Valeur nominale et valeur réelle

L’analyse macroéconomique vise à comprendre les déterminants de la performance du système économique d’un pays (son niveau d’activité économique). ƒ La performance d’un système macro-économique dépendra du niveau d’activité sur une année, i.e. de la valeur des flux ayant circulé dans le système. 1 6. Introduction à la macro-économie Diagramme des flux circulaires : Marché des produits Boucle intérieure – circulation des biens et services Entreprises Ménages Boucle extérieure – circulation de la

t n'est pas expliquée par le modèle. C'est une variable exogène (ou variable explicative/indépendante). On peut lui donner n'imp quelle valeur arbitrairement. 3. L'utilité des modèles Le macroéco doit confronter sa théorie et son modèle aux faits réels. Un modèle constitue une simplification de la réalité => on constate donc une différence entre les valeurs calculées et celles observées car : Le macroéco travaille sur des données fortement agrégées (erreur de mesure). Certaines variables ne

TMM : Taux d’intérêt réel : En économie, le taux d'intérêt réel est le taux d'intérêt nominal corrigé du taux d'inflation (voir Valeur nominale et valeur réelle). L'équation de Fisher donne l'approximation suivante[1] : [pic]avec r le taux d'intérêt réel, i le taux d'intérêt nominal, et π le taux d'inflation d'où se déduit [pic] Taux d’interet nominal : Le taux d'intérêt nominal est le taux d’intérêt qui est défini à la création d’un emprunt (pour l’emprunteur) ou d'un prêt (pour le créancier) ;

le produit intérieur brut : • Première façon: Le PIB c’est la valeur des biens et services finaux (ceux qui sont consommés pour une utilisation définitive et non une consommation intermédiaire) produits dans l’économie dans une période donnée (une année). On somme les produits et services finaux d’une entreprise. • Deuxième façon: c’est la somme des valeurs ajoutées crées au cours d’une période donnée dans une économie. La valeur ajoutée est la différence entre ce que l’entreprise dépense entre

PIB est la valeur au marché ... de tous les biens et services ... finaux ... produits ... dans une économie ... au cours d’une période donnée. Les transactions exclues du PIB Les transactions qui se font en dehors du marché n’entrent pas dans le calcul du PIB : • Le bénévolat; • Le travail domestique; • L’économie souterraine; • Le crime organisé. Crises économiques • Selon la définition standard, on parle de récession lorsque l’activité économique, mesurée par le PIB réel, ralentit pour

.................................................4 1.1 Le calcul de la valeur actuelle et de la valeur future.....................................................4 1.2 La valeur actuelle nette.................................................................................................4 1.3 Risque et valeur actuelle...............................................................................................4 1.4 Valeurs actuelles et taux de rentabilité.......................................

o i le taux d’emprunt correspondant à une période ; o n le nombre de périodes ; alors les intérêts simples acquis au terme des n périodes s’expriment par la relation : et les intérêts composés par la relation : où est la valeur acquise par le capital au terme des n périodes, soit Remarque En général les taux d’intérêts sont annuels. Lorsque la durée des opérations inclut des fractions d’année, il faut déterminer le taux d’intérêt correspondant appelé taux équivalent

Document préparé par François RICARD Expert-comptable Commissaire aux comptes Session 2011 SOMMAIRE Cas n° 1 : Valeur d’apport 3 Cas n° 2 : Parité d’échange 5 Cas n° 3 : Sens de l’opération et valeur des apports 6 Cas n° 4 : Date de réalisation et date d’effet 7 Cas n° 5 : Régime fiscal 10 Cas n° 6 : Comptabilisation des fusions dans le régime de droit commun 11 Cas n° 7 : Comptabilisation

le commerçant qui mobilise sa créance. Soient : C la valeur nominale ou le montant inscrit sur l’effet de commerce. V le montant reçu ou empoché par le commerçant qui mobilise sa créance. E l’escompte ou l’intérêt retenu par le banquier. La formule de calcul est : V=C-E NB : Il existe deux méthodes de calcul de l’escompte La 1ère aboutit à l’escompte commercial ou encore l’escompte en dehors. Cette méthode prend en compte la valeur nominale C La 2ème aboutit à l’escompte rationnel ou l’escompte

est d’établir un bilan de fusion, soit l’addition des bilans des sociétés impliquées. Pour ce faire, il faut suivre les étapes suivantes : - Bilan final : Ce bilan permet de déterminer la valeur de l’actif net des sociétés. Il s’agit en fait d’évaluer la valeur réelle des actions. Cette valeur dépendra essentiellement des réserves latentes constituées par les sociétés, de la rentabilité et des résultats prévisionnels durablement réalisables. Lors du transfert, on évitera de dissoudre les