Valognes

en valeur au théâtre. Page 10 sur 37 Sonia LE PAPE – 2009-2010 Le portrait (STG – juin 2007) - Molière, Les Fourberies de Scapin (extrait de scène 2 acte I) - Musset, On ne badine pas avec l’amour (extrait scène 3 acte I) - Schmitt, La Nuit de Valognes (extrait scène 2 acte II) NATHAN Annales STG 2010 NATHAN Annales STG 2009 Le coup de théâtre - La représentation (STG – sept 2007) - Molière, Le Malade imaginaire, acte III, scènes 11,12,13,14 NATHAN Annales STG 2010 NATHAN Annales STG 2009 HATIER

6 - Rostand, Cyrano de Bergerac, V,5 NATHAN Annales STG 2009 Le portrait (STG – juin 2007) - Molière, Les Fourberies de Scapin (extrait de scène 2 acte I) - Musset, On ne badine pas avec l’amour (extrait scène 3 acte I) - Schmitt, La Nuit de Valognes (extrait scène 2 acte II) NATHAN Annales STG 2010 NATHAN Annales STG 2009 Le coup de théâtre - La représentation (STG – sept 2007) - Molière, Le Malade imaginaire, acte III, scènes 11,12,13,14 NATHAN Annales STG 2010 NATHAN Annales STG 2009 HATIER

Rocher-de-Cancale et d’amener Combabus pour savoir s’il a une maîtresse (516). 7h30, au restaurant, cinq personnes arrivées en attendent neuf autres : Bixiou, Léon de Lora, Séraphine Sinet, dite Carabine, Jenny Cadine (517). Une troisième femme, arrivant de Valognes, Cydalise :« C’était, comme on va le voir, un pion nécessaire dans la partie que jouait mame Nourrisson contre Mme Marneffe ». (518) On en fera une Mme Combabus, dit-on en plaisantant. Arrivée des autres convives : Du Tillet avec le héros du dîner

trois vivaient à Valognes, avec leurs parents, lorsque ceux-ci sont morts, emportés par la même fièvre. Le père avait mangé jusqu'au dernier sou dans sa teinturerie. A dix-neuf ans, Denise est restée ainsi le seul soutien, la mère des deux enfants, mais son gain chez Cornaille ne suffit point à les nourrir tous trois. Au bout d'un an, Jean trouve du travail à Paris et comme Denise, dans sa terreur maternelle, ne veut pas laisser ce grand garçon venir seul à Paris, elle quitte Valognes en un coup de

« autochtone », comme pour le grand monsieur de la ville. Elle nous apporte des choses que rien d’autre ne peut remplacer. Elle est à la fois ce petit « supplément d’âme » qui nous manque à tous, mais bien plus encore. L’agricultrice biologique de Valognes dont nous avons déjà parlé nous a donné sa vision de la culture. Peut-être est-ce un peu long mais cela en vaut la peine, son point de vue mérite qu’on s’y attarde car si l’on peut ne pas être d’accord avec elle, on est également tenus de l’écouter

(p. 474 L/ ES/S) • Max Rouquette, Médée (p. 476 L/ES/S) • Laurent Gaudé, Médée Kali (p. 478 L/ES/S) SÉQUENCE 2 – La fin de Don Juan • Henry de Montherlant, La Mort qui fait le trottoir (p. 488 L/ES/S) – Eric-Emmanuel Schmitt, La Nuit de Valognes (p. 490 L/ES/S) SÉQUENCE 3 – Le mythe de Progné et Philomèle • Philippe Minyana, La Petite dans la forêt profonde (p. 510 L/ ES/S) 118 2210441163_116-179_Ch2_LDP_Fr1.indd 118 08/07/11 11:29 2 – Le texte théâtral et sa représentation

autres cantons Barneville-Carteret, Beaumont-Hague, Bricquebec, Cherbourg (tous les cantons), Equeurdreville-Hainneville, Montebourg, Octeville, Les Pieux, Quettehou, Sainte-Mère-Eglise, Saint-Pierre-Eglise, Saint-Sauveur-le-Vicomte, Tourlaville, Valognes Tous les autres cantons Le Faouët, Gourin, Guémené-sur-Scorff Tous les autres cantons Bergues, Bourbourg, Coudekerque-Branche, Dunkerque (tous les cantons), Grande-Synthe, Gravelines, Hondschoote, Wormhout Tous les autres cantons Ardres, Audruicq

d'Archéol., Litt., Sc. et Arts des Arrondissements d'Avranches et de Mortain XII (1894-1895), 127-226, 279-337. Par M.-J. Masselin ? Semble être la table du n° 4622. 4594. L. EVENO-BOISSEL, Nouvelles hypothèses concernant les étymologies de Valognes, Alleaume. Dieppe, 1958, 12 pp. Archives nationales - 254 - FIERVILLE, Voir n° 3076. 4595. J. FLEURY, Causerie linguistique à propos de la Hague. Mém. de la Soc. nat. acad. de Cherbourg (1897-1898), 247-264. 4596. J. FLEURY, Essai sur le patois

perdent la vue au lever du jour. « Mules aveugles » : ainsi les appelait durement François Mauriac. Même lorsqu’ils ont assimilé une pensée d’hier, ils n’en comprennent pas aujourd’hui la vraie portée. Que reste-t-i1 de l’hommage solennel rendu à Valogne par M. Giscard d’Estaing à Tocqueville, lorsque dans sa récente déclaration au Figaro Magazine il ordonne le procès des partis ? S’aperçoit-il qu’il foule aux pieds le théoricien glorifié des contre-pouvoirs ? Oublie-t-il que Tocqueville condamne

journal de Charles de Gaulle, La Voix de France, à New York, en 1942. Les Alliés lui confient la tâche de choisir les villes normandes à bombarder lors du débarquement. Pour ne pas tergiverser, il décide de faire détruire toutes ces villes, parmi elles Valognes, détruite aux trois quarts. Il n'exprimera aucun remord, ainsi qu'il le raconte dans Les Fêtes cruelles. Il débarque avec l'armée américaine en Normandie en juin 1944. De 1945 à 1951 il est chargé de mission au conseil de contrôle quadripartite à