti Démocratique de Côte d’Ivoire, dont Félix Houphouët Boigny en est donc le fondateur

INTRODUCTION Félix Houphouët-Boigny connu sur le nom de Dia Houphouët est né le 18 octobre 1905 à N'Gokro précisément à Yamoussoukro et est mort le 7 décembre 1993, surnommé « le sage » ou même « Nanan Boigny » ou « Nannan Houphouët» ou encore « le Vieux » (au sens africain du terme), est le « père » de l’indépendance de la Côte d’Ivoire. Successivement chef traditionnel, il fut médecin, planteur, dirigeant syndical, député ivoirien en France, ministre de gouvernements français, président