Valeur propre

que des valeurs ne sont pas les mêmes d’une culture à une autre et cette reconnaissance consiste alors à affirmer que toutes les valeurs ne sont pas identiques. Cela semble alors s’opposer à l’affirmation de l’existence de valeurs universelles qui revient à soutenir que ce ne sont pas les différences culturelles qui font les valeurs mais que ces valeurs sont reconnues indépendamment de ces différences. Tel est le sens ici de la notion d’universalité. Ainsi, on peut reconnaître que les valeurs diffèrent

en soi ou bien tout code éthique varie-t-il selon une humanité particulière ? Il semble s'opposer deux idées. D'un côté, l’universalisme par lequel l’homme prétend accéder à des valeurs universelles où la morale prétend à la vérité et donc à l’unicité. Le relativisme énonce au contraire l’idée selon laquelle les valeurs morales ne sont que des produits culturels relatifs à une société donnée et qu’il appartient d’abord aux hommes entre eux de se mettre d’accord sur ce qui leur semble être le bien

L’émotion exprime un drame de la vie personnelle, associé au sort des personnes, des valeurs et des idées qui leur tiennent à coeur ainsi qu’avec leurs croyances envers elles-mêmes et envers le monde où elles vivent. Elle est déclenchée par une évaluation de la signification personnelle du sens de ce qui se produit dans la situation. La trame dramatique varie d’une émotion à l’autre, chaque émotion ayant sa propre histoire. Traduit librement de Lazarus et Lazarus, p. 151

famille La socialisation, transmission des normes, valeurs, croyances, coutumes par l’apprentissage dans une société a lieu essentiellement dans la famille. C’est là que l’enfant dès son plus jeune âge apprend par mimétisme les normes et valeurs de sa famille, avec un système de sanctions positives ou négatives pour valoriser ou non son comportement. Si la socialisation se fait avec succès, l’enfant intériorise ces normes, ces coutumes, ces valeurs et les fait siennes ce qui ne lui posera aucun problème

que les actions guidées par notre propre intérêt peuvent contribuer à la richesse et au bien étre commun. Les cycles économiques sont des processus naturel qui tendent d'eux même à un équilibre des marchés. Ils sont attachés a donner une valeur objective des marchandises en fonction de leur coût de travail. Pour les Classiques les crises sont une mauvaise gestion de la masse monétaire et de la valeur de la monnaie provoquant un écart entre valeur réelle et valeur marchande d'une marchandise.

immédiatement dessaisi. Ce qui l'amène à perdre la concrétisation de son travail, l'objet qu'il a produit lui échappe en même temps que lui est enlevé une partie de lui-même. L'aliénation est complète par la perte du produit du travail car ce produit a sa propre puissance. La réalisation du travail en un objet extérieur à l'ouvrier, l'oppose à son travail, il ne se reconnaît pas dans ce qu'il produit, au contraire ce produit lui devient hostile car il le marchandise, il lui enlève son humanité et n'en fait

l'énonciation, l'effectuation, et par suite la réparation voire la sanction lorsque l'obtenu n'est pas l'attendu. La responsabilité n’est pas seulement un fait, mais aussi une valeur. En tant que valeur sociale, suivant la perspective adoptée, elle peut prendre des significations diverses : elle renvoie donc inévitablement à des valeurs éthiques (ou morales), et est, pour une part, dépendante des idéaux d’une époque, de leur vivacité et de leur configuration sociale, en un mot : de la volonté de croire

jeunesse, paradigme et symbole d'une réalité sportive plus Large CHAPITRE 4 : Le sport, paradigme de la modernité 2EME PARTIE: Les valeurs et les normes dans l'éthique du sport CHAPITRE 1 : L'éthique du sport CHAPITRE 2 : Les valeurs et le sport CHAPITRE 3 : Les normes et le sport CHAPITRE 4 : La sagesse pratique 3 EME PARTIE: L'éthique du sport et les valeurs communes qui doivent étre vécues dans le sport et ailleurs INTRODUCTION CHAPITRE 1 : Le souci de la santé et de la sécurité

adolescente se démarque de la génération anciennes, en créant son propre tissu social. C'est une forme sous-culture, qui se réfère à une culture propre à la jeunesse parmi la culture dominante, où se traduisent des normes et valeurs qui leurs sont spécifiques, mais qui ont tout de même des points communs avec la culture qui leur a été inculqué. Ainsi, peut-on parler d'une seule et même sous-culture qui unit les jeunes, avec des normes et valeurs qu'ils partagent ? Bien que les jeunes semblent forment

posséder par l'esprit de la divinité» ce qui a un sens pour expliquer le fanatisme religieux. On peut dire que le fanatisme repose sur une forme de passion. Passion inconditionnelle de penser, passion de posséder la vérité, passion d'imposer sa propre vérité. La passion est un état affectif dont l'individu n'est pas le maître, un goût immodéré pour quelque chose qui domine la vie de l'individu qui l'éprouve ce qui fait penser que cet état n'est pas positif . « ... Le fanatisme, ce redoutable amour