Val-Suzon

d’étude de géographe. En effet, le pluralisme religieux est devenu une donnée de base de la banlieue parisienne. En une centaine d’années, on est passé de quatre à soixante-neuf implantations cultuelles dans le cadre de la communauté d’agglomération « Val de France » qui regroupe Sarcelles,Villiers-le-Bel, Garge-lès-Gonesse et Amouville. Avec le temps, chaque lieu de culte tend à devenir non seulement un espace de ressourcement communautaire, mais aussi un centre de vie sociale et culturelle. Les questions

sons sonnet : forme fixe très utilisée, deux quatrains et deux tercets, vient du poète Pétrarque, italien, le plus souvent penché sur le lyrisme amoureux souvent un dernier vers qui constitue une chute poème très célèbre avec une chute : le dormeur du val parallélismes de construction : elle changeait en désert Babylone, l'or en cendre, les roses en cendres... toute puissance de la mort : image de la fée

Introduction : arthur rimbaud, né en 1864 et mort en 1891, écrit le dormeur du val lors de sa fugue. Agé de 16ans à cette époque, arthur rimbaud rejoint paris sous l'invitation de verlaine. Blessé par ce dernier lors d'une dispute suite a la rupture des deux amants, rimbaud ecrit une saison en enfer puis il renonce a sa carriere d'ecrivain pour parcourir le monde. Ce poete du XIXeme siecle n'utilise aucun mouvement précis. Pourtant, dans ce poeme, extrait d'un reueil intitulé ''poesie'' ecrit

Arthur Rimbaud « Le Dormeur du val » dans Poésies 1870 Le jeune poète Arthur Rimbaud (1854-1891), brillant élève et auteur précoce, est surpris par la guerre franco-allemande de 1870. Il part sur les chemins et contemple une vallée étroite sur laquelle il crée un poème. Le Dormeur du val C’est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons1 D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. 5 Un soldat

Socrier donne la victoire au Paris FC 21:54 FOOT, LIGUE 2: Créteil tourne au ralenti 21:11 Val-de-Marne : ado mortellement fauchée, un homme et son frère interpellés (94) 20:14 Boulogne-Billancourt (92) : Grève et manif au Carrefour Market (92) 20:12 Clichy (92) : Les mineurs cambrioleurs arrêtés (92) 20:00 Garges : à 12 ans, ils agressent une passante (95) 19:20 Les médecins du Val-d’Oise dénoncent les contrôles de la Sécu (95) 18:40 Deux jeunes habitants d’Etampes tués dans

larmes blanches, bouillantes, - ô douceurs ! - et la voix féminine arrivée au fond des volcans et des grottes arctiques... Le pavillon... Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue

1854 et mort à Marseille en 1891 (37 ans). Il écrit ses premiers poèmes à 15 ans et ses derniers à 20 ans. Il renonce à l’écriture pour se consacrer à une vie aventureuse qui l’amènera à devenir négociant et explorateur.      Le poème Le dormeur du val est extrait du recueil Poésies écrit en 1870 à l’âge de 16 ans lors d’une fugue quand il traverse des zones dévastées par la guerre Franco-Prussienne en 1870.       Après avoir montré comment le poète nous dépeint la nature puis l'homme, nous

- La dénonciation d'un pouvoir qui exploite les plus faibles ( car les soldats, souvent pauvres, sont manipulés par les hommes politiques durant cette guerre ) Nous pouvons assimiler cette oeuvres au poème "Le dormeur du Val", qui a été également écrit par Arthur Rimbaud. Ce poème parle d'un soldat et surtout de la Nature, qui est encore idéaliser par ce poète.

Le dormeur du val (1870) Arthur Rimbaud C’est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D’argent, où le soleil, de la montagne fière, Luit; c’est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l’herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade

dans le cœur du poète, dans son refus d'une nature habituellement appréciée et aimée, Léopoldine échappe au temps, comme les deux symboles d'immortalité qui ornent à tout jamais sa tombe. Ce texte (comme L'Albatros de Baudelaire, ou Le Dormeur du val de Rimbaud) présente l'originalité de pouvoir être lu différemment en fonction de son épilogue ou des connaissances que l'on a des motivations qui lui ont donné naissance. Supprimer les dix-huit derniers pieds permet de le lire comme un poème d'amour