Urbino

est placé en nourrice chez la femme d'un tailleur de pierres. La famille de Michel-Ange était nombreuse: on avait placé ses frères dans le commerce des soieries; lui par faveur fut envoyé à Florence à l'école d'un certain grammairien, Francesco da Urbino. L'enfant pourtant n'avait de goût que pour le dessin, mais, quand il osait dessiner, son père et ses oncles le battaient, ne voyant dans l'art que métier d'artisan indigne d'eux qui ambitionnaient pour Michelangelo une carrière prestigieuse. Cependant

plus célèbre. Léonard de Vinci La Joconde Réalisé entre 1503 et 1506 La cène Fresque réalisée de 1494 à 1498  Raphaël Raphaël, né le 6 avril 1483 à Urbino et mort le 6 avril 1520 à Rome, est un peintre et architecte italien de la Renaissance Il vient à Rome en 1508. A son arrivée, le pape Jules II l'emploie aux décors de son palais du Vatican, où travaille aussi Michel-Ange. Il s'y fait remarquer et admirer

théâtre, il a notamment joué sous la direction de Joël Jouanneau (Ingeborg, montage d’après Botho Strauss), Marcel Maréchal (Amphitryon de Molière), Jean-Pierre Vincent (Karl Marx – Théâtre inédit et Tartuffe de Molière), Romeo Castellucci (CRESCITA XI URBINO), Franck Dimech (Gens de Séoul 1919 d’Oriza Hirata et Pelléas et Mélisande de Maurice Maeterlinck) et Angela Konrad (Macbeth et Richard III de William Shakespeare, Paysage sous surveillance d’Heiner Müller et Müllermachine)… Il a joué sous la direction

fils du peintre Giovanni Santi, peintre et poète officiel de la cour du duc d'Urbino, Frédéric III de Montefeltro, l'un des princes les plus célèbres et protecteur des arts de la Renaissance en Italie et de Màgia di Battista Ciarla. Il naît en 1483 à Urbino qui est alors un foyer artistique réputé à l’aube du xvie siècle. Raphaël a longtemps été considéré comme le plus grand peintre qui n’ait jamais existé, et on le tient toujours pour l'artiste en qui la peinture aura trouvé son expression achevée

E R Sciences du Langage ; 1976 ; n° 2 ; 110 p. { £'eine ad. rFmssrwi^ T vtm ^ 191& ) ~ ALMANSI G. - L'Ironie de~1'ironie. - In " Documents de travail et prepublications". Centro Internazionale di Semiotica e di linguistioa. Univ. di Urbino ; Urbino. 1979 ; n°84~5 ; pp 1.40 AMANTE D.J. - Ironic apeech aots : a styHatic anal.ysis of a rhetorical -play. — These ; univ. of Michigan ; 1975* ( Resume dans " Dissertation Abstracts International, Section A. The Humanities and Social Sciences

modernise, Dr. prat. com. int. 1988, t. 14, n° 4, p. 768. (31) Y. Famchon, La réforme du contentieux des législations des douanes et des changes. Encyclopédie douanière, 1978, p. 35. (32) Crim. 3 juin 1991, D. 1992. Jur. 228, note J. Pannier. (33) F. Urbino-Soulier, L’évolution de la jurisprudence de la chambre crimi- nelle de la Cour de cassation sur l’application des dispositions répressives du code des douanes, Gaz. Pal. 1987. 1. Doctr. 450. (34) Crim. 5 sept. 1989, Dr. pén. 1989, n° 67, note J

Réflexion théorique: traités d’architecture largement diffusés  Rome puis diffusion dans tout le monde occidental 1500 - 1525 Haute Renaissance  Bramante (1444-1514) Peintre et architecte, il se forme à la cour des ducs de Montefeltro à Urbino, puis travaille à Bergame et Milan où il conçoit Santa Maria delle Grazie. Après 1504, il se rend à Rome où il batit le tempietto de San Pietro in Montorio, la cour du belvédère au Vatican. Il travail enfin au chantier de la basilique Saint-Pierre

ville, sa forme concrète. Perspective et ville s’identifient au point de ne plus faire qu’une seule et même entité. Les vues de la ville de Paris que nous présente Le Corbusier sont de fait comparables aux fameuses vues « urbinates » (localisées à Urbino, mais également à Berlin et à Baltimore) : de subtils et raffinés tableaux peints selon une rigoureuse construction perspective et dans laquelle l’œil du spectateur est capté et vite orienté au cœur de ces villes utopiques selon un axialité qui

vert) traditionnel à Florence, gothique comme sur la baptistaire, forme générale rappelle d’autre édifice. III. Donato Bramante (1444-1515) : l’architecture de la renaissance à Rome Il vient de l’Italie du centre, Urbino, 1478 = actif à Milan entant qu’architecte (au sens moderne), pour Ludovic Le More (le commanditaire), il devient l’architecte officiel du Duché de Milan. Seule trace de cette époque est la Gravure Prevedari, 1481, on peut

exemple, Léonard de Vinci assiste à des dissections et calcule avec soin les proportions du corps humain dans ses croquis. Les humanistes bénéficient dès le XVème siècle du soutien des princes italiens qui les protègent et leur versent des pensions. À Urbino, Milan ou Rome, les érudits participent à une vie de cour très active où l'aristocratie s'imprègne de leur culture. Cependant, hors d'Italie, la diffusion de l'humanisme est freinée par les résistances des universités, qui ne veulent pas s'ouvrir