Valse avec Bachir

la statuette au nom de l'acteur mort le 22 janvier 2008, à l'âge de 28 ans. C'est le deuxième Oscar posthume remis par l'Académie, depuis celui de Peter Finch pour son rôle dans Network en 1976. Alors qu'on attendait une victoire d'Israël (Valse avec Bachir) ou de la France (Entre les murs), l'Oscar du meilleur film étranger est allé au Japonais Yojiro Takita, dont le film Okuribito (Departures) raconte l'histoire d'un musicien au chômage qui se reconvertit dans l'industrie funéraire. "Je suis très

George Crumb)  Guerre du Liban. Arts visuels : Mona Hatoum (Measures of distance) vidéo BD : Zeina Abirached ( Mourir, partir, revenir , le jeu des hirondelles 2011) Cinéma d’animation : « Valse avec Bachir » les attentats du 11 Septembre: Chanson:Manhattan Kaboul ( Renaud/ Axelle Red)  Quatuor WTC 9/11 ( Steve Reich) ….............

acide » est la meilleure des façons de qualifier l'univers bipolaire d'Ari Folman dans Le Congrès. Les mots peuvent difficilement raconter les visuels bizarres qui peuplent la seconde partie de l’œuvre de l'ambitieux réalisateur israélien de Valse avec Bachir. Un projet séduisant qui équivaut à une condamnation cinglante de la marchandisation de la culture et ainsi à la présentation d'un cinéma en passe de mourir. Folman répond à cette sombre affirmation par une réalisation spectaculaire, unique en

situations trop oppressantes, faire preuve de mauvaise foi : il se ment à lui-même en se disant que dans tel ou tel cas, il n’a pas eu le choix. Il se désengage ainsi, refusant la responsabilité de ses actes. On en voit un exemple dans le film « Valse avec Bachir », où d’anciens soldats s’aperçoivent que leurs souvenirs de la guerre sont absents ou terriblement déformés : leur inconscient brouille l’accès à leur mémoire afin que ces images ne puissent plus les blesser. Une phrase de Jacques Lacan illustre

, 1963 Le réalistaeur met en scène la confusion de sa vie, et ses souvenirs d’enfance les plus marquants, ceux qui ont développé son imaginaire d’homme et de cinéaste. Ari Folman, Valse avec Bachir , 2008 (film d’animation, mais aussi bande dessinée réalisée à partir du film) Le réalisateur israélien a participé à la guerre au Liban mais n’a plus aucun souvenir

Fellini, la notion de réalisme pourrait être critiquée, voire même irréaliste et improbable car la frontière entre réalité et fantasmes imaginés est souvent mince. Notamment au niveau de la mémoire dans le film documentaire d'animation Valse avec Bachir réalisé par Ari Folman en 2008 où la mémoire est elle même l'intrigue du film. En effet, le héros hésite, mélange et imagine des choses passées ou qui auraient pu se passer durant la guerre à Beyrouth. Il se fabrique des souvenirs, en pensant

annexe 1) Jacques Tardi, C’était la guerre des tranchées, 1993 Alexis Jenny, L’Art français de la guerre, 2011 (voir texte en annexe 2) Lecture cursive : Philippe Claudel, La Petite fille de M.Linh, 2005 Film d’animation, Ari Folman, Valse avec Bachir, 2008 3 – Documents complémentaires pour comprendre le Naturalisme et le projet littéraire de Zola : Ces documents feront l’objet d’une lecture cursive, soit en préalable soit dans le courant de l’étude de la nouvelle. Le Roman expérimental

(2004) de JEAN-PIERRE JEUNET enquête sur fond de première guerre mondiale. Des films d'animation: Persépolis (2007) à partir de la Bande dessinée de Marjane SATRAPI: histoire politique et sociale de l'Iran à travers les yeux d'une jeune fille. Valse avec Bachir de Ari FOLMAN (2008): souvenir de la guerre au Liban. 

massacres des camps palestiniens de Sabra et Chatila. La passivité de l’armée israélienne provoque un électrochoc en Israël où l’intervention militaire devient de plus en plus impopulaire, comme en témoigneront par la suite les films Lebanon, Valse avec Bachir et Beaufort. Le ministre de la Défense Ariel Sharon est contraint à la démission. Tsahal se retire finalement du Liban en juin 1985, ne conservant qu’une présence résiduelle le long d’une « bande de sécurité » adossée à la frontière israélienne

ottomane, 1M d’hab, 50% orthodoxes, 17% catholiques, 33% musulmans. Population serbe subit des pressions fiscales turques, crise (mauvaise récolte), révolte contre un voyage de François-Joseph en Dalmatie. 1876 : soulèvement et écrasement par les Bachi-bouzouks de la Bulgarie + émeutes de Constantinople et déposition du Sultan : remplacé par Abdülhamid et PM chef des jeunes turcs Midhat Pacha. Juin 1876 : défaite de la Serbie Monténégro contre les turcs. 1877 : Gortchakov déclare la guerre à