UNIX System V

informations mais il est également devenu un marché à part entière pour la vente et l’achat de biens matériels. Les acteurs de ce nouveau marché ont besoin de sécurité sous tous ses aspects, tels que définis par l’ANSSI (Agence Nationale de Sécurité des Systèmes d'Information) « la protection de la confidentialité, de l’intégrité et de la disponibilité de l’information ». Dans ce contexte, de nombreux organismes ont été constitués afin de lutter et de prévenir les risques liés à la sécurité des informations

CONFIDENTIALITE : 0 (aucune) Mise en place de dashboards affichant les statistiques des flux échangés entre les applications internes au CHU et avec les partenaires extérieurs. Interface graphique – Ecriture des requêtes SQL – Intégration au système d‟information – Tests Entreprise : Centre hospitalier Universitaire d‟Angers – Service Informatique – Tuteur de stage : Monsieur Alexandre VIGNEAU SUJET MISSION 3/60 1/67 Stage Technique I - 2 Charles-Édouard BERNAILLE Centre

quelle machine, et sous n’importe quel système d’exploitation a été le premier souci des concepteurs de ce langage. L’objectif était de pouvoir télécharger des applets Java au travers de l’Internet, et de les exécuter dans son propre navigateur, la compatibilité absolue était donc nécessaire. Il est donc possible de compiler un programme Java sur une machine sous Windows, et d’exécuter ce code binaire sur un Macintosh. Voici une liste (non exhaustive !) des systèmes pour lesquels des machines Java existent

sur son système Linux préféré. Dans le présent mini-dossier, nous allons vous démontrer que tout n'est pas perdu lorsque vous vous trouver dans cette situation. Dans certains cas, on peut démarrer dans le compte administrateur (root) sans connaître le mot de passe de root si on a accès au clavier du console. Nous supposerons aussi qu'il n'y a pas de mot de passe requis pour le BIOS ni pour le chargeur de démarrage comme lilo qui empêche de lancer le système. Enfin il faut que le système soit configuré

126 Mod`les en couches e 1 Mod`les en couches e Architecture OSI SDU, PDU et encapsulation Laure Petrucci Technologies de l’Internet 28 janvier 2008 3 / 126 Mod`les en couches e Architecture OSI Le mod`le OSI (Open System Interconnection) e Un mod`le normalis´ e e norme de l’ISO (International Standards Organisation) assurer une compatibilit´ entre entit´s h´t´rog`nes e e ee e Une structuration en couches Chaque couche : assure un rˆle sp´cifique o e dialogue avec

Notre travail a pour objectif de mettre en œuvre un outil Web-Service de taxation et de supervision de la qualité de service (QoS) du trafic de la ToIP, visant à fiabiliser les communications grâce au suivi minutieux de la qualité de service, et un système de notification facilement personnalisable, par le client, pour de meilleurs services de facturation et supervision des lignes. MOTS CLES : Supervision, Taxation, QoS (Qualité de Service), ToIP (Téléphonie sur IP), Cloud Computing. ABSTRACT:

employés pour leurs soutiens tout au long de mon stage. Sommaire : Introduction générale : Chapitre 1 : présentation de la RADEEF I. Présentation général : II. Historique : III. Fiche technique : IV. Les activités de la RADEEF V. Les principaux acteurs de la RADEEF : VI. II. Présentation du la progiciel WAT.ERP Chapitre 2 : Présentation De l’agence Narjiss I. présentation de l’agence II. L’organigramme de l’agence Narjiss III. Présentation du service client et marketing

ressources des hôtes (charge processeur, utilisation des disques, etc.) - Une surveillance de n’importe quel processus (que ce soit sous Linux, Mac OS ou Windows) - Un contrôle des équipements réseau (CPU, ventilateurs, etc...) - Un Système de plugins permettant de développer ces propres vérifications de services. - Des Notifications lorsqu’un hôte ou un service a un problème et lorsqu’il est résolu (par email, sms, ou par méthode définie par l'utilisateur) - La Possibilité

. . . . . . . . . 34 iv IV.1.2.4 Notepad++ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . IV.2 Description des pages du site . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 35 Conclusion Générale 39 Bibliographies 40 V Annexe 41 v Table des figures I.1 Schéma d’une requête HTTP. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 II.1 Historique d’UML. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 III.1 L’intreface de PowerAMC . . . . .

 dans la  requête, un cookie vers le serveur.  Date de début de transfert des données, au format  GMT.  URL du lien à partir duquel la requête a été effectuée.  Chaîne donnant des informations sur le client, comme  le nom et la version du navigateur, du système  d’exploitation.  Accept  Accept­Encoding  Accept­Language  Content­Encoding  Content­Type  Content­Length  Cookie  Date  Referrer  User­Agent  En­têtes de réponse :  En­tête HTTP  Content­Encoding  Description  Type de codage du corps de la réponse