Vague scélérate

Une invitation au voyage à travers les sens : - mouvement perpétuel « se dérouler, guidé, circule » - Synesthésie, correspondance entre les 5 sens présent : vue => « je vois, œil, éblouissent » : ouïe => « chant, vague marine » : odorat => « je respire, odeur, parfum » :goût => « fruits savoureux » Le toucher est présent de manière implicite car dans un rêve, rien n’est matériel donc saisissable. L’odorat est prédominant : le

Sujet d'invention : Vous croisez la personne que vous avez aimée dans votre jeunesse et pour laquelle vous conservez une vive affection. Vous percevez, sous ses traits vieillissants, sa beauté d'autrefois. À la manière du narrateur du Temps retrouvé, vous imaginerez le portrait que vous pourriez en faire. " Je le revis lors d'une de ces soirées de retrouvailles. Ce genre de réunion organisée par la faculté pour découvrir ce que nos anciens camarades étaient devenus et où la fausseté était

explicites) et en les réléguant tout simplement au statut de “commentaire permanent,” il nous semble qu’elle minimise a priori leur possible portée éthique dans la structure du roman. Après l’épisode de la Vaubyessard Paris miroite aux yeux d’Emma “plus vague que l’Océan” (60). Malgré tous ses efforts les jours se répètent de façon très monotone. C’est à cette jointure du roman que le narrateur exprime métaphoriquement un aspect essentiel du caractère et de la vie de l’héroïne: Au fond de son âme, cependant

indique à la fois le surgissement d’une vague et le liquide amniotique enrobant le nouveau-né. C’est le navigateur James Cook qui a découvert le surf au XVIIIe siècle, en Polynésie. Depuis son expansion dans les années 1960, ce sport n’a cessé de démontrer qu’il était bien plus qu’une discipline physique. Plutôt une discipline de vie, aussi exigeante qu’exaltante. Voici ses sept grands principes, qui peuvent nous inspirer au quotidien. Accepter les creux de la vague Les images spectaculaires de surfeurs

26Dec2004.png/220px-Tsunami_size_scale_26Dec2004.png Avant ce tsunami, on ne connaissait même pas le terme ''tsunami'', c'est à partir de là que c'est devenu connu, ce qui a agrandi cette cata encore + aux yeux des gens. C'était une première. La vague est arrivée à 800-1000 km/h (vitesse d'un avion). Plusieurs vagues, espacées de qq. secondes/minutes. L'essentiel du ressenti du tsunami a été à 2'000 km autour de l'épicentre. + de 30 mètres de hauteur à certains endroits (à verifier) 5. ce phénomène

 Commentaire page 106 Victor Hugo est un grand écrivain et dramaturge du XIXº siècle, il a écrit plusieurs oeuvres mais nous allons traité “Les travailleurs de la mer” dans ce commentaire. Dans ce texte, le héros Gilliat va rechercher un navire “ La Durande” qui s'est brisé sur un écueil appelé les Douvres. Nous nous demanderons comment la tempête prend elle de l'importance mais moindre que le personnage. Dans un premier temps, nous analyserons comment le personnage découvre le désastre

vue (« verts tamariniers »), odorat (« odeur »), ouïe, (« chants des mariniers ») toucher (ballottement de la « vague marine ») C. La rêverie comme source d’inspiration poétique Inspiration à double sens : poétique et vitale « m’enfle la narine » = inspiration – poétique (muse) et vitale (souffle) // « voile » : évocation de la voile, gonflée par le vent Thématique de l’ivresse : « vague marine » (sensation d’ivresse, ballottement, ressac, bercement de la houle), « m’enfle la narine » (enfler = évoque

prise d'assaut. D'autres flots tentent de le suivre, d'autres flots entrent après lui. Les nautoniers frémissent : le tumulte est pareil au tumulte d'une ville assiégée en dehors, attaquée en dedans. L'art est impuissant le courage succombe, et chaque vague qui s'avance, s'élève, et tombe, offre la mort aux pâles matelots. L'un s'abandonne aux larmes; l'autre est immobile et glacé d'effroi. Celui-ci nomme heureux ceux que la sépulture attend après le trépas. Celui-là, invoquant les dieux, lève ses bras

…Puis, d’un seul coup d’œil, la ville apparaissait. Descendant tout en amphithéâtre et noyée dans le brouillard, elle s’élargissait au-delà des ponts, confusément. La pleine campagne remontait ensuite d’un mouvement monotone, jusqu’à toucher au loin la base indécise du ciel pâle. Ainsi vu d’en haut, le paysage tout entier avait l’air immobile comme une peinture ; les navires à l’ancre se tassaient dans un coin ; le fleuve arrondissait sa courbe au pied des collines vertes, et les îles, de forme

espoir ne l’avait pas abandonné. Les pressentiments qui avaient agité Harbert n’avaient pas cessé de l’agiter aussi. Sa pensée était concentrée sur Nab. Pourquoi Nab n’était-il pas revenu ? Il se retournait sur sa couche de sable, donnant à peine une vague attention à cette lutte des éléments. Parfois, ses yeux, appesantis par la fatigue, se fermaient un instant, mais quelque rapide pensée les rouvrait presque aussitôt. Cependant, la nuit s’avançait, et il pouvait être deux heures du matin, quand