Utopie Divertissement

II. Les effets de l'addiction a) Frontière entre divertissement et dépendance. A consommer avec modération ! Jeux de hasard et autres jeux d'argents, jeux vidéo , les conséquences de la dépendance sont lourdes si l'on ne se contrôle pas. Comme une drogue, le jeu provoque l'addiction en cas d'accoutumance. Loto, Pmu, casino (pour les jeux d'argents et de harsard), World of Warcraft (pour les jeux vidéo), sont des produits qui sont nuisibles à des milliers de joueurs qui tentent leur chance

La littérature est l’ensemble des œuvres orales ou écrites qui visent à une valeur esthétique. Nous verrons, d’une part, que la lecture n’est qu’un divertissement, un moyen de passer un agréable moment et nous verrons, d’autre part, que la lecture est un moyen de se cultiver, d’apprendre, de s’informer, d’enrichir son vocabulaire, de perfectionner sa conjugaison et sa grammaire , de garder la connaissance de ce qui a existé avant nous et enfin de toujours en apprendre davantage sur nous même et

succès. Croyez-vous sincèrement que cela lui enlève de sa valeur ? Au contraire, je trouve que le fait qu’il ait attiré l’attention dès son lancement le rend beaucoup plus attrayant. Il faut dire qu’il a été une réelle révolution dans le monde du divertissement et que l’on ne saurait pas s’en passer de nos jours. C’est donc avec plaisir que je saisis l’opportunité d’échanger toute la bibliothèque cinématographique du monde que vous possédez y compris les « classiques » contre une place pour aller

préface des Pensées, son neveu Etienne Perrier explique le dessein de cette œuvre : faire connaître à l'Homme son « état de misère ». Dans cet extrait du 139e fragment, appartenant à la section "Divertissement" des Pensées, et à la liasse « Misère de l’Homme sans Dieu », Pascal analyse le divertissement dont les hommes ont besoin pour oublier la misère de leur condition. En effet, au lieu de comprendre que notre misère vient du péché originel, et de nous consacrer à notre salut religieux, nous fuyons

récit auquel les adultes devraient s’y intéresser car l’histoire cache des réalités qui nous reflètent. III) En conclusion, la fable nous permet de méditer des Hommes et de la société, tout en essayant de nous divertir. Effectivement, le divertissement qu'elle propose est mis au service d'un enseignement moral, ou, parfois, d'une critique politique, en introduisant une morale à la fin de l’apologue. Grâce à la personnification, on peut critiquer le monde sans prendre de risques, et ajouter

représentation théâtrale. Les règles énoncées par Boileau nous disent qu’un sujet clairement énoncé est apprécié du spectateur qui connait alors les enjeux de la pièce. Il nous dit également que le théâtre est un lieu de divertissement c'est-à-dire qu’il cherche à plaire par la beauté et le dynamisme de la mise en scène. Il peut aussi chercher à faire rire. Le théâtre cherche à toucher, à émouvoir le spectateur. Pierre corneille fait partit de ces dramaturges appliquant à

les livres pour apprendre de nouvelles histoires et du nouveau vocabulaire ou les voyages qui nous apprennent de nouvelles coutumes et de nouvelles traditions culturelles sur d'autres pays. Le petit écran apporte donc à certain un grand divertissement, une meilleure estime du monde extérieur et un meilleur apprentissage grâce aux émissions éducatives. N'oublions pas non plus qu'elle abrutit les individus avec ses émissions de télé-réalité, que l'on perd son temps devant l'écran alors que l'on

besoin de se déplacer constamment pour voir un nouveau film. C'est le fameux "cinéma en pantoufles". Voir Rambo chez soi est pour certains le comble du confort. * Ensuite, on peut ajouter que le petit écran nous offre un passe-temps agréable, un divertissement, voire une détente après une longue journée de stress. Le téléspectateur doit fournir moins d'effort qu'à la lecture d'un livre par exemple. Suivre "Les Misérables" sur le petit écran fatigue moins les méninges que de se "taper" les 1500 pages

jardins» tiré du recueil du même nom, Le Songe de Vaux en 1671. Par ailleurs La Fontaine parvient parfaitement à poétiser ce lieu totalement banal. Il serait donc intéressant de voir la poétique de ce poème, puis de voir comment il arrive à lier divertissement et dénonciation de la société de son époque. Tout d'abord, on peut voir que Jean de La Fontaine va employer une anaphore caractérisé par le pronom personnel «il» aux vers 2,3 et 4 où il vient insister et insinuer un locuteur masculin

détendre, ou s’instruire, ou se cultiver, ou se désennuyer, mais pas un lieu où l’on va voir la vie réelle, on est bien obligé de se poser la question de cette manière : il faut trouver ce qui peut être purement récréatif, ou occasion de divertissement sans importance intellectuelle profonde, et ce qui peut nous faire penser, nous faire prendre des décisions, nous faire remettre en question nos opinions. c) On essaiera donc d’analyser d’abord dans quelles conditions la représentation du