Valeur Et Répartition Chez Les Néoclassique

fonction de consommation. 2. La fonction d’épargne. 3. La fonction d’investissement. 4. La demande de monnaie. II. Les modèles macroéconomiques : 1. Le modèle macro-classique. 2. Le modèle IS-LM. 3. Le modèle keynésien général ou la synthèse néoclassique. Bibliographie introductive 1- Ando, A. et F. Modigliani, “The Life-Cycle Hypothesis of Saving: Aggregate Implications and Tests”, American Economic Review 53; p.55-84, 1963 2- Blanchard O., Macroeconomics, London etc.. 1997; 2nd ed. 2000 3-

résulte moins de leur faible participation aux activités de production que d’une myopie des théories néoclassiques. Ces théories construites dans un contexte par une réalité sociale et économique différentes orientent nos politiques de développement ainsi que les méthodes d’investigation qui les servent. A travers la définition de ces différents agrégats ou catégories, les théories néoclassiques constituent un mécanisme de marginalisation des femmes. En effet, la distinction entre « agents économiques »

pour but d’expliquer comment les hommes organisent leurs efforts pour mettre en valeur les ressources destinées à la satisfaction de leurs besoins. - Ces ressources se composent: d’une part de dons gratuits de la Nature : terre, forêt matière première. d’une part des outils inventés par l’homme pour l’aider dans la production. Les économistes appellent ce capital ressource et le (travail) W qui permettent sa mise en valeurs sont appelés : «facteurs de productions» - Les produits sont divisés en biens

perçu comme un pourvoyeur d'emplois, rarement comme fournisseur de services et encore moins comme un agent ou un catalyseur de développement. Des richesses considérables se gaspillent ou sont exploitées par des moyens rudimentaires qui diminuent la valeur ajoutée créée. Les banques ne cessent de se multiplier alors qu'un très faible pourcentage des crédits est octroyé aux investissements productifs (faiblesses de la production et de l’emploi). Les ressources humaines, quel que soit leur degré de qualification

recherche du profit mais soumise à la loi du marché, lieu où s’affrontent les intentions d’une multiplicité de décideurs. Pour assurer les trois fonctions économiques fondamentales répertoriées par Musgrave, soit l’allocation des ressources rares, la répartition du revenu et la régulation du système, on s’en remet essentiellement à la concurrence qui émerge de la confrontation permanente entre les offreurs d’une part, entre les demandeurs de l’autre, sur chaque marché (des biens, du travail et des capitaux)

Les problèmes économiques fondamentaux * Le problème de l’allocation des ressources (cad déterminer l’emploi de celles-ci en fonction de plusieurs productions possibles) * La répartition des ressources (cad déterminer les agents éco qui recevront les fruits de la croissance et comment se fait la répartition) L’objet des sciences économiques est de tenter de diminuer l’écart qui peut exister entre nos besoins illimités et les biens économiques qui sont le résultat du travail de l’homme et

capitalisme, rationalité (sociologue moderne) Contre Marx Éthique protestante favorise le développement capitalisme - l'ascétisme : un mode vie fait de sacrifices dans un but de perfection morale et spirituelle. - chez Luther, le travail est un objet moral : seul moyen de vivre de façon agréable à dieu. - pays ou Weber observe la naissance de l'esprit du capitalisme : En Europe occidentale, surtout en France, Allemagne, Angleterre. - rôle de la religion dans le

forme doit prendre l’intervention de l’Etat ? Quand est ce qu’elle commence et finit ? Chapitre 1 : les justifications économiques et sociales de l’intervention étatique Prémices chez Adam Smith ; le concept de défaillance de marché. Théoriser par les néoclassiques, que l’on retrouve déjà dans son concept chez Adam Smith. L’action de l’état n’est acceptable que parce que le marché n’arrive pas a fournir le maximum, ou ne convient pas. Les défaillances de marché sont de 3 types : biens publics

firme. Comment la conçoit-on ? → Si l'on prend les points de vue théoriques : => Chez Marx, c'est le lieu de production de la plus-value (analyse mécanique) => Chez Keynes, la firme n'existe pas, elle n'apparaît pas. A la place, il y a l'entrepreneur qui a plein d'idées, qui est plein de vie, on s'intéresse à son tempérament. On étudie le comportement sanguin de l'entrepreneur. Il fait un pari sur l'avenir. Chez le keynésien, l'activité est exogène. Si je suis optimiste, je crée car je pense que

richesse nationale grâce notanmient à une extension des activités économiques et une réforme de la fiscalité. C’est ce que suggère le maître des mercantilistes le maréchal VAUBAN (S. de) dans son oeuvre ‘La dîme royale”’, en rejetant l’impôt de répartition au profit ç d’un impôt de quotité comme une garantie pour le contribuable et, par-là, même pour l’Etat. Cette perception de la fiscalité débouche sur des considérations économiques importantes : Les personnes démunies de ressources ne consomment