Valet de cœur

l’identité de l’autre : c’est son maître(« Patron »). La relat° maitre-valet est posée avec une évidence abrupte.  La suite déploiera cette identité sociale, reliée à des types  : ces 2 persos singuliers incarnent des types doubles. Des types de comédie et des types sociaux : le petit-maître (noble libertin et léger) et le valet (de comédie), et des types de relat°.  2 attitudes apparaissent : · Iphicrate

réitérés, tant de transports enfin et tant d'emportements qu'il a fait paroître, jusqu'à forcer, dans sa passion, l'obstacle sacré d'un couvent, pour mettre Done Elvire en sa puissance, je ne comprends pas, dis−je, comme, après tout cela, il auroit le coeur de pouvoir manquer à sa parole. Sganarelle Je n'ai pas grande peine à le comprendre, moi ; et si tu connoissois le pèlerin, tu trouverois la chose assez facile pour lui. Je ne dis pas qu'il ait changé de sentiments pour Done Elvire, je n'en ai

Il s’agit d’un éloge du tabac assez surprenant qui peut s’expliquer par le fait que Molière était opposé à l’interdiction du tabac par l’Eglise au 17ième siècle. Puis Sganarelle, le valet de Dom Juan, s’entretient avec Gusman, l’écuyer de Done Elvire. On apprend que Done Elvire, après avoir été enlevée d’un couvent et épousée par Dom Juan, vient d’être abandonnée par lui. Gusman interroge Sganarelle : que s’est-il passé ? Pourquoi cette fuite ? Sganarelle fait alors de portrait de Dom Juan

le succès a suivi mon attente ; Et, grande, je l'ai vue à tel point innocente, Que j'ai béni le ciel d'avoir trouvé mon fait, Pour me faire une femme au gré de mon souhait". Agnès est maintenant enfermée dans une maison où elle est gardée par un valet et une servante , un peu simples, Alain et Georgette. De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte. Arnolphe encourage Horace à se distraire, notamment en cherchant

escalier, rue de la Vieille Lanterne, près du Châtelet. Sommaire * Nobles et valets * Le réveil en voiture * Le relais * Une allée du Luxembourg * Notre-Dame de Paris * Le coucher du soleil * Avril * Fantaisie * La grand-mère * La Cousine * Pensée de Byron * Les Papillons * Le point noir * Ni bonjour Ni bonsoir * Les Cydalises Nobles et valets Ces nobles d’autrefois dont parlent les romans,

intro : Un valet , Sosie , doit annoncer à la femme de son maitre que celui-ci a gagné la bataille. Il est tout seul pour le moment et il en profite pour répéter son texte en sse parlant a lui même, c'est un extrait de la pièce de Molière , dramaturge français du XVIIe siècle , Amphitryon, l'acte I scène I , pour le moment il n'y a qu'un seul personnage sur scène , c'est un monologue mais Sosie imagine déjà les repliques d'Alcmène. Il construit son texte avec beaucoup de métaphores et d'autres procédés

 LISETTE  ERGASTE  ISABELLE  LÉONOR  VALÈRE SŒURS ORPHELINES AMANT D’ISABELLE VALET  UN COMMISSAIRE  UN NOTAIRE ÉGASTRE LE VALET : Il n’est pas vraiment comique mais entretient avec son maître une relation très complice. Dans les supercheries de Valère avec Isabelle il joue un rôle crutial, il aide à maintes reprises son maître à trouver des solutions pour obtenir le cœur de sa belle, et l’encourrage à être inventif pour que ses sentiments lui parviennent. Sganarelle

Géronte : père de Léandre Octave : amant de Hyacinte Léandre : amant de Zerbinette Scapin et Silvestre : valets Avis personnel : histoire recherché, drôle, pas beaucoup de suspense mais relativement simple à comprendre (en général). 1. Résumé En l'absence de leurs pères partis en voyage, Octave, fils d'Argante et Léandre, fils de Géronte, se

promettant à chacune le mariage. Après la rencontre d'un mendiant dont il tente en vain d'acheter la conscience en le faisant blasphémer, il sauve la vie de Dom Carlos, frère d'Elvire, qui renonce à venger l'honneur de sa sœur. Toujours flanqué de son valet Sganarelle, il défie la mémoire du Commandeur, qu'il a lui-même tué, en invitant sa statue à dîner. Les visiteurs qu'il recevra ensuite, son père, son épouse, un mystérieux spectre, essaieront en vain de le convertir au bien. Son châtiment est inéluctable…

vivacité, du dynamisme mais que serait un dialogue sans action, sans scène et sans décor propre à retranscrire le combat, le conflit. La lumière s’éteint, le public se tait, les rideaux s’ouvrent, la pièce commence. Un maître court derrière son valet, on plaisante, on rit, on est détendu. Mais qu’est ce qui permet une telle évasion ? Et bien c’est l’illusion. En effet, le spectateur admet que la scène présente comme réel un lieu en fait factice et que 200 mètres carrés équivalent à un palais ou