Valeur nominale et valeur réelle

l’offre et de la demande de travail évitant ainsi l’apparition du chômage involontaire : - la demande de travail est telle qu’elle égalise le taux de salaire réel et la productivité marginale du travail - l’offre de travail est telle qu’elle permet aux travailleurs d’égaliser la désutilité marginale du travail au taux de salaire réel. Keynes entreprend de démonter cette analyse [2] en refusant le second postulat (alors qu’il conserve le premier) ce qui interdit de parler d’un marché du travail

- la monnaie comme unité de compte est un étalon de mesure, un numéraire, qui permet d’exprimer la valeur des différents biens en une seule unité. Dans ce sens la monnaie simplifie le système des prix en remplaçant les prix relatifs par des prix absolus. En effet, dans une économie de troc, la valeur de chaque bien est exprimée par rapport à tous les autres biens de sorte que si l’économie comporte n biens, le nombre de prix relatifs sera égal à :

de PIB nominal et de PIB réel. Pourquoi les économistes préfèrent utiliser le PIB réel ? Remplissez le document 3. Le PIB nominal, ou à prix courants, ou en valeur, est calculé à partir des prix de l’année en cours. Le PIB réel, à prix constants, ou en volume, s’obtient en divisant le PIB nominal par l’indice des prix de l’année en cours (cet indice s’appelle le déflateur du PIB). Les économistes calculent le PIB réel pour isoler l’effet de l’inflation et pour obtenir ainsi la valeur de la production

Tous les prix n'ont aucune raison particulière de varier tous en même temps. Les indices permettent de représenter l'évolution globale de ces prix qui vont nous permettre d'avoir une idée précise de l'évolution du pouvoir d'achat, des variables réelles. En construisant ces indices, on sait qu'il y a un certain nombre de défauts, il y a de la perte d'information. Le fait d'avoir des indices imparfaits conduit à en avoir plusieurs, construits différemment : l'indice des prix à la consommation (INSEE)

définition de la valeur externe de cette monnaie par un certain poids d’or ou par une certaine quantité d’une devise-clé. On ne peut donc parler de pair et de parité que dans le cadre d’un système de changes fixes : ce fut le cas du SMI mis en place lors des accords de Bretton Woods. Rappelons que dans ce système, la valeur de référence du dollar était fixée par son poids d’or le 1er juillet 1944, soit 888,671 mg, soit 35 dollars pour une once (35,1035g) de métal fin et que la valeur du franc français

transactions et du NGP. La demande de monnaie dépend de la valeur des transactions (= PIB nominal) : MD = k . P Y avec k < 1 MD V = PY MD = P YV k = 1VIci, c’est la demande d’encaisses monétaires. Cette expression est exprimée en valeur nominale. Souvent, on exprime les variables en termes réels. Demande d’encaisses réelles : MDP = k . Y Les individus détiennent une proportion k du PIB réel, sous forme d’encaisse monétaire réelle. D’après cette formule, si les prix doublent dans

somme en valeur des biens et services finaux produits durant une période donnée. Bien final : bien vendu à un individu qui va satisfaire directement un besoin. b) PIB = sommes des VA de l'économie. ( VA = différence entre la valeur produite et la valeur des consommations intermédiaires. ) c) PIB = somme des revenus distribués dans l'économie durant une période donnée. (Revenus du travail = salaires ; revenus du capital = profits ) . PIB nominal et PIB réel. PIB nominal =

l’indépendance des CAC COMMISSARIAT A LA FUSION CAS DE FUSION : A + B = C A englobe B et reste A Mission : Indique les méthodes suivies pour le rapport d’échange + difficultés d’évaluation Se prononce sur le caractère adéquat de ces méthodes et des valeurs relatives Exprime son avis sur le caractère équitable du rapport d’échange Le commissaire à la fusion n’a pas : A contrôler les écritures comptables qui résulteront des décisions de l’assemblée ayant statué sur l’opération A procéder à des vérifications

FINANCIÈRES À INTÉRÊTS SIMPLES I) Intérêts simples 1) Notion d’intérêt L’intérêt produit par un capital C est la rémunération de ce capital. Le taux d’intérêt t est un rapport : t= intérêt produit pendant une unité de temps Capital 2) Intérêt et valeur acquise Si un capital C (en €) est placé à intérêts simples pendant n périodes au taux périodique t, alors : I = C ×t ×n et A = C + I = C + Ctn Selon l’unité utilisée pour caractériser n (nombre de périodes) cette formule générale I = Ctn devient

définition de la valeur externe de cette monnaie par un certain poids d’or ou par une certaine quantité d’une devise-clé. On ne peut donc parler de pair et de parité que dans le cadre d’un système de changes fixes : ce fut le cas du SMI mis en place lors des accords de Bretton Woods. Rappelons que dans ce système, la valeur de référence du dollar était fixée par son poids d’or le 1er juillet 1944, soit 888,671 mg, soit 35 dollars pour une once (35,1035g) de métal fin et que la valeur du franc français