Valmont Cynisme

les actions et les désirs intimes de chaque personnage. Elles montrent la conquête de deux jeunes femmes, la jeune Cécile de Volanges et la pieuse Présidente de Tourvel , par deux libertins: la marquise de Merteuil et son accolyte, le vicomte de Valmont. Cécile qui vient de sortir du couvent, est fiancée au Comte de Gercourt, ancien amant de la marquise de Merteuil. Cette dernière, fâchée contre Gercourt qui l'a abandonnée, décide pour se venger, de corrompre Cécile avant son mariage. Mais la marquise

seulement 24, mais, réellement amoureux, il l’épousera en1786 et reconnaîtra l’enfant. Marie-Soulange sera le grand amour de sa vie et lui donnera deux autres enfants. Choderlos de Laclos ne ressemble en rien au séducteur archétype du personnage de Valmont et n’en a aucune des tares. Il n’est en rien un séducteur, et on le décrit comme « un monsieur maigre et jaune » à la « conversation froide et méthodique ». Sa vie sentimentale se limite à son épouse Marie-Soulange à qui il est fidèle, de même qu’il

Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont, issus de aristocratie, mènent les intrigues en dignes représentants du libertinage, version masculine et féminine. Ces lettres font état, tt en les construisant, des liaisons ou relations sociales entre les personnages. Originalité du personnage de Mme de Merteuil, au c ur de toutes les intrigues, auteur de la lettre 81, longue lettre située en plein c ur du roman ( 175 lettres ) en réponse à lettre de Valmont qui lui donne des conseils de prudence

personnages sont difficiles à classer à cause de leur évolution tout au long des lettres. La Marquise de Merteuil Le Vicomte de Valmont La Présidente de Tourvel maîtresse de Valmont Cécile de Volanges Le Chevalier Denancy amant de Cécile Le Compte de Gercourt le futur mari de Cécile et ancien amant de la Marquise de Merteuil Madame de Rosemonde, la tante de Valmont Madame de Volanges mère de Cécile et amie de la marquise de Merteuil. Les meneurs sont donc : -La marquise de Merteuil, une

lettre numéro 4, extrait de ce roman, brosse le portrait du Vicomte de Valmont qui écrit à son ancienne amante, la Marquise de Merteuil, pour lui faire part de ses projets. Merteuil avait, dans la lettre II, demandé à Valmont de lui rendre un service, à savoir séduire et dépraver la jeune Cécile de Volanges, pour se venger de Gercourt, le futur mari de celle-ci. Cette demande était faite sur un ton très autoritaire, et ici Valmont répond qu’il refuse, il le fait sur un ton à la fois ironique et moqueur

aux hommes. Cette assurance masculine se voit surtout dans son besoin de dominer et de gouverner les autres. Elle est le personnage le plus puissant de l'histoire et sa destruction est necessaire pour sauver la moralité du roman. Le Vicomte de Valmont est un Don Juan manipulateur et sans scrupules. Il est cruel, méchant et hypocrite. Il est athée et fait références au langage religieux pour décrire ses exploits sexuels. C'est un grand libertin qui n'est mené ni par l'amour ni par la sensualité

concours académique à Châlons-sur-Marne, Laclos rédige De l’éducation des femmes. Il meurt à Tarente le 5 septembre 1803, après qu’il ai repris une carrière militaire prestigieuse au grade de général. Drame La marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont se jouent de la société pudique et privilégiée dans laquelle ils vivent. Se livrant à la débauche, ils ne cessent, tout au long du livre, de se narrer leurs exploits au travers des lettres qu’ils s’envoient. Il n’en va pas de même pour cette dernière

vicomte de Valmont, qui sont tous deux libertin. Le libertinage, c’est aussi de nouveaux codes, une nouvelle façon de penser, d’écrire. La vie en société est présentée comme un jeu de dupe dont les libertins maîtrisent les codes et enjeux. La séduction y est un art complexe ; la femme est identifiée comme une proie à « entreprendre », qui finit plus ou moins rapidement par céder devant son « chasseur ». On retrouve bien souvent, prodiguée par un libertin, une initiation, au sexe, au cynisme, au comportement

est le personnage le plus puissant de l'histoire et sa destruction est necessaire pour sauver la moralité du roman. (lettres LXXXI, CV, CLII et suggère que vous lisiez les lettres V, XXVII, XXIX, LXXXV, CIV, CXIII, et CXXXI.) * Le Vicomte de Valmont est un Don Juan manipulateur et sans scrupules. Il est cruel, méchant et hypocrite. Il est athée et fait références au langage religieux pour décrire ses exploits sexuels. C'est un grand libertin qui n'est mené ni par l'amour ni par la sensualité

qui se passe entre elle et Danceny, ce qui lui permet de mettre son plan en œuvre et de tout coordonner pour se venger de Gercourt. ۞Elle fait donc l’hypocrite, car c’est la seule raison pour laquelle elle veut être sa confidente. Citation : Cynisme ۞Elle refuse de se conformer aux normes morales par mépris de celles-ci. ۞Religion : Elle méprise la religion catholique, qui à l’époque était très importante. ۞Elle se fout donc de respecter toutes les normes rattachées à la religion ۞Par exemple