Commentaire page 106
Victor Hugo est un grand écrivain et dramaturge du XIXº siècle, il a écrit plusieurs oeuvres mais nous allons traité “Les travailleurs de la mer” dans ce commentaire. Dans ce texte, le héros Gilliat va rechercher un navire “ La Durande” qui s'est brisé sur un écueil appelé les Douvres. Nous nous demanderons comment la tempête prend elle de l'importance mais moindre que le personnage. Dans un premier temps, nous analyserons comment le personnage découvre le désastre et dans un deuxième temps, nous montrerons la dimension grandiose du paysage.
Tout d'abord nous allons montrer que le personnage principal découvre le désastre à travers le constat de degats et comment il est impuissant face à cette tempête. Nous pouvons observer depuis que le personnage “sauta pieds nus sur le goémon” (l.1), il y a une présence de degats qui montre l'importance de la tempête. De plus il y a une description minicieuse de la position du bateau à la ligne 5-6 qui montre aussi la dévastation du lieu, “La Durande était saisie, suspendue et comme ajustée entre les deux roches à vingt pieds environ au-dessus du flot.” Le parallelisme à la ligne 10, “Le tourbillon de vent l'avait tordu, le tourbillon de mer l'avait retenu” ceci montre la destruction massive et la détérioration de la “Durande. Aussi, à la ligne 12 nous pouvons observer une comparaison “ s'était cassé comme une latte”,qui nous montre comme ce bateau ce brise.
Finalement, nous pouvons voir que Gilliatt est quelqu'un qui montre une impuissance, nous pouvons voir ceci lors de l'apparition du bâteau, il “leva les yeux et la considéra” (l.4). De plus, le fait d'avoir la Durande à 20 mètres au-dessus de soi même, nous montre comment le personnage se montre impuissant face à cet objet. Et un dernier élément qui nous révele l' impuissance du héros est lui face à la nature, comment nous le pouvons remarquer à la ligne 7, “violence de la mer”.
Maintenant, nous allons voir la puissance de la