Utopie Et Utilité

de plaire au lecteurs. C’est la théorie de l’art pour l’art. C’est l’art seul qui prédomine. Charles Baudelaire nous le montre dan l’art romantique. En effet il explique que le but de la poésie n’est pas de délivrer un message ni même d’avoir une utilité quelquonque pour le lecteur « la poésie n’a pas d’autre but qu’elle-même ». Pour Baudelaire le plus grand des poèmes « aura été écrit uniquement pour le plaisir d’écrire un poème. C La poésie est également un bon moyen d’instruire le lecteur. En

l'interstice de leurs mots, dans l'épaisseur de leurs récits, ou encore dans le lieu sans lieu de leurs rêves, dans le vide de leurs cœurs ; bref, c'est la douceur des utopies. Pourtant je crois qu'il y a - et ceci dans toute société - des utopies qui ont un lieu précis et réel, un lieu qu'on peut situer sur une carte ; des utopies qui ont un temps déterminé, un temps qu'on peut fixer et mesurer selon le calendrier de tous les jours. Il est bien probable que chaque groupe humain, quel qu'il soit

beaucoup d’expressions qui soulignent que le poète est l’homme de l’avenir. En effet le poète « vient préparer des jours meilleurs » (v.l.2) car il a une mission sociale et donc il veut donner un espoir au son peuple. En outre le poète est ‘l’homme des utopies’ (v.l.3), c’est-à-dire l’homme des idéaux. Il est aussi « sur toutes les têtes » (v. l. 5) parce qu’il est supérieur aux autres et il est comme un prophète, parce qu’il annonce la volonté de Dieu et il parle a Sa place. Il est fort et tout puissant

d’encenser le légitime et de condamner l’illégitime, les valeurs attachées au sport constituent une échelle de mesure permettant de jauger son utilité sans toutefois faire preuve de clairvoyance au regard d’une réalité bien plus complexe. La constance de l’attachement de l’association du sport avec un ensemble de vertus participe à l’élaboration d’une utopie se voulant collective. Celle-ci repose sur la croyance d’un sport tout à la fois isolé des influences du milieu dans lequel il se déroule, et

des barrières douanières pour survivre et rester vigoureuses. Elles doivent vivre à l’air libre, être exposées aux comparaisons constantes avec d’autres cultures qui les renouvellent et les enrichissent [...].» La mondialisation n’est pas une utopie La mondialisation est un phénomène naturel car la liberté est naturelle, car c’est son empêchement qui repose sur des politiques utopiques (protectionnisme, nationalisme...). Mais tout phénomène reposant sur une multitude d’acteurs

pensant et en tout cas univoque, là où sa capacité de rupture, si ce n’est de provocation, doit être préservée. Chercher à la littérature un bon usage politique, c’est peut-être aussi donner dans le piège consistant à vouloir à toute force trouver une utilité à la création littéraire pour la sauver de l’accusation d’élitisme oisif et solipsiste qui est, implicitement ou non, véhiculée par le discours politique contemporain. [piste choisie] Mais congédier la question sous prétexte qu’elle est gênante n’est

de l’Etat, et son utilité ; dangereux, il ne servirait à rien, et pourrait aisément se substituer à une fédération d’associations de travailleurs regroupés librement. Etienne Cabet (1788-1856) et ses disciples partent pour l'Amérique construire l'Icarie égalitaire E. Cabet, comme les socialistes précédents, veut réorganiser la société industrielle selon une conception plus solidaire, par l’abolition de la propriété privée, et l’interdiction du profit. Il invente une utopie à travers le pays Icarie

Utopie Un bouleversement de la société Mais à partir du moment où, au milieu des années 1990, Internet s’ouvre au grand public, les choses ne pouvaient rester en l’état. Avec l’arrivée du world wide web, l’anonymat succède à la communauté des pairs, et le réseau ouvre ses portes au commerce. L’utopie des pionniers n’a cependant pas complètement disparu pour autant. Le discours public qui se développe pour encourager à la pratique d’Internet perpétue le mythe de la communauté à travers l’image

d’être amené à décoder les idées que l’écrivain veut faire passer. Celui-là est donc plus attentif à la lecture. La fiction permet à l’auteur de se laisser aller, de pouvoir de dire tout ce qu’il pense sans contrainte, mais cela n’est pas sa seul utilité. La fiction permet également de rendre l’utile à l’agréable. L’utile est bien entendu de faire passer un message mais l’agréable peut être plusieurs procédés. La fiction peut rendre le message plus divertissant, en utilisant des scènes comiques

littéraire romantique. Il s’oppose aux partisans de l’art utilitaire, mise au service du progrès social et politique. Doctrine « l’art pour l’art » : (formule début 19S) : l’art n’a d’autre but que lui-même et tout assujettissement de l’art à une utilité extérieure est une négation même de l’art. 3- Autour du Bahaus : l’art et son rôle social dans l’entre-deux-guerres Walter Gropius (1883 – 1969) et le Bahaus : surmonter la séparation des Beaux-arts et des arts utilesCentralité de l’architecture :