Val-de-Travers

et source des illustrations 22 Introduction Ce travail consistera en une étude d’une œuvre peinte de Constantin Meunier qui s’intitule le creuset brisé (1884) (fig.1.). Œuvre réaliste représentant une dizaine d’ouvriers dans une verrerie du Val-Saint-Lambert remplaçant un creuset en terre cuite contenant du verre en fusion et placé dans un four, à l’aide d’un chariot en fer. Les raisons pour lesquelles j’ai choisi cette œuvre sont multiples. Tout d’abord, Constantin Meunier est un artiste

16/12/09 SOMMAIRE : I/ Les poèmes romantique 1 - « Ce que c'est la mort » de Victor Hugo 2 - « Demain, dès l'aube... »  de Victor Hugo II/ Les poèmes symboliste 1- « La Mort des amants » de Charles BAUDELAIRE 2- « Le dormeur du val » d’Arthur RINBAUD III/ Les poèmes surréaliste 1- « Notre vie »  de Paul ELUARD 2- « La mort des pauvres » de Charles BAUDELAIRE Thème engagé : la mort III/ Les poèmes surréaliste Notre vie Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie

procédés langagiers à leur interprétation. Étudier l'implicite à travers l'argumentation. Acquérir de l’autonomie dans la lecture analytique. Acquérir de l’autonomie dans la prise de notes. LECTURE DE TEXTES POÉTIQUES : « Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? » dans Contemplations de Victor Hugo « Le Chant des Partisans » de Druon et Kessel « Motivés » de Zebda « Liberté » de Paul Éluard « Le Dormeur du val », dans Poésies d’Arthur Rimbaud « Barbara » et « Le discours sur

au cours de mes dernières années de lycée que mon goût pour le bâtiment s’est prononcé, puis confirmé lors d’une visite du chantier de la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale (DGGN), dont les travaux ont été confiés à EIFFAGE CONSTRUCTION VAL DE SEINE. J’aimerais superviser la construction d’un bâtiment tout en assumant les contraintes de temps ainsi que les imprévus auxquels un chantier est sujet. L’apprentissage étant pour moi le moyen de formation le plus riche, alliant théorie et

rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais les élastiquesDe mes souliers blessés, un pied près de mon cœur !  Octobre 1870. Le Dormeur du Val C'est un trou de verdure où chante une rivièreAccrochant follement aux herbes des haillonsD'argent; où le soleil, de la montagne fière,Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans

CLIENT ET VENTE CONSEIL (E41)COMPTE-RENDU D’ACTIVITECompte rendu d’activité n°Titre de l’activité : CANDIDAT(E)UNITÉ COMMERCIALENOM : DjirePRÉNOM(S) : AmadouRAISON SOCIALE : Restauration Rapide ADRESSE : Centre Commercial Val D'Europe Porte de la Volga à côté de La Grande Récrée Niveau 0, 77700 Serris COMPETENCES CLES MOBILISEES COMPETENCES (À renseigner)Assurer la veille informationnelleRéaliser

|Didactique, ironie |Critiquer implicitement la cour grâce | |le renard",1668 | | |travers deux animaux | |à des animaux personnifiés. Exposer | | | | | | |une morale à travers ce poème. | |Hugo, "Mélancholia", 1838 |Poésie |Argumentatif, descriptif|Critique du travail |Pathétique, réaliste

tel que dans les romans de Zola, de Victor Hugo ou Balzac. Nous pouvons penser aux Misérables de Victor Hugo, l'auteur met en évidence par une technique littéraire, effet de précision, de rapidité et de densité. Des faits ; l'injustice sociale. Jean Val jean, un protagoniste de ce livre ; vit dans une extrême pauvreté. Il est aussi contraint de voler un pain afin de nourrir les personnes qu'il aime. Pour cet acte ; il est condamné à de nombreuses années de bagne, d'enfermement, de souffrances et de

j'aimerais mieux inviter les corbeaux A saigner tous les bouts de ma carcasse immonde. - O vers! noirs compagnons sans oreille et sans yeux, Voyez venir à vous un mort libre et joyeux ; Philosophes viveurs, fils de la pourriture, A travers ma ruine allez donc sans remords, Et dites-moi s'il est encor quelque torture Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts ? Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal Je n'ai plus que les os Je n’ai plus que les os, un squelette je

ANTHOLOGIE POÉTIQUE Charles Baudelaire « L'ennemi » Paul Eluard « Un oiseau s'envole » Victor Hugo « Crépuscule » Alfred de Musset « Nuit de décembre » Jacques Prévert « Les feuilles mortes » Arthur Rimbaud « Le dormeur du Val » Charles Baudelaire « L'ennemi », XIXè siècle Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des